"Dans un texte intitulé Génération catholique spontanée, la journaliste de La Croix Isabelle de Gaulmyn présente sur son blog les jeunes manifestants anti-mariage homosexuel sous un jour flatteur"
"De plus en plus de jeunes catholiques se forment, réfléchissent, agissent et se rencontrent via les réseaux sociaux, les blogs et les fora où la foi est décomplexée, la parole libre et le sectarisme des anciens malvenu. Que lance l'Église de France ce 24 juin 2013 ? Jeunes cathos, un site à destination des jeunes catholiques à moitié vide, censé compléter le blog du même no"
"Paul est l'auteur d'un blog sur la théologie du corps. Sur le blog Jeunes Cathos, il présente ce que dit Jean Paul II sur notre rapport au corps et à la sexualité et partage sa propre expérience."
"Dans la « culture du dialogue » - bien vivante sur ce blog - que le pape François cherche à promouvoir, une dimension lui est chère : la rencontre entre jeunes et anciens, l'attention réciproque des uns pour les autres. Cette préoccupation se retrouve dans maints gestes et paroles du nouveau pape en bientôt un an de pontificat. Comme dernièrement dans son homélie pour la fête de la Présentation au Temple, le 2 février : il a souligné la fécondité de l'échange entre le jeune couple, que forme Marie et Joseph, avec deux sages dans leur grand âge, la prophète Anne, 84 ans, et le vieillard Syméon. Son intention universelle de prière pour ce mois de février demande « que la sagesse et l'expérience des personnes âgées soient reconnues dans l'Eglise et dans la société »."
"De nos jours, on entend beaucoup d'un côté les anti-religieux les plus obtus et de l'autre les croyants qui affirment leur identité de foi face aux autres. Un peu de détente ne peut donc pas faire de mal. Merci donc à Coexister, le mouvement interreligieux et inter-convictionnel des jeunes, qui vient de publier un réjouissant Cahier de vacances au titre assez engageant : « Coexistez, bons dieux » (éd. du Cerf, 80 pages, 10 €, voir la présentation ici).
Le titre en dit déjà beaucoup. On ne peut que se réjouir de la mise au pluriel de l'expression populaire « bon dieu », juron jadis exclusivement catholique. En France au début du XXIe siècle, les dieux sont plusieurs, ce qui ne doit pas être une mauvaise nouvelle."
"Mais, le plus étonnant, passé le stupéfiant « Allô c'est le pape », c'est ce « nous pouvons nous tutoyer ». Ce tutoiement est un véritable changement culturel, particulièrement pour nos oreilles de français, hypersensibles à l'emploi nuancé du vous et du tu. Une hypersensibilité qui a des origines historiques. En politique, le tu connut une histoire tumultueuse. Ainsi, sous l'Ancien Régime, il était considéré comme grossier, avant que les révolutionnaires le réhabilitent comme expression du lien universel et manifestation d'égalité entre les êtres. L'année 1793 vit même la publication d'un décret obligeant le tutoiement dans les administrations -décret aboli sous la Convention nationale après la chute de Robespierre..."
"Etudier un conte qui comporte des références explicites à Jésus Christ est délicat selon un professeur des écoles. Dans un billet de blog, l'enseignant explique qu'il souhaitait faire lire à sa classe de CE1 Le Géant égoïste d'Oscar Wilde. Face à un passage qui fait clairement allusion au Christ, l'instituteur a recherché sur Internet comment ses collègues ont pu faire étudier le texte. Résultat : « Quelle ne fut pas ma surprise en découvrant qu'aucune séquence proposée ne fait mention des références chrétiennes du texte ! Pire, le texte est quelquefois modifié pour effacer toute connotation religieuse ». "
""Le Refuge", association de "lutte contre l'homophobie", vient d'obtenir un agrément national pour intervenir en milieu scolaire, afin probablement de sensibiliser nos petites têtes blondes sur leur homophobie larvée. Cette association, qui intervenait depuis 2010 dans les écoles, sans autorisation officielle, vient d'obtenir l'aval de Benoît Hamon. En 2013, elle est intervenue dans 1 500 établissements, soit 400 de plus que l'année précédente. Frédéric Gal, directeur du "Refuge", précise les objectifs de l'association, dont le principal est de "démystifier et banaliser l'homosexualité". Il est interviewé par Libération :"