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Le gouvernement du Népal n'agit pas suffisamment pour mettre fin aux mariages d'enfants, nuisant gravement aux filles ainsi qu'aux garçons de ce pays, a déclaré Human Rights Watch dans un rapport publié aujourd'hui. En juillet 2014, le gouvernement népalais s'était engagé à mettre fin au mariage des enfants d'ici 2020. En 2016, cet objectif avait déjà été repoussé à 2030. Mais le gouvernement n'a pas encore pris de mesures concrètes pour atteindre cet objectif, à quelque date que ce soit.

"Selon un rapport de l'Institut national de protection de l'enfance (INPE), près de 1.200 enfants naissent chaque année en Tunisie d'une relation hors-mariage. En 2013, on a enregistré 13 cas de grossesse suite à des relations incestueuses à Sousse."

"MONDE - D'autres clauses, comme celle obligeant les femmes à avoir des relations sexuelles avec leur mari à chaque fois que ce dernier le souhaite, focalisent les craintes des militants laïques irakiens et des ONG internationales..."

"Aujourd'hui âgé de 19 ans, Ray Ison ne pourra pas témoigner contre son ancienne enseignante avec qui il a eu des relations sexuelles à l'âge de 15 ans. Comme il l'a épousée, les autorités ne peuvent plus l'obliger à déposer."

Le pays a le pire taux de maltraitances conjugales de l'OCDE. Face à cette situation, le Premier ministre néo-zélandais, John Key, a annoncé un plan d'action pour la protection des femmes.

"Le Conseil national des droits de l'Homme (CNDH) maintient sa position. Pour lutter contre la traite des enfants, l'institution présidée par Driss El Yazami réitère sa proposition d'amender les dispositions du Code de la famille afin d'interdire le mariage des mineurs de moins de 18 ans, et de définir l'âge d'admissibilité au travail domestique à 18 ans"

"Le ministre britannique des Affaires étrangères, William Hague, et son homologue canadien, John Baird, en visite à Londres, ont renouvelé mercredi leur engagement dans la lutte contre la violence sexuelle dans les zones de conflit et dans l'élimination des mariages précoces et forcés. "

"Une phrase prononcée par un membre du gouvernement indien a ravivé la polémique. Dans le pays où les affaires d'agressions sexuelles défrayent la chronique plus souvent qu'ailleurs, le ministre des affaires familiales confirme ce que redoutaient les défenseurs du droit des femmes : le viol conjugal ne sera pas reconnu, ni puni. Les raisons invoquées ? Le caractère sacré du mariage, entre autres. "

Une trentaine de robes de mariée, confectionnées avec des dentelles et du papier, ont été accrochées samedi à des palmiers sur la corniche de Beyrouth, dans le cadre d'une campagne pour abolir une loi honnie sur le viol. L'objectif est l'annulation de l'article 522 du code pénal ayant trait aux viols, agressions, rapts et mariages, et qui permet à un violeur d'échapper à la prison s'il épouse sa victime.