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  #1 qfqxbyf1 on 19 Dec 14

   

  Il ajoute qu'à ses yeux, Fouad Siniora n'a pas le pouvoir légal de négocier la création d'un tribunal international : « en vertu de l'article 52 de la Constitution, le chef de l'Etat supervise la négociation des traités internationaux, en coordination avec le Premier ministre afin qu'ils soient examinés en Conseil des ministres ». La Syrie pointée du doigtLe président libanais avait déjà marqué son opposition à la création du tribunal Hariri. Fin novembre, il avait déclaré « nulle » la réunion du Conseil des ministres qui a entériné le projet. Mais le gouvernement pourrait se passer de son accord, en tentant de faire voter le décret par les députés. Pour celà, l'assentiment du président du Parlement Nabih Berri, lui aussi pro-syrien, semble indispensable. Le camp prosyrien, qui réclame une minorité de blocage au sein du gouvernement, s'est dit favorable sur le principe à la création du tribunal, mais refuse d'en discuter dans les conditions actuelles avec la majorité soutenue par les occidentaux et la plupart des pays arabes. L'ex-premier ministre libanais Rafic Hariri a été tué en février 2005 dans un attentat à Beyrouth. cheche burberry femme pas cher
  Une commission d'enquête internationale a mis en cause des responsables syriens, mais Damas a toujours protesté de son innocence. Les alliés de la Syrie au Liban sont soupçonnés de vouloir entraver à tout prix la création du tribunal pour dissimuler une éventuelle implication syrienne. Le projet national de loi antitabac n'aura pas vécu une semaine outre-Rhin. Le gouvernement de grande coalition allemand a ainsi annoncé, hier, le retrait d'un projet fédéral visant à interdire la cigarette dans les lieux publics à partir de juillet 2007, sous certaines conditions. Le texte préconisait l'ouverture de salles fumeurs séparées et devait concerner les restaurants, les écoles ou encore les hôpitaux, excluant bars, lieux de consommation d'alcool et clubs.À l'origine de ce changement de cap, un argument constitutionnel invoqué par les ministres de l'Intérieur et de la Justice, Wolfgang Schäuble (CDU) et Brigitte Zypries (SPD). L'État, ont-ils souligné, empiéterait sur les compétences des Länder en voulant imposer ces restrictions au niveau fédéral. chemise burberry a vendre Le projet a été rejeté mercredi dernier, après un entretien avec le chef de cabinet d'Angela Merkel (CDU), le conservateur Thomas de Maizière.Pour Marion Caspers-Merk (SPD), coordinatrice du projet de loi, l'État fédéral est pourtant dans son bon droit. Elle invoque l'article 74 de la Constitution allemande, selon lequel il doit lutter contre « les maladies représentant un danger public ».Un expert du SPD a par ailleurs comparé cette décision à « l'annonce d'une banqueroute face au lobby du tabac ».Le gouvernement à toutefois pour objectif de boucler un nouveau texte mercredi prochain.Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed ElBaradei, a déclaré, hier à Jakarta, craindre que le désir de certains pays de se doter d'un armement nucléaire fasse des émules. « Il devient de plus en plus clair hélas que, tant que des pays fonderont leur stratégie sur la dissuasion par un armement nucléaire, d'autres pays seront tentés de les imiter. chemise burberry aliexpress
  Penser autre chose reviendrait à se tromper », a déclaré Mohamed ElBaradei, en visite dans la capitale indonésienne.« L'énergie nucléaire n'est pas la panacée, mais il est probable qu'elle joue un rôle croissant dans un futur proche dans la fourniture globale en énergie », a estimé le chef de l'AIEA. Il a ajouté que les pays ayant recours au nucléaire civil « ne sont qu'à une courte étape d'avoir une capacité d'armement nucléaire. Dans un avenir proche, nous pourrions voir des pays supplémentaires dans le Sud-Est asiatique choisir l'option nucléaire », a-t-il dit, alors que l'Indonésie et le Vietnam ont montré un intérêt dans ce sens.Mohamed ElBaradei a par ailleurs souhaité une reprise des négociations sur les dossiers du nucléaire iranien et nord-coréen. « J'espère que tout le monde tirera les leçons de la situation irakienne », a dit ElBaradei, ajoutant que l'Agence internationale de l'énergie atomique, qu'il dirige, se sent soulagée de voir que son constat d'avant la guerre était justifié, dans la mesure où aucune arme de destruction massive n'a été retrouvée en Irak. « J'espère qu'à l'avenir, on ne s'empressera pas de dégainer le flingue, si j'ose m'exprimer ainsi, et d'en faire usage.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Il ajoute qu'à ses yeux, Fouad Siniora n'a pas le pouvoir légal de négocier la création d'un tribunal international : « en vertu de l'article 52 de la Constitution, le chef de l'Etat supervise la négociation des traités internationaux, en coordination avec le Premier ministre afin qu'ils soient examinés en Conseil des ministres ». La Syrie pointée du doigtLe président libanais avait déjà marqué son opposition à la création du tribunal Hariri. Fin novembre, il avait déclaré « nulle » la réunion du Conseil des ministres qui a entériné le projet. Mais le gouvernement pourrait se passer de son accord, en tentant de faire voter le décret par les députés. Pour celà, l'assentiment du président du Parlement Nabih Berri, lui aussi pro-syrien, semble indispensable. Le camp prosyrien, qui réclame une minorité de blocage au sein du gouvernement, s'est dit favorable sur le principe à la création du tribunal, mais refuse d'en discuter dans les conditions actuelles avec la majorité soutenue par les occidentaux et la plupart des pays arabes. L'ex-premier ministre libanais Rafic Hariri a été tué en février 2005 dans un attentat à Beyrouth. <a title="cheche burberry femme pas cher" rel="nofollow" href="http://www.makesomewind.fr/">cheche burberry femme pas cher</a> <br /> Une commission d'enquête internationale a mis en cause des responsables syriens, mais Damas a toujours protesté de son innocence. Les alliés de la Syrie au Liban sont soupçonnés de vouloir entraver à tout prix la création du tribunal pour dissimuler une éventuelle implication syrienne. Le projet national de loi antitabac n'aura pas vécu une semaine outre-Rhin. Le gouvernement de grande coalition allemand a ainsi annoncé, hier, le retrait d'un projet fédéral visant à interdire la cigarette dans les lieux publics à partir de juillet 2007, sous certaines conditions. Le texte préconisait l'ouverture de salles fumeurs séparées et devait concerner les restaurants, les écoles ou encore les hôpitaux, excluant bars, lieux de consommation d'alcool et clubs.À l'origine de ce changement de cap, un argument constitutionnel invoqué par les ministres de l'Intérieur et de la Justice, Wolfgang Schäuble (CDU) et Brigitte Zypries (SPD). L'État, ont-ils souligné, empiéterait sur les compétences des Länder en voulant imposer ces restrictions au niveau fédéral. <a title="chemise burberry a vendre" rel="nofollow" href="http://www.makesomewind.fr/">chemise burberry a vendre</a> Le projet a été rejeté mercredi dernier, après un entretien avec le chef de cabinet d'Angela Merkel (CDU), le conservateur Thomas de Maizière.Pour Marion Caspers-Merk (SPD), coordinatrice du projet de loi, l'État fédéral est pourtant dans son bon droit. Elle invoque l'article 74 de la Constitution allemande, selon lequel il doit lutter contre « les maladies représentant un danger public ».Un expert du SPD a par ailleurs comparé cette décision à « l'annonce d'une banqueroute face au lobby du tabac ».Le gouvernement à toutefois pour objectif de boucler un nouveau texte mercredi prochain.Le directeur de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Mohamed ElBaradei, a déclaré, hier à Jakarta, craindre que le désir de certains pays de se doter d'un armement nucléaire fasse des émules. « Il devient de plus en plus clair hélas que, tant que des pays fonderont leur stratégie sur la dissuasion par un armement nucléaire, d'autres pays seront tentés de les imiter. <a title="chemise burberry aliexpress" rel="nofollow" href="http://www.makesomewind.fr/">chemise burberry aliexpress</a> <br /> Penser autre chose reviendrait à se tromper », a déclaré Mohamed ElBaradei, en visite dans la capitale indonésienne.« L'énergie nucléaire n'est pas la panacée, mais il est probable qu'elle joue un rôle croissant dans un futur proche dans la fourniture globale en énergie », a estimé le chef de l'AIEA. Il a ajouté que les pays ayant recours au nucléaire civil « ne sont qu'à une courte étape d'avoir une capacité d'armement nucléaire. Dans un avenir proche, nous pourrions voir des pays supplémentaires dans le Sud-Est asiatique choisir l'option nucléaire », a-t-il dit, alors que l'Indonésie et le Vietnam ont montré un intérêt dans ce sens.Mohamed ElBaradei a par ailleurs souhaité une reprise des négociations sur les dossiers du nucléaire iranien et nord-coréen. « J'espère que tout le monde tirera les leçons de la situation irakienne », a dit ElBaradei, ajoutant que l'Agence internationale de l'énergie atomique, qu'il dirige, se sent soulagée de voir que son constat d'avant la guerre était justifié, dans la mesure où aucune arme de destruction massive n'a été retrouvée en Irak. « J'espère qu'à l'avenir, on ne s'empressera pas de dégainer le flingue, si j'ose m'exprimer ainsi, et d'en faire usage.</div>

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