Skip to main content

Home/ Les identités numériques/ Group items tagged bonnes pratiques

Rss Feed Group items tagged

peir ric

Médias sociaux : la boîte à outils pour concevoir une charte | Choblab - 2 views

  •  
    une boite à outils des usgaes ds médias sociaux - bonnes pratiques
Emmanuel AURAY

Quora ou les bonnes pratiques d'utilisation du Facebook graph API | ReadWriteWeb French... - 0 views

  • Quora demande 3 permissions à ses utilisateurs s’inscrivant via le processus Facebook : Access my basic information : Cette autorisation permet à Quora, en plus de récupérer des informations de base sur le profil (photo, nom…), le social graph du membre ainsi que les « intérêts » de ce membre (si on détaille le flux retourné par Facebook, Quora va principalement exploiter les connections « activities, interests, music, books, movies, television, likes »). C’est précisément là-dessus que Quora marque des points par rapport à toutes les intégrations que j’ai pu voir de l’API Facebook
  • Post to my wall : Il s’agit d’une des autorisations les plus intéressantes de chez Facebook en terme de viralité. En effet, celle-ci permet à l’application de publier sur le wall d’un membre une news en son nom, qui sera diffusée dans le newsfeed de tous les amis du membre
  • Access my data any time : Une autorisation qui permet une mise à jour des données Facebook récoltées à n’importe quel moment, sans redemander l’autorisation à l’utilisateur. Idéal pour maintenir parfaitement à jour sa base de données et proposer des contenus toujours plus pertinents
  •  
    Après avoir étudié en profondeur le processus d'inscription de Quora, j'en suis arrivé à me poser la question suivante : est-ce que Quora va réussir là ou Twitter a échoué ? A savoir, proposer aux utilisateurs non avertis une interface personnalisée dès son premier contact avec le site.
  •  
    L'inscription à Quora desmande des permissions d'accès approfondis aux données personnelles de son compte Facebook
peir ric

Du référencement au profilage. Bienvenue en 2.010 ! - Informer autrement - 1 views

  • Comment Google exploitera les choix des internautes pour constituer des profils applicables à ses nouvelles recherches et l’affichage de publicités ciblées, rien ne le dit mais c’est inévitable. Le profilage de l’internaute n’est plus une tendance mais une réalité.
  • Google a prévu notamment de reprendre l’historique de l’internaute sur les 180 jours précédents.
  • Pour un site, la seule façon d’être sûr d’apparaître en bonne place sera donc d’acheter des liens sponsorisés à Google. Une opération qui va augmenter de façon considérable les gains du célèbre moteur.
  • ...3 more annotations...
  • Matthieu Tranvan signale dans un billet récent que cela risque de mettre en avant toujours les mêmes sites et de laisser peu de place aux nouveaux.
  • Etre présent sur Internet impliquera de plus en plus de développer des blogs évènementiels, de rendre son actualité disponible par flux RSS, d’être présent sur les réseaux sociaux, d’animer sa « communauté ».
  • Le référencement d’outils en temps réel comme Twitter ou Facebook par Google ou Bing (Microsoft) va contraindre tous ceux qui veulent exister sur Internet à faire de l’actualité en temps réel, à diffuser de l’information pratique, à venir en aide à leurs utilisateurs et à abandonner les poncifs de la communication traditionnelle.
peir ric

L'identitÉ numÉrique : de la citÉ À l'Écran. Quelques aspects de la reprÉsent... - 3 views

  • t, le net introduit quelques variables nouvelles à ce bavardage
  • plaçant le sujet parlant en situation de puissance inédite en autorisant les interactions au niveau mondial, sous forme synchrone ou asynchrone, et surtout en exposant médiatiquement aux yeux de tous les internautes le produit de ses échanges.
  • L’épouillage mutuel, ou grooming, représente en effet une activité essentielle du groupe à laquelle l’individu consacre une bonne partie de son temps et pour cause : il participe notamment au maintien de la hiérarchie et évite les conflits entre les membres, à travers un principe régulateur qui tient de "l’économie de service"
  • ...18 more annotations...
  • L’auteur fait l’hypothèse que le bavardage aurait permis à l’homme de gagner du temps en s’adonnant à d’autres activités simultanément, tout en pratiquant ces indispensables échanges sociaux.
  • le nombre de participants, et l’exposition médiatique décuplant le pouvoir du bavardage (pour un aperçu, voir Donald, 2007) ; la possibilité de clavarder avec de nombreux participants indépendamment et simultanément, en ouvrant plusieurs fenêtres de chat par exemple ; le décalage dans l’espace (à l’échelle planétaire) et dans le temps : même en cas d’interaction synchrone, les décalages horaires induisent que les interactants ne partagent pas une même référence temporelle, quand bien même ils sont connectés au "même moment".
  • Les communautés ainsi créées sur le web ont en commun de se retrouver sur des univers indépendants les uns des autres (jeux, actualité, loisirs, sphère professionnelle… déclinés en communautés d’opinions) où "chaque internaute a le sentiment d’être le point central autour duquel le reste évolue. C’est l’individualisme de réseau [qui] devient une forme de sociabilité sur Internet, et ceci n’est pas sans conséquences sur la vie concrète, réelle des individus."
  • Ces communautés localisées dans ces espaces identifiés et identifiants reposent, comme cela est le cas dans le monde réel, sur des praxis et des comportements langagiers à valeurs lectales.
  • (Dunbar estime qu’ils représentent les deux tiers de nos conversations)
  • e temps suspend son vol, mais jamais ne l’arrête. Madeleine Pastinelli (op. cité), qui a étudié de très près le comportement d’un chat québécois (le canal #amitie25-qc), souligne comment cet espace doit être occupé en permanence, quitte à parler même lorsque l’on a plus rien à dire, en guise de processus compensatoire de l’absence de coprésence physique.
  • Concrètement, sur le net et chez les observateurs, nous retrouvons cette figure du sujet : l’internaute n’a d’existence dans la communauté qu’en fonction de son activité, d’abord évaluée quantitativement (nombre de "posts", d’ "amis"…), en une "identité calculée" pour reprendre la terminologie de Fanny Georges (2009).
  • L’existence numérique est ainsi déterminée par l’exigence de la publicité de soi, qui suppose le partage d’un cadre de référence et d’un code commun de communication.
  • Patrick Chardenet (2004, p. 71)
  • L’auteur souligne ainsi que les différentes thématiques abordées dans les échanges s’effacent généralement derrière le travail de la relation. Ce travail relationnel explique également le recours à la citation des autres internautes, amplifié par le dispositif technologique qui permet de reproduire à l’identique tout ou partie d’un message.
  • La dimension interactionnelle semble donc être au cœur du dispositif avec quelques différences marquées entre bavardage et clavardage, dont la non moindre est l’absence de rencontre des corps.
  • Si les dynamiques de la communication en distance rapprochée sont ici largement amputées (odeur, contact épidermique…), celle-ci semble bien créer les conditions d’une communication proche, favorisant les registres intimistes tels qu’on peut les retrouver sur beaucoup de forums et sites (cela reste bien sûr une hypothèse).
  • la construction de l’autre dans l’espace du média est extrêmement générale et anonyme. En même temps, cet autre fait partie du quotidien : on converse tous les jours avec lui et l’on passe ensemble des heures sur le réseau. Avec les médias électroniques, il devient possible de vivre dans un monde à la fois d’abstraction et de proximité" (p. 212).
  • S’il n’est pas question de circonscrire en quelques lignes une définition de l’identité, nous pouvons toutefois rappeler sa triple dimension :
  • dimension personnelle, subjective, d’abord, résultant d’une construction visant un "effet" d’unité dans la complexe hétérogénéité de la personnalité, permettant l’identification à/de soi dans la permanence.
  • dimension interpersonnelle, ensuite, c’est-à-dire co-construite dans la relation à autrui,
  • dimension sociale, enfin, en référence aux statuts et rôles préparés dans la société.
  • Dans les lignes qui suivent, nous considérons l’identité comme le résultat de l’intime interaction de ces trois dimensions. Mais ce résultat n’est pas homogène : il dépend, par exemple, du contexte.
  •  
    Dans l'espace virtuel du web social, les dynamiques subjectives se travaillent entre identité civile et identité numérique. Cet article, après avoir explicité les grandes caractéristiques de l'interaction dans le web social, s'attache à présenter ces deux bornes du continuum identitaire sur le net. Ce cadre posé, l'auteur s'attache au personnage-écran, une forme extrême de la subjectivité numérique, construite entre liberté et contrainte du système.
Eric Delcroix

Je protège mon identité sur Internet - 0 views

  •  
    QUEBEC>Site institutionnel et pédagogique sur les risques et les pratiques de l'identité numérique. Une bonne initiative.
1 - 8 of 8
Showing 20 items per page