Selon certains chercheurs, les bonnes nouvelles (qui ne causent pas de tristesse) circulent mieux sur les médias sociaux et sont davantage sujettes à être retransmis de manière virale.
ce qui compte, c’est de ne pas provoquer de tristesse
Il lui est apparu que plus un article est positif, plus on est susceptible de le faire suivre.
Pour qu’il y ait un effet de contagion, les zones associées à la cognition sociale doivent être activées. L’information qui circule peut alors vraiment devenir virale.
Après avoir créé Deep Blue et Watson, IBM poursuit sa recherche d'une machine pouvant se mesurer aux capacités cognitives humaines en développant une première "puce-cerveau". Elle ne possède actuellement que 256 neurones électroniques (à comparer aux 100 milliards de notre cerveau humain) mais l'objectif à long terme d'IBM est de 10 milliards de neurones. Article par Martin Lessard sur radio-canada.ca/triplex.
Le paragraphe suivant contient une faute d'orthographe et deux formulations impropres, que nous avons mises entre parenthèses:
"Face aux enjeux à venir, signalé(s) par les professeurs du Colorado dans le vidéo Did you know, la société de l'information induirait une augmentation de l'importance que l'on doit porter à la « réputation » des informations (et des gens) - c'est-à-dire la manière dont les autres les évaluent et les classent - Origgi dit que la réputation risque d'être la seule manière dont nous pouvons tirer une information à son sujet. La "sagesse collective" se chargera de hiérarchiser ces "choses". On verra (donc apparaître) des "systèmes de réputation" qui se metteront en place pour pallier (et non "pallier à) ce problème."
Quelques fautes d'orthographe (nous les avons mises entre parenthèses):
"La cybernétique, suivi(e) des sciences cognitives, a repoussé dans ses derniers retranchements la définition de qui fait de nous un 'animal intelligent'. Il n'y a qu'un pas, vite franchi, pour placer la technologie comme prochain prétendant au trône. La montée en puissance des ordinateurs, leur force de calcul (pas de s) à l'oeuvre, ouvre la perspective qu'un jour les humains soient dépassés. Ou du moins, fortement assisté(s) par les machines pour traiter la complexité du monde."