l’open data n’est pas une priorité des services, ni des agents.
Le rapport éclaire ce constat et sa lecture est à recommander à toutes les collectivités parties tête baissée dans l’open data, trop souvent pour des questions de communication, tant elle synthétise la complexité de la démarche, mixant aspects techniques, organisationnels, politiques, communicationnels, soupoudrés d’une bonne dose de sociologie de l’administration. Pour reprendre une métaphore récemment utilisée par un bon connaisseur du secteur, si l’on considère que le lait de vache correspond aux données de l’administration (celle-ci jouant le rôle de la vache), alors il reste beaucoup à faire pour que ce lait soit réellement buvable (par les réutilisateurs), et encore plus pour qu’on puisse en faire du beurre, ou du fromage.