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started by descendants1 descendants1 on 02 Mar 15
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    Un comportement « nécessaire » pour que l'UE renoue avec Damas, peut-on lire dans la déclaration finale. Cette formulation satisfait la France, mais ne dissimule pas son isolement sur la question. Des visites ministérielles espagnole, britannique et allemande, jugées « contre-productives » par Paris, se sont succédé dans la capitale syrienne récemment. Pour sa part, la Commission européenne n'exclut pas une reprise des relations avec Damas. Et l'Allemagne, qui prend le 1er janvier la présidence de l'UE, pousse, en coulisses, à une normalisation des relations avec la Syrie.Pourquoi avoir rompu les relations diplomatiques avec Paris ?Paul KAGAME.- Depuis des années, notre relation avec la France n'est pas bonne. sac besace longchamp pas cher
    Cela remonte à l'époque où le gouvernement français soutenait le gouvernement d'Habyarimana, responsable du génocide. Quand nous sommes arrivés au pouvoir, Paris s'est mis à multiplier les obstructions. Nous avons fait des efforts pour bâtir une relation normale, mais sans y parvenir. Des pays africains, votre ancien ministre des Affaires étrangères, Michel Barnier, ont essayé. Mais nous nous sommes rendu compte, au fil des discussions, que ceux à qui l'on demandait l'essentiel des efforts étaient les victimes. Et puis, en 2004, il y a eu cette publication dans un journal français d'une enquête du juge Bruguière sur l'attentat d'avril 1994. Dès ce moment, il était clair que Bruguière voulait impliquer le FPR (le parti au pouvoir). sac a main longchamp pas cher Avec le dernier incident (l'émission de neuf mandats d'arrêts visant des responsables de Kigali, NDLR), il est devenu évident qu'il ne s'agissait pas simplement du travail d'un juge. Pour nous, le gouvernement français est derrière le juge.Le juge Bruguière a-t-il demandé à se rendre au Rwanda ?Il n'a jamais rien demandé, il n'a même pas essayé. Il aurait dû.Le juge vous accuse d'avoir commandité l'attentat et de l'avoir fait réaliser par des hommes du FPR ?Je le dis avec insistance et en lettres majuscules : nous n'avons jamais fait cela. Jamais. Mais cette réponse n'est pas suffisante. sac de voyage longchamp pas cher
    Je vais poursuivre en me faisant l'avocat du diable. Et poser une étrange question : supposons que nous l'ayons fait ? Supposons cela. Et alors ? Habyarimana était un dictateur. Pourquoi la France et le juge Bruguière sont-ils si concernés par le sort d'un dictateur et si peu par celui d'un million de morts ? Je veux soulever un autre point : de 1990 à 1994, nous étions dans une situation de guerre. Des accords de paix avaient été passés en 1993. Mais, de cette année à la mort d'Habyarimana, le gouvernement rwandais a tué les gens, a entraîné les milices qui ont commis le génocide. Maintenant, le juge dit : Habyarimana est mort dans cette situation de guerre et vous devez être tenu responsable de tout.

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