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Thierry Marcou

Les nouvelles technos ne détruisent pas le cerveau, elles s'y adaptent ! « InternetActu.net - 1 views

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    "Notre système culturel s'est conformé aux types de formes auxquels notre cerveau était habitué pour lire le monde naturel. Nos alphabets ont été inventés pour se conformer à ce que notre cerveau lisait déjà dans la nature. L'écriture et la lecture, nos outils technologiques, se sont conformé à notre approche naturelle du monde ! Les nouvelles technos ne détruisent pas le cerveau, au contraire, estime le jeune neuroscientifique. Elles s'y adaptent, elles utilisent ses capacités pour les détourner. C'est le cerveau humain qui décide la manière dont on forme les technologies. Cela prendrait trop de temps de changer l'esprit humain. Nos technologies ne font que s'y conformer. Ce que nous faisons, inventons, est d'emblée conçu pour s'adapter à notre cerveau."
Thierry Marcou

Le cerveau, ce n'est pas 1 million de lignes de code - Information - France Culture - 1 views

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    "pour une fois, quelqu'un s'est manifesté pour expliquer que Kurzweil racontait n'importe quoi. Cette personne s'appelle Paul Zacharie  Myers, c'est un biologiste reconnu de l'Université du Minnesota, spécialisé en génétique du développement et il tient un blog du nom de Pharyngula. Et c'est sur son blog que Myers explique très calmement pourquoi Kurzweil raconte n'importe quoi. Voici sa démonstration. La prémisse du raisonnement de Kurzweil, est « Le design du cerveau est dans le génome ». Totalement faux, dit le chercheur. Le design du cerveau n'est pas encodé dans le génome. Ce qui est dans le génome, c'est une collection d'outils moléculaires, c'est la part régulatrice du génome, celle qui rend les cellules sensibles aux interactions avec un environnement complexe. Pendant son développement, le cerveau se déplie grâce à des interactions entre cellules, interactions dont nous ne comprenons aujourd'hui qu'une petite partie. Le résultat final, c'est un cerveau qui est beaucoup plus complexe que la somme des nucléotides qui encodent quelques milliers de protéines. On ne peut pas du tout déduire un cerveau des séquences de protéines de son génome. La manière dont vont s'exprimer ces séquences est dépendante de l'environnement et de l'histoire de quelques centaines de milliards de cellules, interdépendantes les unes des autres. "
Thierry Marcou

Des interfaces Cerveau-Ordinateur appliquées aux jeux vidéo - 0 views

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    "En réalité virtuelle et interaction homme-machine : OpenViBE2 a permis aux chercheurs d'Inria d'inventer de nouveaux concepts pour interagir avec des jeux vidéo de manière plus originale et efficace, et de proposer plusieurs premières mondiales : Interface cerveau-ordinateur " multi-joueurs " : Les chercheurs de l'Inria ont conçu la toute première application ludique collaborative ou compétitive dans laquelle les activités cérébrales de deux joueurs sont analysées en même temps. Les deux joueurs peuvent jouer ensemble, ou l'un contre l'autre, dans un jeu vidéo de football simplifié. Intégration naturelle des ICO dans les mondes virtuels : les chercheurs ont étudié comment mieux intégrer les stimulations nécessaires à certaines interfaces cerveauordinateur basées sur des réponses cérébrales en intégrant les stimuli visuels directement dans le monde virtuel. Par exemple certaines ICO nécessitent des " flashs visuels " reconnus dans le cerveau de l'utilisateur. Ceux-ci peuvent être intégrés dans le jeu vidéo par exemple sous la forme de papillons qui battent des ailes à différentes fréquences. Adaptation automatique du monde virtuel à l'état mental du joueur : Enfin, les chercheurs ont proposé des approches radicalement nouvelles où des éléments de l'environnement virtuel sont modifiés automatiquement en fonction de l'état mental. Dans un jeu de labyrinthe virtuel des guides sont ainsi automatiquement activés si l'utilisateur présente une charge mentale trop élevée. Ces travaux ont été primés au niveau international par plusieurs prix scientifiques (best paper award Eurohaptics 2012, BCI Award 2012 nominee)."
Thierry Marcou

Le ventre, notre deuxième cerveau | ARTE Future - 2 views

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    "Il y a quelques années, les scientifiques ont découvert en nous l'existence d'un deuxième cerveau. Notre ventre contient en effet deux cents millions de neurones qui veillent à notre digestion et échangent des informations avec notre "tête". Les chercheurs commencent à peine à décrypter cette conversation secrète. Ils se sont aperçus par exemple que notre cerveau entérique, celui du ventre, produisait 95 % de la sérotonine, un neurotransmetteur qui participe à la gestion de nos émotions. On savait que ce que l'on ressentait pouvait agir sur notre système digestif. On découvre que l'inverse est vrai aussi : notre deuxième cerveau joue avec nos émotions."
Thierry Marcou

Des jeux vidéo connectés au cerveau - Jeux et Jouets - 0 views

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    "Dix prototypes de jeux vidéo commandés par la pensée ont été développés dans le cadre du projet OpenVibe2. Les partenaires, un consortium peu banal qui réunissait informaticiens, spécialistes du traitement du signal, médecins et industriels du jeu vidéo (voir la liste des participants ci-dessous), ont travaillé pendant 3 ans pour évaluer le potentiel des interfaces cerveau-ordinateur (ICO) dans le domaine des jeux vidéo, application complexe et exigeante."
Thierry Marcou

۩ Affinités électriques, le songe obsédant d'une physique de l'âme (I) - errata - 0 views

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    "Car le début du XXIe siècle entérine le triomphe du réductionnisme scientifique : le psychique est ramené au neuronal, l'individu n'est plus considéré que comme un ensemble de systèmes neuro-somatiques entièrement intelligibles à la science. Le rêve d'établir une « physique de l'âme »[1] se réalise enfin grâce à l'observation directe du cerveau par la neuroimagerie et aux traitements de neurostimulation électrique - traitements dont l'électrochoc est un ancêtre décrié et cependant bien loin d'être mort et enterré. Pour comprendre comment ont été posées les bases de cette forme de réductionnisme et de ses principales métaphores - on parle, par exemple, de « l'activité électrique » du cerveau, de la « conduction électrique de l'influx nerveux », de « câblage » et de « circuiterie neuronale » -, il faut retracer l'histoire de l'électrophysiologie en remontant au siècle des Lumières, une époque marquée par les découvertes du « magnétisme animal » par Franz-Anton Mesmer et surtout de l' « électricité animale » par son contemporain Luigi Galvani."
Thierry Marcou

La conscience (dé)-codée de Stanislas Dehaene - 0 views

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    "L'hypothèse forte, c'est l'existence dans le cerveau d'un «espace de travail neuronal global», un concept partagé par toute une école de pensée dans la communauté neuroscientifique. La conscience, écrit Dehaene, «c'est la diffusion d'une information dans le cerveau pour la rendre disponible à la mémoire de travail ou à long terme, et aux systèmes d'évaluation, de focalisation d'attention, perceptifs, moteurs, par les autoroutes neuronales, les faisceaux d'axones de quelques millimètres de diamètre.»"
Thierry Marcou

Algorithmes devins : les smartphones, bientôt nos « deuxièmes cerveaux » ? - Le nouvel Observateur - 0 views

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    " Et je pense que c'est déjà le cas. Le produit qu'on est en train de lancer, on appelle littéralement ça un « cerveau de poche ». On voit vraiment le téléphone comme un deuxième cerveau : ce que l'humain ne peut pas capturer, la technologie peut le faire pour lui. Le téléphone est un pont entre le monde physique où l'on vit et le monde virtuel. Mais ce lien-là est en train de se diffuser un peu partout, on le voit avec les objets connectés. L'Internet des objets, il faut le voir comme une manière de récupérer de la donnée de contexte sur ce qu'on fait dans sa vie de tous les jours, et d'avoir des programmes qui réagissent en fonction"
Thierry Marcou

L'intelligence artificielle n'aura pas lieu. | Scilogs.fr :Intelligence mécanique - 0 views

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    Un article de Nicolas Rougier de l'Inria et correspondant Bodyware "Un premier courant symbolique considère la machine comme un système de manipulation de symboles qui peut être utilisé pour instancier des représentations formelles du monde. Il repose sur la logique, se faisant ainsi l'héritier des rationalistes, et sa philosophie peut se résumer à la volonté de construire un esprit ("making a mind"). Mené par Allen Newell et Herbert Simon, ce courant symbolique stipule que l'intelligence repose sur la notion de symbole. Le deuxième courant connexionniste considère en revanche la machine comme un support de la modélisation du cerveau offrant les capacités nécessaires pour simuler les interactions entre les neurones. Il repose sur le domaine des statistiques et sa philosophie peut se résumer à la volonté de modéliser le cerveau ("modelling the brain"). Ce courant connexionniste mené par, entre autres, Frank Rosenblatt propose une vision numérique du traitement de l'information et s'oppose à l'hypothèse symboliste. Aujourd'hui, nous savons que l'intelligence humaine ne se réduit pas à une simple manipulation des symboles. L'expérience du monde physique, au travers du corps, est un élément essentiel du développement de la cognition. C'est ce qu'on appelle la cognition incarnée et les plus gros défis de l'intelligence artificielle se situe aujourd'hui dans ce domaine."
Thierry Marcou

Influencia - Marketing Progress - Le vibro intelligent révolutionne l'orgasme féminin ! - 0 views

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    "Le plaisir de l'innovation peut aussi être solitaire ! Premier vibro relié à un iPod pour orgasme musical garanti, Ohmybod offre depuis l'hiver 2012 une nouvelle facette technologique à la masturbation féminine. Ses tabous sont tombés comme des dominos depuis dix ans et les fabricants de godemichets rivalisent de créativité. Presque un an après le lancement de son application « massager », la startup californienne Vibease propose désormais le premier sextoy intelligent.   « Les gens oublient souvent que le cerveau est le principal organe sexuel. Les études montrent que l'ouïe, les humeurs et les émotions jouent un rôle primordial dans le plaisir sexuel des femmes », explique Hermione Way, co-fondatrice de Vibease. Premier vibro portable connecté, l'objet de notre curiosité entend offrir « une nouvelle expérience  de chaque seconde dans le voyage du plaisir, jusqu'à son intense conclusion. » Tout un programme !   Activable de son smartphone ou de sa tablette sur iOs ou Android via Bluetooth, Vibease ne manque pas d'atouts pour séduire les curieuses. Primo il permet d'avoir les deux mains libres, dispose d'une batterie de trois heures et se recharge sur un port USB ; secundo il est contrôlable à distance par un compagnon sexuel virtuel et peut même enregistrer en amont la voix de votre partenaire ; tertio il est capable de synchroniser ses vibrations et leur intensité avec les textes érotiques dont dispose Vibease dans sa librairie coquine. Celles qui préfèrent customiser leur propre univers auditif d'excitation pourront le faire."
Thierry Marcou

Jeu vidéo contre la maladie - MARQUE - l'ADN - 1 views

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    "Le système : le joueur porte des lunettes rouge et bleue qui font que les personnages du jeu ne sont vus qu'avec l'œil faible et les trésors à récupérer qu'avec l'œil fort. Pour accomplir les missions, le cerveau doit donc utiliser les deux yeux. En deux mois de jeu, 90% des patients retrouvent une vue saine, contre seulement 60% entre 6 mois et 1 an de traitement avec la technique du bandeau pirate. Belle avancée !"
Thierry Marcou

L'âge de l'amélioration : jusqu'où iriez-vous dans l'amélioration de vous-même ? « InternetActu.net - 2 views

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    "Si un implant cérébral était sûr et disponible, et vous permettait de manipuler votre iPad ou votre voiture par la seule force de la pensée, en voudriez-vous un ? Qu'en serait-il d'un outil intégré qui arroserait gentiment votre cerveau en électrons et augmenterait votre mémoire et votre attention ? Est-ce que vous en achèteriez un à vos enfants ? Lors d'une prochaine élection présidentielle, voteriez-vous pour un candidat doté d'implants neuronaux lui permettant d'optimiser ses réactions pendant une crise, ou pendant un débat d'entre deux tours ? Voteriez-vous pour un chef des armées qui n'est pas équipé d'un tel outil ?"
Aurialie Jublin

Alain Damasio : on a externalisé le corps humain - Télérama.fr - 0 views

  • Ma conception est très simple : toute personne qui affirme qu’il existerait un stade supérieur de l’être humain, accessible uniquement par la technologie, est quelqu’un qui, au fond de lui, considère que l’être humain naturel est handicapé. Les innovations sont presque toujours présentées sous l’angle rassurant d’un handicap à pallier.
  • Les machines troisième génération – ordinateur, téléphone portable, console de jeu – inversent ce rapport : la machine n’est plus extérieure à nous, c’est nous qui sommes à l’intérieur d’elle. Elle est devenue le monde dans lequel on vit, pense, séduit, joue, échange. On est face à une rupture qui bouleverse notre rapport aux autres, au monde et à soi et derrière laquelle on court en tentant de comprendre. Le basculement a lieu au début des années 1990, à partir de la co-apparition du téléphone portable et des réseaux.
  • Est-ce que le Quantified Self est représentatif de notre rapport à la technologie ? Je le crois, oui. Ma thèse est la suivante : la technologie accroît notre pouvoir sur les choses mais diminue notre puissance de vivre. Elle nous pousse à déléguer ce que nos forces intérieures sont capables d’accomplir seules. Des philosophes comme Jean-François Lyotard et Spinoza font cette distinction entre pouvoir et puissance et je la trouve très probante dans notre relation aux nouvelles technologies.
  • ...2 more annotations...
  • Nous sommes aussi en train d’externaliser le cerveau ! Nous déléguons toutes nos facultés cognitives automatisables. L’orientation avec le GPS, la mémorisation avec les moteurs de recherche, l’organisation rationnelle à coup d’applis dédiées. Michel Serres a joliment développé ces enjeux. Il fait preuve d’une sorte d’optimisme technologique et trouve formidable d’externaliser la mémoire pour se concentrer sur le plus beau de l’être humain : la créativité. En vérité, nous avons délégué tellement de nos capacités à la technologie que si l’on n’y prend garde, il ne nous restera que l’émotion brute. La créativité n’apparaît pas du jour au lendemain, elle demande des années de construction. Il faut avoir des piles de pont mémorielles pour pouvoir relier les choses, pour pouvoir même penser. Sans cette mémoire de travail, sans ces structures cognitives de base que sont l’analyse, la synthèse, l’effort de classer ou de hiérarchiser, nous deviendrons tout doucement des légumes qui feront des likes et des dislikes sur Internet, retransféreront des tweets et singeront des mèmes parce que nous n’aurons plus l’appareil cognitif pour manipuler tout ça.
  • Il est urgent d’apprendre aux gens à aller au bout de ce qu’ils peuvent, avec leur propres forces – intellectuelles, corporelles, spirituelles – leur rappeler que percevoir est un art qui prend des années de minuscules efforts quotidiens. Le transhumanisme est une fermeture frustrée au monde parce que l’humain n’a pas encore livré toute sa saveur, sa grandeur et son intelligence sensible, qui jaillit à la jonction de la chair et de l’esprit. Notre intellect est infini, certes, mais comme le disait Spinoza, il y a plus fascinant encore : “on ne sait pas ce que peut un corps”. Alors apprenons.
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    Interview d'Alain Damasio
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