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  #1 stlwdwl1 on 25 Aug 14

   

  George W. Bush et les républicains sont tellement associés au rejet du protocole de Kyoto que les défenseurs de l'environnement ont fini par les diaboliser. Car si ce traité imposant aux pays industrialisés de réduire leurs émissions de 5,2 % entre 1990 et 2012 a été signé en 1997 par l'Administration Clinton, cela fait cinq ans que le président américain oppose farouchement son veto à sa ratification.<p>« C'est une bonne nouvelle pour le climat », a lancé Hans Verholme, directeur du climat au WWF, résumant l'état d'esprit général dans les couloirs de cette conférence. Les partisans du protocole de Kyoto ne doivent pas pour autant se réjouir trop vite. Harlan Watson, le chef de la délégation américaine dans ces négociations, a réaffirmé la position américaine, la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre sans plafond contraignant. « Je ne prévois pas de modification de notre politique. sac a dos pliage longchamp pas cher
  .. Le président (... ) est très content que nous progressions et ne voit aucune raison de changer », a-t-il ainsi déclaré à Reuters.<p>Volte-face<p>« Nous ne perdons pas espoir », confie de son côté Arthur Runge-Mentzger, chef du service climat au sein de la Direction générale de l'environnement de la Commission européenne. sac a dos pliage longchamps Le réalisme impose cependant de ne pas envisager un éventuel revirement du premier pollueur de la planète - avec 40 % des émissions mondiales - avant la prise de fonction d'un nouveau président, en janvier 2009. Car s'il est vraisemblable que George W. Bush ne s'oppose pas à la promotion des énergies renouvelables ou à la réduction de la consommation d'énergie figurant dans le programme démocrate, il risque en revanche d'opposer son veto à une volte-face sur Kyoto. La signature d'un nouveau traité et sa ratification ne pourraient dès lors intervenir à temps avant l'échéance de fin 2012. Pour des raisons constitutionnelles, la ratification d'un tel texte peut en effet prendre dans certains pays, comme le Japon, deux ou trois ans.<p>« Attendre un revirement américain pour prendre les décisions sur l'« après-2012 » revient à provoquer une césure entre la première et la deuxième période d'engagement. Pour le marché du carbone en plein développement, ce n'est pas acceptable », met en garde Laetitia de Marez, représentante de Greenpeace à Nairobi. sac a main cuir longchamp pas cher
  Il incombe donc aux membres du « Kyoto Club » de continuer à négocier entre eux un nouveau schéma de lutte contre le réchauffement pour l'avenir.<p>Les pays en développement, qui font preuve d'une réelle volonté de collaboration à Nairobi, pourraient leur faciliter la tâche. Les alliés traditionnels des Américains se sentent, eux, plus isolés. « Le Canada, qui avait des velléités de rejeter Kyoto avant l'ouverture de la conférence, fait profil bas », constate Morgane Créach, du Réseau Action Climat. L'Australie, qui subit une sécheresse, pourrait elle aussi revoir sa position. Le commissaire européen à l'Environnement, Stavros Dimas, aime paraphraser Churchill : « Les États-Unis font toujours ce qu'il convient, après avoir épuisé les autres options. »DEPUIS UN MOIS, grâce à Premyslaw Gosiewski, le train express qui relie Varsovie à Cracovie fait une halte à Wloszczowa, une bourgade de 10 000 habitants.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">George W. Bush et les républicains sont tellement associés au rejet du protocole de Kyoto que les défenseurs de l'environnement ont fini par les diaboliser. Car si ce traité imposant aux pays industrialisés de réduire leurs émissions de 5,2 % entre 1990 et 2012 a été signé en 1997 par l'Administration Clinton, cela fait cinq ans que le président américain oppose farouchement son veto à sa ratification.<p>« C'est une bonne nouvelle pour le climat », a lancé Hans Verholme, directeur du climat au WWF, résumant l'état d'esprit général dans les couloirs de cette conférence. Les partisans du protocole de Kyoto ne doivent pas pour autant se réjouir trop vite. Harlan Watson, le chef de la délégation américaine dans ces négociations, a réaffirmé la position américaine, la lutte contre les émissions de gaz à effet de serre sans plafond contraignant. « Je ne prévois pas de modification de notre politique. <a title="sac a dos pliage longchamp pas cher" href="http://sac-a-dos-longchamps-prix.moonfruit.fr/" rel="nofollow">sac a dos pliage longchamp pas cher</a> <br /> .. Le président (... ) est très content que nous progressions et ne voit aucune raison de changer », a-t-il ainsi déclaré à Reuters.<p>Volte-face<p>« Nous ne perdons pas espoir », confie de son côté Arthur Runge-Mentzger, chef du service climat au sein de la Direction générale de l'environnement de la Commission européenne. <a title="sac a dos pliage longchamps" href="http://sac-a-dos-longchamps-prix.moonfruit.fr/" rel="nofollow">sac a dos pliage longchamps</a> Le réalisme impose cependant de ne pas envisager un éventuel revirement du premier pollueur de la planète - avec 40 % des émissions mondiales - avant la prise de fonction d'un nouveau président, en janvier 2009. Car s'il est vraisemblable que George W. Bush ne s'oppose pas à la promotion des énergies renouvelables ou à la réduction de la consommation d'énergie figurant dans le programme démocrate, il risque en revanche d'opposer son veto à une volte-face sur Kyoto. La signature d'un nouveau traité et sa ratification ne pourraient dès lors intervenir à temps avant l'échéance de fin 2012. Pour des raisons constitutionnelles, la ratification d'un tel texte peut en effet prendre dans certains pays, comme le Japon, deux ou trois ans.<p>« Attendre un revirement américain pour prendre les décisions sur l'« après-2012 » revient à provoquer une césure entre la première et la deuxième période d'engagement. Pour le marché du carbone en plein développement, ce n'est pas acceptable », met en garde Laetitia de Marez, représentante de Greenpeace à Nairobi. <a title="sac a main cuir longchamp pas cher" href="http://sac-a-dos-longchamps-prix.moonfruit.fr/" rel="nofollow">sac a main cuir longchamp pas cher</a> <br /> Il incombe donc aux membres du « Kyoto Club » de continuer à négocier entre eux un nouveau schéma de lutte contre le réchauffement pour l'avenir.<p>Les pays en développement, qui font preuve d'une réelle volonté de collaboration à Nairobi, pourraient leur faciliter la tâche. Les alliés traditionnels des Américains se sentent, eux, plus isolés. « Le Canada, qui avait des velléités de rejeter Kyoto avant l'ouverture de la conférence, fait profil bas », constate Morgane Créach, du Réseau Action Climat. L'Australie, qui subit une sécheresse, pourrait elle aussi revoir sa position. Le commissaire européen à l'Environnement, Stavros Dimas, aime paraphraser Churchill : « Les États-Unis font toujours ce qu'il convient, après avoir épuisé les autres options. »DEPUIS UN MOIS, grâce à Premyslaw Gosiewski, le train express qui relie Varsovie à Cracovie fait une halte à Wloszczowa, une bourgade de 10 000 habitants.</div>

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