Ils incluent également des technologies “rich media”, qui permettent aux
annonceurs de personnaliser leur publicité en fonction des profils des
visiteurs, de leurs centres d’intérêt, de leurs intentions d’achat, etc.
La complexité réside dans le fait de collecter suffisamment d’informations pour
livrer une publicité pertinente, mais pas trop, ce qui pourrait être interprété
comme une intrusion dans la vie privée.
le fait que toutes les publicités n’ont pas pour vocation de générer des ventes
directes
Les annonceurs sont donc également à la recherche de métriques plus
qualitatives, concrètes et tangibles : temps passé sur la publicité, taux
d’interaction, temps d’extension, nombre de vues, liens externes, etc.
Selon un récent rapport de Forrester Research, les annonceurs dépenseront en
effet en 2016 le même budget sur le marketing interactif que leur budget
télévision actuel
les publicités interactives ne représentaient jusqu’à très récemment qu’une
petite part de la publicité en ligne, elles ont augmenté de 66% l’année dernière
et devraient rapidement atteindre 50% du marché, avec l’utilisation du HTML5 et
des Smartphones
les leaders (le top 100) accusent un décalage avec une croissance de “seulement”
4,9 %.
l’alimentaire qui montre le plus nettement des signes de
faiblesse
il se retrouve au quatrième rang et marque
un coup d’arrêt (-4,1 %)
Dans le top ten des annonceurs, Renault
(-14,2 %), Orange (-10,7 %), SFR (-13,6 %) ou encore
Procter & Gamble et Unilever (-10,1 % et -7,6 %
respectivement) sont aussi en décalage par rapport à l’évolution globale du
marché qui reste positive
se distingue en accentuant sa pression publicitaire
de même que la mode (+29,4 %)
la banque
Le nombre d’annonceurs reste stable avec 38 038 entreprises actives
en progression de +0,2 %.
la télévision conforte son leadership en cumulant 9,4 milliards d’euros
d’investissements plurimédia (+6 %) mais surtout grâce aux chaînes de la
TNT
La presse connaît une année globalement positive (à 7,67 milliards d’euros, soit
une croissance de 3,9%), avec des nuances selon les segments (+24,3 % pour
les gratuits d’information, +5,4 % pour la presse magazine soutenue par le
lancement de nouvelles formules)
Internet poursuit sa croissance mais est devenu un secteur “mature”. Il
progresse de 7,6 % à 3,48 milliards d’euros
Monétisation de l'audience >400 000 user
Un CA inférieur à la valorisation de l'entreprise
Des annonceurs qui investissent 4 fois plus dans FB qu'en 2009
Le doute sur le ROI
La concurrence Twitter et Foursquare
Grâce à des recommandations hautement personnalisées, les éditeurs ont
constaté que les vidéos étaient vues 4 fois plus, ce qui permet
d’obtenir des flux de revenus plus importants pour le contenu sur les
smartphones, les tablettes, les ordinateurs portables et les téléviseurs
connectés.
améliorer
considérablement la monétisation de vidéos multiécrans
une
augmentation quadruplée de la participation du consommateur, ce qui
signifie des périodes plus longues de visionnement, un nombre plus élevé
de vidéos terminées et des revenus accrus.
fournir des recommandations les plus
personnalisées possibles de contenu et des guides de programmation
dynamiques sur tous les écrans
exploitation de données recueillies à partir d’environ 200 millions de
téléspectateurs chaque mois qui regardent des vidéos d’Ooyala sur la
toile
Cette base mondiale d’utilisateurs entraîne plus de deux milliards
d’analyses chaque jour
applique le traitement analytique en temps réel pour
ceci et pour des dizaines d’autres entrées afin de fournir un flux
continu de recommandations de contenus pertinentes d’un point de vue
local, personnel et social
entraîne des flux de
revenus améliorés grâce à la publicité, la vidéo à la demande ou aux
transactions Paywall.
L’approche d’Ooyala est que chaque écran soit personnalisé
La personnalisation représente l’avenir, non seulement pour la vidéo
en ligne mais pour l’industrie télévisuelle dans son intégralité
Source : businesswire.com
Date : 16/04/12
=> améliorer l'apport de contenu pour fournir un vrai service à l'utilisateur multi écrans, tout en faisant de l'hyperciblage pour les annonceurs.
l faut ensuite choisir des listes noires d’annonceurs à bannir
Le plus efficace reste de s’en prendre aux serveurs qui collectent les traces.
Naviguer incognito est presque mission impossible sur Internet. Il faudrait pour cela anonymiser intégralement sa connexion en utilisant un réseau comme Tor
ous offrant un schéma précis des traces qu’on a laissées sur le Web, involontairement et surtout inconsciemment
Le petit logiciel permet de visualiser toutes les interactions des sites que l’on visite et les tierces parties avec lesquelles ils communiquent en arrière-plan.
Faut il effacer nos traces numériques ou ouvrir le débat sur une solutions gagnant gagnant entre les annonceur et les annoncés ?
=> suis pour la deuxième option
Retour sur l'annonce concernant l'achat des marques sur AdWords. Que va-t-il se passer pour les annonceurs ? Que cherche réellement Google avec cette nouvelle mesure ?
Si les premiers annonceurs se déclarent satisfaits des performances des publicités réalisées avec la régie Apple, certains se plaignent de la mainmise de la firme à la pomme sur le processus de création.
Selon le WSJ, les applications concernées seraient notamment les jeux Farmville, Texas HoldEm Poker et FrontierVille de l'éditeur Zynga. "Trois des 10 applications les plus populaires, y compris Farmville, ont aussi transmis des informations personnelles sur les amis d'un utilisateur à des sociétés extérieures"
Le journal cite le cas de la société RapLeaf, spécialisée dans l'agrégation de données sur les internautes, qui aurait lié le Facebook ID envoyé par les applications à des profils d'internautes qu'il connaissait déjà. Il revendait ensuite ces bases de données
Que FB se servent de nos données pour mieux nous cibler via les pub dans sa plateforme... ok, on le sait, et on l'accepte en échange de l'utilisation de la plateforme. En revanche, qu'une sté tiers commercialise nos données, ça le fait moins, où alors faut le dire dès le depart !
«Traverser une crise, c'est un peu comme se raser à l'eau froide : les coupures sont inévitables», explique l'agence CB Grey, qui lance un site sur la communication en période de crise (couperoupascouper.fr).
Le lancement du site s'accompagne d'un film viral de 35 secondes mettant en scène trois annonceurs se vantant d'avoir coupé leurs budgets médias.
Le classement de la blogosphère française par Wikio a le mérite d'exister. Mais ses limites sont trop nombreuses pour qu'il serve de référence comme c'est le cas pour de nombreux annonceurs et agences.
La firme de Mountain View a annoncé en fin d'année dernière un nouveau service destiné aux agences & annonceurs. Il s'agit d'informations statistiques provenant d'un panel de 10 000 internautes ayant été exposés à de la publicité en ligne, face à 10 000 internautes n'ayant pas vu ces publicités. A suivre.
Les recherches sur smartphones ayant explosé l'année passée, ce nouveau type d'annonce offre la possibilité aux internautes d'entrer en contact grâce encore plus facilement avec vous, annonceurs.
« Think Different » rappelle à chaque collaborateur d’Apple pourquoi il y travaille.
Les parties prenantes d’une entreprise sont multiples : les employés, les fournisseurs, les clients, les actionnaires, les communautés dans lesquelles elles vivent. Les entreprises qui fixent l’intérêt de leurs actionnaires comme premier objectif privilégient souvent le court terme. Alors que celles qui donnent la priorité aux autres parties prenantes peuvent plus facilement s’inscrire dans la durée.
jamais les annonceurs n’ont eu autant besoin de leurs agences. Celles-ci doivent les aider à déchiffrer un paysage média de plus en plus complexe, à optimiser tous les points de contact entre une marque et ses clients.