Mouais, un peu maigre.
Les expérimentations décrites sont toutes sur des "classes" du primaire ou du secondaire, avec un effectif réduit (même si 35 c'est déjà beaucoup trop). La question reste entière sur des promotions du supérieur, tant sur les utilisations que sur les matériels. Mais on progresse.
ps: On parle aussi de faire taper du texte, quant on voit les manettes, bonjour l'ergonomie et la facilité ... j'espère que ce ne sera pas pour des leçons d'orthographe.
Simple. Vous voulez envoyer un fichier à votre pote d'en face ?
Cliquez sur "send" en retour vous obtenez un lien. Vous transmettez ce lien (toujours à votre pote d'en face) qui sert à venir sur votre ordi télécharger le fichier en question. Il n'est donc pas verser sur un serveur externe mais extrait de votre disque dur par votre pote d'en face.
Avantage, pas d'intermédiaire, inconvénient, votre ordi doit rester allumé.
Jusqu'à la capacité de l'équipe enseignante à compenser la déstabilisation impliquée par l'autonomie indispensable pour profiter d'un dispositif connectiviste.
C'est à dire : encadrement par des tutoriels, des consignes précises.
Un cadre organisationnel et technique strict !!
La question est de passer la barre des difficultés : obtenir que les étudiants ET les enseignants soient à l'aise dans un système complexe où la production des étudiants est encouragée : actif > passif.
Il faut aller au bout pour récolter les bénéfices et en particulier réadapter les critères d'évaluation.
A qui va la meilleure note ? au plus légitimiste ou au plus rebelle ?
A ce sujet, voir ma contribution : description du processus mis en place par B Stiegler pour son cours à l'UTC de Compiègne : http://www.riotice.com/?p=2673