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"Les évêques belges ont publié le 27 juin 2019, une réflexion sur l'avenir des bâtiments d'église, partant de questions posées par les autorités locales sur le financement de leur entretien. Ils ont commencé par décrire les raisons pour lesquelles on trouve des édifices catholiques partout en Europe, car l'Église se devait d'être proche de ses fidèles. Aujourd'hui selon eux, beaucoup moins sont utilisées qu'avant et il est important de mener une vraie réflexion sur leur avenir avant de prendre une quelconque décision. Les évêques ont considéré qu'il était important de mener cette réflexion de manière globale et non pas uniquement au niveau local, car souvent les moyens de ce dernier ne peuvent pas subvenir aux besoins de ses édifices. Les évêques belges ont souhaité lancer cette réflexion à partir des différentes significations de ces bâtiments : fonctionnel, sacramentel, spirituel, social… Faute de moyens financiers, ils ont appelé au réalisme et à la prudence, insistant cependant à plusieurs reprises sur le fait que ces églises ne servaient pas uniquement aux sacrements liturgiques mais qu'elles permettaient également aux personnes en recherche de sens de s'y retrouver et de s'y recueillir. Pour les évêques, préserver les églises locales constitue un vrai défi, un projet pastoral à part entière pour lequel il vaut la peine de se mobiliser ; pour eux, en effet, on ne peut préserver des églises fermées. Pour les garder, il faut donc se mobiliser pour les maintenir ouvertes et proches de la société. "

"Il reste toutefois une question de taille. Les réflexions du ministère de la Culture portent en effet sur les 77 cathédrales appartenant à l'Etat (et dont l'Eglise est affectataire). Mais ce nombre est loin de correspondre à la totalité des cathédrales françaises. Selon le Réseau des villes-cathédrales, récemment créé et qui tenait colloque à Sens le 26 juin dernier (voir nos articles ci-contre du 30 juin 2014 et du 29 septembre 2013), une centaine de cathédrales - la définition est assez floue - sont la propriété de communes ou de départements, voire de particuliers et, pour quelques exceptions, de diocèses. Et il s'agit parfois de collectivités petites ou moyennes (Saint-Flour, Noyon...), pour lesquelles l'entretien représente une lourde charge. Sans oublier bien sûr Paris, qui gère 85 édifices religieux, dont certains aussi célèbres et fréquentés que l'église Saint-Sulpice. Si le projet de droit d'entrée pour les touristes devait aller plus loin, plusieurs questions ne manqueraient donc pas de se poser : peut-on envisager la coexistence de cathédrales "gratuites" et "payantes" ? Les droits d'entrée peuvent-ils être fixés librement ? Faut-il envisager, pour financer l'entretien du patrimoine religieux, une péréquation entre les recettes des cathédrales "attractives" et celles qui reçoivent moins de visiteurs ? Autant de questions qui restent pour l'instant sur la table."

"Mgr Jean Legrez Archevêque d'Albi, membre du groupe de travail de la Conférence des évêques de France (CEF) sur les églises Ce n'est pas le nombre mais la localisation des églises qui pose question. Du fait des colossales évolutions démographiques, des églises encore pleines il y a cinquante ans sont désertées dans les zones rurales tandis que, dans les banlieues, on a besoin de nouveaux lieux de culte. Dans mon diocèse, certaines petites communes rurales comptent jusqu'à sept églises et chapelles, la plupart n'étant ouvertes que trois ou quatre fois par an : pour la fête patronale, pour la Toussaint et pour l'un ou l'autre enterrement. Les maires ou les habitants de ces petites communes me supplient de faire célébrer la messe plus souvent dans leur église, pour justifier les dépenses qu'ils ont engagées pour la restaurer. La plupart sont très attachés à ce patrimoine, même si très peu sont pratiquants. Je demande donc aux villageois qui s'inquiètent de l'avenir de leur église de l'ouvrir régulièrement et d'y prier, les offices du jour par exemple."

"La France est une République laïque qui respecte toutes les croyances, comme le proclame solennellement l'article 1er de la Constitution. L'une des expressions de la liberté de conscience est le libre exercice des cultes. La République en est garante, aux termes de l'article 1er de la loi du 9 décembre 1905 concernant la séparation des Églises et de l'État, dans le respect de l'ordre public et de la liberté d'autrui. Les édifices cultuels sont une des composantes les plus symboliques de la liberté de culte. Construire un lieu de culte, c'est offrir aux fidèles les moyens de pratiquer leur religion dans des conditions dignes ; c'est aussi affirmer sa présence dans l'espace public et dans la société, avec pour vocation de s'inscrire durablement dans le paysage français et dans son histoire. Au patrimoine constitué des lieux de culte construits antérieurement à la loi du 9 décembre 1905, dont l'État, les départements ou les communes sont, pour des raisons historiques, propriétaires d'une part importante, s'ajoutent des constructions nouvelles, portées par des associations à dimension cultuelle, qui en sont les propriétaires. Construire un édifice nécessite une vision d'ensemble du projet, sur le long terme, sur une base associative solide. Son caractère cultuel requiert en outre de bien connaître la législation spécifique qui lui est applicable. Si les contraintes existent - du fait, notamment, du principe de non-subventionnement public des cultes, des règles d'urbanisme à respecter - des outils sont mis à disposition des associations. Ce sont de véritables leviers à la construction, qui ont été récemment confortés par le juge. Le bail emphytéotique administratif, l'équipement mixte, un régime fiscal spécifique aux associations cultuelles, des aides publiques au financement en sont des illustrations notables. Pour ces raisons, le ministère de l'Intérieur a souhaité réaliser, à p

"Une statue de Jean Paul II sera inaugurée à Sarajevo, capitale majoritairement musulmane de la Bosnie, à l'occasion de sa canonisation fin avril. « On ne doit pas oublier l'homme qui a tellement lutté pour la paix en Bosnie-Herzégovine, pour les mêmes droits pour tout le monde et pour la dignité humaine », a déclaré à la presse l'archevêque de Sarajevo, le cardinal Vinko Puljic. Jean Paul II avait prié à maintes reprises pour la paix en Bosnie lorsque ce pays était déchiré de 1992 à 1995 par un conflit intercommunautaire ayant opposé Musulmans, Serbes (chrétiens orthodoxes) et Croates (chrétiens catholiques)."

"Carte interactive. Survolez les édifices religieux avec votre souris pour faire apparaître le nom et la nature des travaux. Cliquez sur l'icône pour visualiser l'édifice. Pour naviguer dans la carte, cliquez sur les boutons +/- pour zoomer et dézoomer. Retrouvez la carte en plein écran ICI. La mairie de Paris précise que cette liste n'est pas forcément exhaustive. Pour chaque édifice, il ne s'agit pas d'une rénovation complète, mais de travaux ciblés. L'objectif prioritaire est d'enrayer les chutes de pierre et de garantir le clos et le couvert afin d'arrêter des infiltrations d'eau ou de pigeons qui dégradent les décors intérieurs."

"Notre-Dame : le chantier suspendu «quelques jours» pour «mettre à plat» les précautions sanitaires pour les employés Plomb. Le chantier de Notre-Dame de Paris est suspendu «quelques jours» à partir de ce jeudi soir afin de «mettre à plat» les règles de précaution sanitaires pour les ouvriers exposés au plomb, celles-ci n'étant «pas suffisamment appliquées», a annoncé le préfet d'Ile-de-France."

"Neuf mois après l'incendie qui a ravagé la cathédrale Notre-Dame de Paris, nous avons l'honneur d'accueillir aujourd'hui MM. Jean-Louis Georgelin et Philippe Jost, qui exercent respectivement les fonctions de président et de directeur général délégué de l'établissement public chargé de la conservation et de la restauration de la cathédrale Notre-Dame de Paris. Vous vous souvenez que cet établissement public a été créé par la loi sur Notre-Dame du 29 juillet dernier pour assurer la conduite du chantier de restauration de la cathédrale. Il est entré en fonction le 1er décembre dernier, une fois le décret d'application publié le 29 novembre. Notre commission avait beaucoup travaillé sur ce projet de loi au printemps dernier pour empêcher l'adoption d'une loi d'exception. Nous avions alors eu à coeur de défendre les principes de notre législation en matière de protection du patrimoine, qui est enviée à l'étranger, et de garantir le caractère exemplaire des opérations susceptibles d'être menées pour la reconstruction de l'édifice. L'Assemblée nationale ne nous avait malheureusement pas suivis. Néanmoins, notre position a sans doute contribué à ce que le fonctionnement de l'établissement public soit mieux encadré dans la loi et que le champ de l'habilitation à déroger aux règles de droit commun par ordonnances soit réduit. Messieurs, vous voyez donc tout l'intérêt que nous portons à vous entendre sur les modalités de fonctionnement de l'établissement public. Vos équipes sont-elles désormais au complet ? Comment sont-elles composées et comment les avez-vous recrutées ? Vous avez pris le relais du ministère de la culture depuis le 1er décembre. Où en sont les travaux de conservation ? Quelles sont les perspectives pour l'année 2020 ? Quelle est votre méthode ? Enfin, peut-être avez-vous une vision plus claire des dérogations qui pourraient être mises en place pour faciliter le chantier ? Pourriez-v

"Dans le cadre du plan France Relance qui vise à redresser l'économie, et soutenir l'attractivité des territoires, un volet cible le patrimoine et notamment les cathédrales. La restauration et l'entretien du patrimoine ont « des effets sur le développement économique, l'attractivité et le rayonnement des territoires ». Ainsi, quatre cathédrales ont été choisies dans la région Grand-Est, dont celle de notre diocèse. La cathédrale de Saint-Dié et la petite église Notre-Dame de Galilée, attenante à la cathédrale romane et au cloître, ont été retenues. L'ensemble architectural est classé aux Monuments historiques depuis 1886. Des travaux vont débuter cet été, pour une durée de 12 mois ; et ce, pour un montant de 750 000 euros (somme qui vient en complément de ce que l'État verse chaque année pour les Monuments historiques). Pour les deux édifices déodatiens, ces travaux serviront surtout à mettre fin à des problèmes de fuites et d'infiltration ; mais aussi à refaire l'installation électrique désormais obsolète pour l'église Notre-Dame de Galilée"

"Voilà déjà bientôt une année ! Est-il besoin de vous le rappeler ? Le 18 juillet 2020, une catastrophe frappe à nouveau la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes qui avait malheureusement déjà été cruellement éprouvée : l'incendie de sa toiture en 1972, un bombardement en 1944. Ce drame a suscité une émotion immense à Nantes, dans la région, dans la France entière… Malgré tout, au retour des vacances, la vie quotidienne a tenté de reprendre un rythme, perturbé par l'interminable pandémie. Les services de l'État, propriétaire de l'édifice, ont aussitôt entrepris les travaux de déblaiements avant d'envisager les modalités de la restauration. La chapelle de l'Immaculée a une nouvelle fois porté secours au sanctuaire blessé, en accueillant les fidèles pour la messe dominicale de 10h, tandis que celle du soir était célébrée dans l'église Saint-Similien. Il n'était pas possible pour l'association des Amis de la cathédrale et de la Chapelle de l'Immaculée de rester à attendre, en espérant que les travaux de restauration soient rapidement terminés. Comme vous le savez, cette association a pour but de faire découvrir et aimer ces deux magnifiques sanctuaires au cœur de la ville. Elle se devait donc d'agir pour que la cathédrale, malgré sa fermeture, continue de rayonner. C'est pourquoi, avec l'appui financier de la Région des Pays de la Loire, elle décida d'organiser des actions pour continuer à faire vivre l'église-mère du diocèse."

"Une joie pour la paroisse de se retrouver avec ses fidèles pour temps de convivialité lors de cette dixième année nationale de la nuit des églises. Le thème choisi par la paroisse Notre-Dame-en-Minervois, pour leur quatrième veillée de la nuit des églises, est "Tenir bon comme Saint-Joseph" pour accueillir le présent tel qu'il est. Les sept qualités de Saint Joseph ont été déclinées puis entrecoupées d'un chant ou d'une musique : Saint Joseph, Père aimé, Père dans la tendresse, Père dans l'obéissance, Père dans l'accueil, Père au courage créatif, Père travailleur et Père dans l'ombre. "

"En ce lieu où se conjuguent, avec le sens chrétien des paradoxes, le culturel et le cultuel, le tragique et le liturgique, l'esthétique et l'éthique, tout le monde peut trouver sa place. Elle est suffisamment grande pour que l'individualiste du XXI° s'y assoie avant de sentir qu'il a besoin de faire communauté avec d'autres. Elle est suffisamment solide pour que les fragilités du temps puissent y être déposées. Ses piliers sont suffisamment larges pour que dans la discrétion des larmes versées, on puisse se convertir et se dire : comme j'ai été bête de ne pas y croire, de tout laisser tomber. Il est si beau, le Beau Dieu d'Amiens. Longue vie à notre cathédrale…Elle porte en elle le Trésor d'une vie pour lequel on peut tout larguer…Elle est l'écrin du Christ…"

"Le réseau européen Églises Ouvertes fort de plus de 500 églises, a pour mission de mettre en valeur le patrimoine religieux et de le rendre accessible à tous grâce à la création d'instruments pour aider le visiteur à le découvrir et l'interpréter. Il a pour objectif d'assurer la diffusion et la promotion de ces sites patrimoniaux tout en établissant les liens entre les équipes locales afin de briser l'isolement. Aujourd'hui, l'association Églises Ouvertes Nord de France est présente dans les départements suivants : Nord, Pas-de-Calais, Calvados, Manche, Orne, Marne et Saône-et-Loire. Nombre d'églises du réseau ouvrent grandes leurs portes pour ces Journées Européennes du Patrimoine et rivalisent d'inventivité pour proposer des activités grand public, modernes et originales"

"La nouvelle édition de Patrimostat révèle un retour de la fréquentation du public dans les lieux culturels après une année 2020 marquée par la pandémie et des fermetures. Ouvert en juin 2021, l'Hôtel de la Marine à Paris a accueilli l'an dernier 211 000 visiteurs en six mois et demi d'exploitation. c C'est une édition 2021 particulière, encore marquée par les conséquences de la crise sanitaire. Patrimostat, réalisé tous les ans par le pôle Dynamiques territoriales du Deps-doc du ministère de la Culture, présente, à l'occasion des Journées européennes du patrimoine, les données de fréquentation de différents sites patrimoniaux (musées de France, monuments nationaux, archives de France, Maisons des Illustres…). « Cette nouvelle édition met en parallèle deux années : 2020, marquée par la pandémie qui a bouleversé l'activité des sites patrimoniaux avec pour conséquence la chute de la fréquentation, et 2021 qui amorce la reprise progressive de la fréquentation avec la réouverture des établissements », explique Jasmina Stevanovic, chargée d'études au département des études, de la prospective, des statistiques et de la documentation. Cette étude permet donc de faire le bilan provisoire de cette pandémie dans une période marquée par la fermeture des lieux culturels entre novembre 2020 et mai 2021, puis leur réouverture. L'occasion de constater, pour l'année dernière et pour l'ensemble des lieux, un retour du public et une fréquentation en hausse par rapport à l'année 2020. Les musées nationaux enregistrent par exemple 11,7 millions de visiteurs en 2021, soit une fréquentation en hausse de 23 % par rapport à 2020. Dans les monuments nationaux, la progression par rapport à 2020 est encore plus forte (+ 35 %), avec 4,7 millions d'entrées enregistrées. Mais dans les deux cas, la fréquentation peine à retrouver son niveau de 2019 (- 65 % pour les musées, -53 % pour les monuments)."

"Le 17 décembre 2018, le Conseil pontifical de la culture a publié un texte d'orientation sur l'utilisation des églises déconsacrées. Intitulé en français : « Les églises : l'usage cultuel en question ? Lignes directrices », ce document est le fruit d'un colloque qui s'est déroulé à l'Université pontificale Grégorienne de Rome les 29-30 novembre 2018. Une rencontre, sur le thème « Dieu n'habite plus ici ? Désaffectation des lieux de culte et gestion intégrée des biens culturels religieux », qui, outre les représentants du Conseil pontifical de la culture, a vu la présence de délégués des conférences épiscopales d'Europe, du Canada, des États-Unis et de l'Australie. Si, il y a une trentaine d'années, la Commission pontificale centrale pour l'art sacré en Italie publiait une « Charte sur la destination d'usage des anciens bâtiments ecclésiastiques », depuis lors, estime les rédacteurs du texte d'orientation, des conférences épiscopales « ont affronté ce phénomène avec une certaine pertinence » et des recherches utiles ont été menées au niveau universitaire. « Le problème de la désaffectation des lieux de culte n'est pas nouveau dans l'histoire, est-il ainsi souligné dans l'introduction, mais il est aujourd'hui proposé à l'attention des Églises en raison de la laïcisation avancée qui caractérise la société moderne, et en même temps en raison du contexte d'une prise de conscience accrue de la valeur historico-artistique et symbolique des bâtiments sacrés et des œuvres qui y sont conservées. » Le présent document du Conseil pontifical de la culture « propose de donner une lecture du phénomène tel qu'il se présente aujourd'hui » tout en souhaitant fournir aux communautés chrétiennes « des outils » pour y faire face… en prenant conscience « de la grande variété de situations concrètes et des différences qualitat

"Le site Narthex.fr, du Service national du Patrimoine et de l'Art Sacré change de visage pour offrir à ses lecteurs-internautes un site renouvelé et une nouvelle mise en valeur des actualités et des blogs ! Une nouvelle présentation épurée et plus dynamique pour mettre en valeur le contenu éditorial, les textes, les œuvres d'art... Une mine d'information pour tous les amoureux de l'Art Sacré !"

"Le coup de coeur du mois de novembre La paroisse Saint-Pierre_Saint-Paul et Saint-Étienne_Saint-Henri de Colombes a entrepris depuis septembre 2015 un chantier de rénovation et d'agrandissement de la Maison Paroissiale Saint-Jean-Paul II pour qu'elle soit plus accueillante, plus spacieuse, au service de tous et clairement identifiable. Un oratoire est au cœur de la Maison pour y prier et célébrer dignement. Pour l'aménager, nous avons fait appel à Bruno de Maistre, jeune artiste de la génération Jean-Paul II pour la création et la réalisation du mobilier liturgique"

"Chartres, la lumière retrouvée Un documentaire rediffusé le mardi 6 décembre à 8h50 sur France 3 Centre-Val de Loire, Paris Ile-de-France, Bretagne, Pays de la Loire et Normandie, puis à retrouver en ligne sur pluzz.fr chartres restauration lumièreLe commentaire du père Emmanuel Blondeau, curé de la cathédrale J'ai vu un beau documentaire sur la restauration de la cathédrale de Chartres. Durant ces dernières années, les échafaudages et les bâches cachaient le travail intense des artisans/artistes. Avec ce film, on entre dans le quotidien du chantier. On voit le coup de main des ouvriers, on comprends les étapes. On entend les débats des restaurateurs Et l'on redécouvre la beauté de la cathédrale. Alors, voilà un documentaire pour comprendre et voir de près ce travail qui nous a rendu une cathédrale pleine de lumière dont nous bénéficions pour prier. Un bel écrin pour signifier la présence de Dieu pour son peuple. Père Emmanuel"

"par GUILBAUD Justine Archives L'association du Patrimoine Religieux Lamballais a informé la paroisse courant octobre-novembre que la crèche habituelle ne serait pas disponible pour une question de rénovation. Appuyée de compétences d'un artiste Lamballais - le portraitiste Gilles Dayot -, une équipe a conjugué ses talents pour permettre à l'église d'avoir, elle aussi, une crèche pour Noël."

"Les calvaires érigés au carrefour des chemins, plantés au milieu d'un buisson, ou au sommet d'une crête, ont tous une histoire qu'il nous est, malheureusement, difficile de connaître aujourd'hui. Ils étaient des lieux de l'expression religieuse des populations et marquaient souvent l'emplacement d'un évènement exceptionnel : foudre, brigandages, guerre, décès accidentel, etc... Les grandes épidémies, comme la peste des 17è et 18è siècles, ont donné lieu à l'érection de croix pour remercier le ciel d'avoir épargné un village, une famille. Ces calvaires étaient aussi des lieux de rendez-vous pour les pélerins et pour les simples marcheurs qui se regroupaient pour cheminer ensemble afin de mieux se protéger du brigandage et de se raconter les nouvelles."