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started by masquebf4 on 08 Aug 14
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    Aujourd'hui, avec la perspective de son départ proche du pouvoir (d'ici un an), ils se sentent plus libres d'exprimer leurs opinions », ajoute-t-il. L'union sacrée affichée par Tony Blair et George W. Bush depuis le lancement de l'offensive en Irak en 2003 a en effet subi des accrocs au cours des derniers mois. Le premier ministre britannique a, à plusieurs reprises, demandé la fermeture rapide du camp de détention américain de Guantanamo Bay et régulièrement envoyé au feu ses ministres pour relayer ses critiques. Margaret Beckett, le secrétaire au Foreign Office a ainsi, pas plus tard que jeudi, estimé que « la poursuite de la détention sans procès de prisonniers est inacceptable en termes de droits de l'homme, mais également inefficace en termes de contre-terrorisme ». Ces critiques ont reçu l'approbation de Tony Blair « dans la mesure où il est obsédé par l'idée de prouver avant son départ qu'il n'est pas le caniche de George Bush », estime pour sa part l'expert Jonathan Eyal, du Royal United Services Institute (RUSI) spécialisé dans les questions de défense et de stratégie. Cette critique a en effet été adressée à la diplomatie du premier ministre tout au long de son mandat, « mais sur l'Irak, Tony Blair est coincé. lacoste a pas cher
    Il ne peut prendre de décisions radicales, comme un désengagement, car ce serait désavouer l'ensemble de sa politique étrangère », explique l'expert. D'où ses déclarations passionnées lors du congrès annuel du Parti travailliste, fin septembre à Manchester, où il avait assuré que « se retirer maintenant d'Irak reviendrait à commettre un acte lâche de reddition ». Intérêts électoraux Mais le fait que le ministère de la Défense ait autorisé le général Dannatt, très respecté au sein de l'armée et réputé pour son franc-parler, à donner une interview, est révélateur. « Depuis quelques mois, les militaires du Pentagone comme ceux de Londres commencent à dire de plus en plus clairement que notre présence en Irak constitue une partie du problème et réclament une stratégie de sortie claire », note Jonathan Eyal. La multiplication des pertes des soldats britanniques - 27 depuis le début de l'année, 119 depuis 2003 (sur 7 000 hommes déployés) - accentue le malaise dans l'opinion publique. La prise de distance de Londres avec Washington s'est traduite aussi par une série de fuites récentes révélant que le chancelier de l'Échiquier, Gordon Brown, pressenti pour être le successeur de Blair au Parti travailliste, n'aurait soutenu le conflit en Irak que du bout des lèvres en 2003. Et David Cameron, le chef des conservateurs, pourtant traditionnellement très attachés à l'alliance transatlantique, prône désormais une relation « équilibrée » avec les États-Unis, mais exempte de tout signe « d'amitié servile ». lacoste pas cher basket Les deux hommes, qui se disputeront probablement aux prochaines élections, prévues d'ici 2009, le poste de premier ministre, « sont pourtant tous les deux atlantistes mais guidés par des intérêts électoraux », juge Jonathan Eyal, qui rappelle que ni Gordon Brown ni David Cameron n'affichent la moindre velléité de s'impliquer davantage dans l'unification européenne. Mais « tous deux ne peuvent négliger le fait que la relation transatlantique est devenue, pour la première fois en plusieurs dizaines d'années, un problème majeur dans le débat politique en Grande-Bretagne », ajoute M. Eyal. « Gordon Brown, s'il succède bien à Tony Blair, ou David Cameron, s'il est élu, devra instaurer une certaine distance avec les États-Unis. Ils ne pourront décemment poursuivre la politique de Blair.DÉBATTRE ou pas ? La favorite des sondages pour l'investiture présidentielle du PS, Ségolène Royal, n'a pas la partie facile : quand elle s'exprime, ses déclarations sont jugées peu convaincantes, quand elle dit qu'elle ne parlera pas, c'est pire. Ses propos flous, mercredi, sur l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne («ma position est celle du peuple français »), puis l'annonce, jeudi, qu'elle pourrait ne pas participer à tous les débats avant la désignation du candidat, ont suscité la surprise dans les rangs socialistes. lacoste pas cher banane
    Les adversaires de Ségolène Royal se frottent les mains et pointent la double faute. Ses partisans, tant bien que mal, s'efforcent de corriger le tir. « Si ces débats sont maîtrisés, je ne vois pas pourquoi tous les prétendants n'y participeraient pas », assure aujour­d'hui François Hollande dans La ­Dépêche du Midi.« On cherche en permanence à interpréter ses déclarations avec un point de vue biaisé », regrette l'un des conseillers de la candidate, le député de la Nièvre Gaëtan Gorce. Il assure que Ségolène Royal et ses partisans « assument les débats ». Le député de Paris, Christophe Caresche dénonce de son côté le « procès d'intention » qui voudrait que sa candidate craigne la confrontation.« Les jeux sont faits »Pour contre-attaquer, Gilles ­Savary s'en prend aux arrière-pensées des autres candidats, Laurent Fabius et Dominique Strauss-Kahn, qui n'auraient qu'un objectif, « faire tomber Royal ».

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