Jeffrey Beall. "Beall's List : Potential, possible, or probable predatory scholarly open-access publishers". In Scholarly Open Access, maj le 10 août 2016.
Donnons un exemple. La revue Advances in mathematics est une revue qui existe depuis 1961. Elle bénéficie d’une bonne réputation. Elle ne doit pas être confondue avec la revue Advances in pure mathematics qui a toutes les apparences d’une escroquerie.
Cette dernière revue en open access s’est d’ailleurs fait piéger en 2012, en acceptant un article factice qui avait été engendré par un programme [3]. L’article n’avait aucun sens, mais les éditeurs de la revue ne s’en étaient apparemment même pas aperçus
le problème n’est pas aussi simple qu’on pourrait le penser, pour au moins deux raisons :
certains scientifiques se sont fait piéger, et des articles sérieux se retrouvent donc publiés par ces journaux bidon
l’intérêt de certains chercheurs, en particulier dans les pays où les institutions scientifiques fonctionnent mal, est parfois de payer pour voir rapidement leur articles publiés, ce qui leur permet de présenter des dossiers conséquents leur donnant accès à des postes ou des promotions qu’ils n’auraient pas sans ces publications.
Hundreds of university researchers pushed back on Wednesday against a proposal by editors of the world's top medical journals to require that data from clinical trials be quickly shared. Instead, the researchers urged terms that would delay the period before data must be disclosed and provide economic and academic compensation to researchers who carry out the trials.