on découvre que le problème relève moins de la notion de “vie privée” que de celle de dignité, et que la solution a moins trait aux “cases à cocher“, non plus qu’aux interdits érigés par la loi, qu’aux nouvelles formes de socialisation et de rapports humains que génèrent l’internet.
l’approche juridique de la protection de la vie privée va précisément à l’encontre de l’interconnexion et du croisement des fichiers… On est au coeur du “paradoxe de la vie privée“