We examine the number of citations in 10 highly cited retracted papers, and compare their current pre- and post-citation values. We offer some possible explanations for the continued citation of these retracted papers, and point out some of the risks that may be involved for the communities that continue to cite them. In general, retracted papers should not be cited, but often there is fault with unclear publisher web-sites, the existence of pirate web-sites or sites that display copies of the unretracted version of the paper, or even the insistent citation of a retracted paper because the results remain valid, or because the authors (most likely) refuse to accept the retracted status of that paper, or continue to believe that the core findings of the study remain valid.

Sur la trace des rétractations... Blog sur la fraude scientifique

Guide élaboré en novembre 2016. Charte déontologique en annexe

Rapport de l'Institut des hautes études scientifiques et technologiques (IHEST), Cycle national de formation 2015-2016, Espaces de la science, territoires et sociétés

Nécessité d'appréhender autrement la prévention, la détection et la sanction de la fraude scientifique. En particulier en ayant en tête de cesser de faire porter le risque et les rares sanctions de la fraude sur le seul chercheur qui la commet, mais d'y associer également les institutions qui l'accueillent.

Document de l'homologue allemand de notre HCERES (Wissenschaftsrat)

Hundreds of university researchers pushed back on Wednesday against a proposal by editors of the world's top medical journals to require that data from clinical trials be quickly shared. Instead, the researchers urged terms that would delay the period before data must be disclosed and provide economic and academic compensation to researchers who carry out the trials.

Plusieurs affaires de fraude scientifique ont récemment défrayé la chronique, nourrissant auprès du public une certaine suspicion envers la science et les scientifiques. Mais, dans nos institutions, en parle-t-on ? Force est de constater que la communauté scientifique française s'est peu mobilisée sur ce sujet, prétextant que les affaires de fraude restent exceptionnelles et que la science est auto-correctrice.

Le 5 août 2014 au matin, le Japonais Yoshiki Sasai, pionnier dans la recherche sur les cellules souches et un temps envisagé pour le prix Nobel, était retrouvé pendu dans son laboratoire de l'institut Riken de biologie du développement.

Plusieurs affaires de fraude ont défrayé la chronique ces vingt dernières années, laissant à penser que les pratiques scientifiques douteuses seraient en augmentation. Or il semblerait que celles-ci existent depuis aussi longtemps que la science existe, comme en témoigne ce florilège de cas de fraudes plus ou moins illustres.

Avec Internet, trouver des informations et les recopier est devenu un jeu d'enfant. Troisième type de " grande " fraude scientifique aux côtés de la fabrication et de la falsification, le plagiat n'a pas pour seule victime la personne pillée : il favorise l'immobilisme et jette le discrédit sur tous les chercheurs.

Bien que rares, les cas de méconduite scientifique entachent la réputation de la science auprès du grand public. Le président du CNRS, Alain Fuchs, nous explique comment l'organisme réagit face à ce phénomène. Peut-on dire que les cas de fraude scientifique se sont multipliés ces dernières années ?