Actuellement, la culture du web a eu un grand succès avec la création de «blogs», car il a présenté les faits, les rumeurs, l'analyse des documents, des vues irréalistes et d'opinion et d'information d'une manière claire et simple, c'est pourquoi on trouve actuellement dans la plupart des journaux en ligne. Cela a montré que beaucoup de lecteurs préfèrent la subjectivité et la partialité des blogueurs à
la fausse objectivité et l'impartialité de certains médias qui n'ont pas été sincère et cohérente avec l'information qu'ils présentent. D'autre part cela a rendu les informations plus agile et plus mobile plus rapidement à savoir ce qui se passe dans le monde.
Je pense que c'est quand meme vrai que nous doutons toujours de l'orientation prise par les medias de masse quand a la diffusion des informations. On ne dit que ce qui plait
C’est dire que l’acte de la transmission doit donc
lui-même passer inaperçu, afin de préserver le sentiment
qu’un évènement et une information sont une et même chose.
doute
révélateur d’une séparation croissante entre le « voir » et le «
croire »
Nous entrons dans une nouvelle société où la vérité perçue ne peut
plus se limiter à la capture directe par les instruments
d’enregistrement d’institutions légitimantes, monopole des riches
institutions médiatiques.
Mais dans la vraie
vie, toute reproduction d’évènement doit nécessairement se faire du
point de vue de quelqu’un, journaliste y compris.
Cette reconnaissance du point de vue (cette subjectivité assumée) est
une réponse au doute croissant qu’ont entraîné les multiples
scandales que mentionne Weissberg
La légitimité des organisations médiatiques traditionnelles se trouve
diminuée, à coups de suspicion permanente, d’un côté, et par la montée
d’autres canaux de transmission non filtrés (par autopublication), de
l’autre.
L’émergence des réseaux sociaux sur le web crée une
redistribution des normes de croyance et l’explosion des blogues, par
exemple, en a été à la fois la grande cause et la conséquence. Le web
social crée des espaces où un processus de discussion, de vérification
et de débats colporte une autre façon de voir le monde : celui du
commentaire incarné par la multitude.
La démocratie, c'est la participation et le WEB est un bon exemple avec la montée d'une vision comme les carré rouge l'ont fait en 2012 et cela a vallu l'évènement 'Printemps Érable' pour le Québec.