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  #1 masquebf3 on 25 Aug 14

   

  Tandis que règne cette ambiance délétère au sein de l'Institut, des concertations ont fini par être engagées avec une association de professeurs pour assurer la sauvegarde de l'outil d'enseignement.<p>Locaux décrépis<p>Le palais Clam-Gallas, siège de l'Institut, érigé en 1834 et ancienne résidence du haut commissaire français en Autriche (1951-1955), s'interroge lui aussi sur son avenir. Avec son parc mal entretenu et ses locaux décrépis, la rumeur court qu'il pourrait être vendu, sans doute en dessous de sa valeur réelle, à cause du manque d'entretien. Karl Wlaschek, l'ancien fondateur des supermarchés autrichiens Billa, reconverti dans l'investissement immobilier de luxe, se serait manifesté. Une évaluation du bien aurait été lancée dans des agences immobilières.<p>« Vendre Clam-Gallas revient à brader notre patrimoine », s'insurge Richard Yung, sénateur PS des Français de l'étranger, tandis que son homologue UMP, Robert Denis del Picchia, moins catégorique, jugerait une telle vente dommageable. « Nous ne sommes pas dans une situation de repli », rétorque-t-on de source diplomatique, arguant qu'il s'agit juste d'« adapter » la présence de la France en Europe, tandis que la priorité est le renforcement de l'action culturelle dans les pays émergents, à commencer par la Chine et l'Inde. reduction sac longchamps pliage
  <p>La présence française à Vienne, avec ses huit implantations, dont trois ambassades (bilatérale, ONU, OSCE), dont six louées à prix d'or, devrait subir de plein fouet ce « redéploiement de moyens », selon l'expression consacrée. À Paris, on estime que le palais Clam-Gallas pourrait à l'avenir rassembler les services consulaires et culturels de l'État, moyennant des travaux de rénovation estimés à plus de 200 000 euros. « Toutes les pistes sont étudiées », assure le ministère des Affaires étrangères.Rarement un ensemble d'actions militaires aura coûté aussi cher. Lourdement engagés dans trois opérations majeures, depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont déjà dépensé plus de 437 milliards de dollars. Une somme colossale, qui représente une contribution de près de 1 500 dollars par Américain (environ 1 200 euros). La seule guerre en Irak - opération Iraqui Freedom (OIF) - a déjà coûté 320 milliards de dollars, ce qui porte son coût mensuel moyen à 6,4 milliards, soit environ 200 millions de dollars par jour. sac à dos longchamp pas cher Au rythme d'environ 100 milliards de dollars par an, l'Irak représente à lui seul une part non négligeable du budget annuel du Pentagone, qui, dans son entier, a atteint 417,5 milliards en 2005.<br>Les deux autres opérations, en Afghanistan - opération Enduring Freedom (OEF) - et dans le reste du monde, dans le cadre de la lutte antiterroriste - Global War on Terror (GWOT) -, entraînent à elles seules un coût mensuel de 1,3 milliard de dollars. Soit environ 43 millions de dollars par jour.<br>Des GI dans plus de 120 pays<br>Au total, sur 1 043 000 militaires mobilisables (485 000 soldats de l'armée d'active, 206 000 réservistes et 352 000 hommes et femmes de la Garde nationale), quelque 368 900 soldats américains sont actuellement stationnés dans plus de 120 pays. Un chiffre qui englobe les personnels militaires des ambassades, les instructeurs et consultants présents dans les armées étrangères, les soldats servant dans les programmes de l'ONU de maintien de la paix, les troupes incorporées sous la bannière de l'Otan comme ceux qui sont en opérations et/ou qui sont déployés dans les quelque 300 bases aériennes, terrestres et maritimes américaines. Des bases implantées notamment en Allemagne, en Italie, au Portugal, en Espagne, au Royaume-Uni, en Belgique, aux Pays-bas, en Grèce, en Islande, en Turquie, en Arabie saoudite, dans le sultanat de Bahreïn, au Japon, en Corée du Sud, sur l'île de Diego Garcia (océan Indien) et à Cuba (base de Guantanamo). Dans le cadre des trois opérations en cours, OIF, OEF, GWOT, 245 861 militaires participent activement à la guerre menée principalement en Irak, en Afghanistan, aux Philippines et partout où la traque des membres d'al-Qaida et des autres organisations terroristes s'intensifie. sac a dos longchamps
  <br>Irak : 2 836 morts américains<br>S'ajoutent le Kosovo et la Bosnie-Herzégovine (KFOR/SFOR), l'Egypte à proximité de la frontière avec l'Etat d'Israël et la Corée du Sud, où des GI sont engagés. Sur les 37 brigades de combats et régiments blindés de l'armée d'active, 12 servent aujourd'hui outre-mer. Et sur les 37 brigades de la Garde nationale, 4 sont déployées tandis que 4 autres devraient l'être prochainement. Une présence opérationnelle très éprouvante, qui use lentement les régiments de l'armée américaine en mouvement quasi permanent depuis cinq ans.<br>De plus, rien qu'en Irak, 2 836 militaires américains ont trouvé la mort depuis l'invasion du pays par la coalition alliée en mars 2003, selon les chiffres du Pentagone. Un bilan très lourd qui, avec l'éloignement des «boys» et le coût exorbitant de la guerre, pèse aussi sur les élections parlementaires. D'autant plus que, même dans le propre camp de George W.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Tandis que règne cette ambiance délétère au sein de l'Institut, des concertations ont fini par être engagées avec une association de professeurs pour assurer la sauvegarde de l'outil d'enseignement.<p>Locaux décrépis<p>Le palais Clam-Gallas, siège de l'Institut, érigé en 1834 et ancienne résidence du haut commissaire français en Autriche (1951-1955), s'interroge lui aussi sur son avenir. Avec son parc mal entretenu et ses locaux décrépis, la rumeur court qu'il pourrait être vendu, sans doute en dessous de sa valeur réelle, à cause du manque d'entretien. Karl Wlaschek, l'ancien fondateur des supermarchés autrichiens Billa, reconverti dans l'investissement immobilier de luxe, se serait manifesté. Une évaluation du bien aurait été lancée dans des agences immobilières.<p>« Vendre Clam-Gallas revient à brader notre patrimoine », s'insurge Richard Yung, sénateur PS des Français de l'étranger, tandis que son homologue UMP, Robert Denis del Picchia, moins catégorique, jugerait une telle vente dommageable. « Nous ne sommes pas dans une situation de repli », rétorque-t-on de source diplomatique, arguant qu'il s'agit juste d'« adapter » la présence de la France en Europe, tandis que la priorité est le renforcement de l'action culturelle dans les pays émergents, à commencer par la Chine et l'Inde. <a title="reduction sac longchamps pliage" rel="nofollow" href="http://qui-connait-le-site-longchamp-pas-cher.moonfruit.fr/">reduction sac longchamps pliage</a> <br /> <p>La présence française à Vienne, avec ses huit implantations, dont trois ambassades (bilatérale, ONU, OSCE), dont six louées à prix d'or, devrait subir de plein fouet ce « redéploiement de moyens », selon l'expression consacrée. À Paris, on estime que le palais Clam-Gallas pourrait à l'avenir rassembler les services consulaires et culturels de l'État, moyennant des travaux de rénovation estimés à plus de 200 000 euros. « Toutes les pistes sont étudiées », assure le ministère des Affaires étrangères.Rarement un ensemble d'actions militaires aura coûté aussi cher. Lourdement engagés dans trois opérations majeures, depuis les attentats du 11 septembre 2001, les Etats-Unis ont déjà dépensé plus de 437 milliards de dollars. Une somme colossale, qui représente une contribution de près de 1 500 dollars par Américain (environ 1 200 euros). La seule guerre en Irak - opération Iraqui Freedom (OIF) - a déjà coûté 320 milliards de dollars, ce qui porte son coût mensuel moyen à 6,4 milliards, soit environ 200 millions de dollars par jour. <a title="sac à dos longchamp pas cher" rel="nofollow" href="http://qui-connait-le-site-longchamp-pas-cher.moonfruit.fr/">sac à dos longchamp pas cher</a> Au rythme d'environ 100 milliards de dollars par an, l'Irak représente à lui seul une part non négligeable du budget annuel du Pentagone, qui, dans son entier, a atteint 417,5 milliards en 2005.<br>Les deux autres opérations, en Afghanistan - opération Enduring Freedom (OEF) - et dans le reste du monde, dans le cadre de la lutte antiterroriste - Global War on Terror (GWOT) -, entraînent à elles seules un coût mensuel de 1,3 milliard de dollars. Soit environ 43 millions de dollars par jour.<br>Des GI dans plus de 120 pays<br>Au total, sur 1 043 000 militaires mobilisables (485 000 soldats de l'armée d'active, 206 000 réservistes et 352 000 hommes et femmes de la Garde nationale), quelque 368 900 soldats américains sont actuellement stationnés dans plus de 120 pays. Un chiffre qui englobe les personnels militaires des ambassades, les instructeurs et consultants présents dans les armées étrangères, les soldats servant dans les programmes de l'ONU de maintien de la paix, les troupes incorporées sous la bannière de l'Otan comme ceux qui sont en opérations et/ou qui sont déployés dans les quelque 300 bases aériennes, terrestres et maritimes américaines. Des bases implantées notamment en Allemagne, en Italie, au Portugal, en Espagne, au Royaume-Uni, en Belgique, aux Pays-bas, en Grèce, en Islande, en Turquie, en Arabie saoudite, dans le sultanat de Bahreïn, au Japon, en Corée du Sud, sur l'île de Diego Garcia (océan Indien) et à Cuba (base de Guantanamo). Dans le cadre des trois opérations en cours, OIF, OEF, GWOT, 245 861 militaires participent activement à la guerre menée principalement en Irak, en Afghanistan, aux Philippines et partout où la traque des membres d'al-Qaida et des autres organisations terroristes s'intensifie. <a title="sac a dos longchamps" rel="nofollow" href="http://qui-connait-le-site-longchamp-pas-cher.moonfruit.fr/">sac a dos longchamps</a> <br /> <br>Irak : 2 836 morts américains<br>S'ajoutent le Kosovo et la Bosnie-Herzégovine (KFOR/SFOR), l'Egypte à proximité de la frontière avec l'Etat d'Israël et la Corée du Sud, où des GI sont engagés. Sur les 37 brigades de combats et régiments blindés de l'armée d'active, 12 servent aujourd'hui outre-mer. Et sur les 37 brigades de la Garde nationale, 4 sont déployées tandis que 4 autres devraient l'être prochainement. Une présence opérationnelle très éprouvante, qui use lentement les régiments de l'armée américaine en mouvement quasi permanent depuis cinq ans.<br>De plus, rien qu'en Irak, 2 836 militaires américains ont trouvé la mort depuis l'invasion du pays par la coalition alliée en mars 2003, selon les chiffres du Pentagone. Un bilan très lourd qui, avec l'éloignement des «boys» et le coût exorbitant de la guerre, pèse aussi sur les élections parlementaires. D'autant plus que, même dans le propre camp de George W.</div>

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