Je trouve très intéressante cette liste d'utilisation des médias sociaux pour une organisation ou une entreprise. Je ne suis pas une fan du Web 2.0, mais cette liste me donne des idées et des raisons de vouloir l'utiliser dans mon quotidien.
On voit bien les motivations qui inspirent les démarches individuelles sur les réseaux sociaux.Ceci souligne encore une fois 'le populisme' rattaché aux réseaux sociaux, et Facebook en est un des symboles.
Le web participatif à la lumière des théories de Michel de Certeau et quelques pratiques de la culture de participation: machinimas, fanfilms et fanfiction.
Article de Pierre Bouchard relatant par quelques statistiques d'une étude de multiple-média le potentiel des médias sociaux pour rejoindre sa clientèle cible.
Intéressant de voir un bon exemple du potentiel de Facebook pour rejoindre la clientèle cible (Lululemon). J'ai ajouté un article français démontrant des exemples contraires "Quand les marques survalorisent les fans Facebook".
Dans ce blog sur les réseaux professionnels et les médias sociaux, l'auteure nous montrer comment corriger l'erreur, si en tant que compagnie ont a un profil pour ainsi le transformer en page (Fan page). Elle nous explique que selon les Conditions générales d'utilisation de Facebook, les risques de garder une page individu, lorsqu'on est une compagnie.
Attention, lorsqu'on clique sur le site on est redirigé vers la page : http://www.ikonet.com/fr/ledictionnairevisuel/ et dans ce cas l'exercice ne fonctionne pas. Le lien dans le paragraphe suivant "Cette page" donne une meilleure idée.
Il est intéressant de constater que ce nuage donne une bonne idée du contenu du site, du moment que suffisamment d’utilisateurs y ont apposé des étiquettes.
En visitant une URL construite à partir du préfixe http://about.diigo.com/about/, suivi de l’URL de n’importe quel site,
J'ai aussi installé les outils pour IPad, Diigo et Le Diigo browser... Mais déception, le browser n'offre pas beaucoup plus que Safari, j'aurais apprécié qu'ils integrent leurs widgets automatiquement dans leur browser pour avoir les mêmes fonctionnalités que sur PC et +
Moi qui est une fan de lecture et recherche sur le web via IPad... Je vois beaucoup de possibilités d'un tel outil s'il est bien intégré et facile d'utilisation (ce qui n'est pas le cas avec Diigo qui est assez complexe à utiliser si on est pas débrouillard )
Le tagging a été popularisé par le système del.icio.us (depuis rebaptisé delicious.com) vers 2003. Delicious est un service de signets sociaux, prédécesseur du système Diigo que nous utilisons dans ce cours. Il demeure l’un des plus populaires systèmes de signets sociaux. À la fin de 2008, plus de 150 000 adresses y étaient partagées chaque jour.
"pparente à un mot-clé.
Le tagging a été popularisé par le système del.icio.us (depuis rebaptisé delicious.com) vers 2003. Delicious est un service de signets sociaux, prédécesseur du système Diigo que nous utilisons dans ce cours. Il demeure l'un des plus populaires systèmes de signets sociaux. À la fin de 2008, plus de 150 000 adresses y étaient partagées chaque jour.
L'idée du tagging a depuis été reprise par d'innombrables sites, comme entre autres le site de partage de photos Flickr, le site de partage de vidéos YouTube et le système de courriel Gmail.
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Aujourd'hui chaque athlète, dispose d'un compte Facebook, twitter ou Instagram. Ces outils du web social sont devenus un des principales moyens pour les athlètes d'aller chercher des nouveaux fans, même si leurs performances sportives sont parfois ordinaires. Grâce au réseau social, ils peuvent passer du statut d'athlète à un statut de super vedette.
Ce lien pointe vers la page "Michael Vick Fan Club". Le groupe Facebook sur la mauvaise épelation des noms n'existe plus.
Il est possible, cependant, de remplacer ce groupe par "Je ne comprends pas pourquoi les gens ont du mal avec mon nom", qui a la même vocation. On le retrouve à l'adresse suivante: http://www.facebook.com/group.php?gid=2207257408#!/group.php?gid=44605576664
Le partage d’un intérêt commun définit une communauté d’intérêts
Dans le web social, le terme « communauté » est utilisé à toutes les sauces. Il désigne souvent tout groupe social en ligne, sans égard à la structure de ce groupe ou à son importance pour ses membres. Dans le contexte de ce cours, il est utile de construire une définition intermédiaire, à la fois flexible et limitée :
Une communauté est un groupe social qui peut contribuer de façon significative à l’identité de ses membres.
Le fait d’être membre d’une communauté donnée fait l’objet d’un sentiment d’appartenance, même souvent d’une certaine fierté. Les membres d’une communauté se définissent volontiers par leurs similarités avec d’autres membres du groupe et par ce qui les distingue des membres d’autres communautés.
C’est le fait de reconnaître cette similarité comme significative qui donne au groupe le caractère de communauté.
C’est en s’associant à diverses personnes qui se reconnaissent elles-mêmes à travers un rapport à la gastronomie et en se faisant accepter par cette communauté que quelqu’un peut devenir membre.
Le fait d’être accepté par une communauté donnée n’est pas une mince affaire. Il s’agit non seulement d’être reconnu comme partageant certaines caractéristiques avec les membres de la communauté, mais aussi de respecter plusieurs règles relatives à cette communauté. Pour « faire sa place », il faut aussi « garder sa place » et accepter de se comporter de façon appropriée dans le contexte de la communauté.
Une autre façon de le dire est que chaque communauté a « une histoire » et qu’il faut savoir respecter le passé de la communauté pour être accepté en son sein.
La communauté est donc un groupe social plutôt structuré
ce qui fait contraste avec le réseau social qui, lui, couvre un champ social à limites floues.
Mais il est important de noter que le réseau se construit par des contacts individuels. En ce sens, le réseau se construit bottom-up ou depuis le bas vers le haut : des liens dyadiques (entre paires d’individus) en viennent à créer une structure plus vaste.
ans le cadre qui nous occupera ici, le terme correspond plutôt à un groupe social stable, généralement hiérarchisé, qui se maintient grâce à une organisation formelle
Réduite à sa plus simple expression, une équipe peut être conçue comme un groupe social orienté vers un but commun
Certains de ces groupes sont des groupes construits de toutes pièces par des volontés individuelles, des plans stratégiques
C’est généralement le cas d’une équipe, qui est un groupe formel et normé.
Beaucoup de groupes sont des groupes émergents ou ad hoc : ils s’assemblent de façon plus organique et plus fluide.
La plupart des groupes sociaux émergent de processus de formation hybrides, en ce qu’ils comprennent des éléments de divers processus
Par contre, certaines structures sociales sont par nature plus durables que d’autres. C’est le cas de la communauté et de l’institution, contrairement au réseau, à la foule et même à l’équipe.
Si les groupes peuvent se former rapidement, ils peuvent aussi se transformer ou même se dissoudre et disparaître tout aussi rapidement
es interactions basées sur l’oralité peuvent permettre de former des groupes vastes, surtout lorsque ces groupes sont structurés en réseau
, l’écriture permet l’interaction asynchrone in abstentia
l y a une certaine adéquation entre l’utilisation de la communication écrite comme forme de contrôle et l’existence d’une hiérarchie.
L’invention de l’imprimerie, technologie permettant la reproduction aisée de l’information, signale la naissance des médias de masse,
L’imprimerie constitue, selon Benedict Anderson, l’une des bases du nationalisme.
On assiste désormais à la naissance de groupes divers, pour lesquels la localisation géographique des participants n’a que très peu d’importance.
oyons maintenant comment les innovations du web social viennent accélérer le processus.
Pour commencer, autour de chaque blogue se forme d’abord le groupe des lecteurs et commentateurs réguliers. Ces groupes sont en quelque sorte des « égo-communautés » à géométrie et à taille variable, centrées sur l’auteur individuel.
Par ailleurs, les systèmes de tagging, comme nous l’avons vu au module 2, permettent de rendre visibles les groupes implicites [4] qui se forment quand différents utilisateurs emploient une même étiquette. Dans ce cas particulier, l’utilisateur n’a pas nécessairement l’intention de joindre le groupe. Il ignore parfois même son existence.
Activité A *** La récolte systématique de données sur les utilsateurs, même quand leur recueil est inutile et afin d'en faire un usage commercial, est une autre plaie du 2.0 et pas la moindre.