La superficie des glaces arctiques a connu la seconde plus forte réduction cet été depuis au moins 1979, a annoncé jeudi le Centre national américain de mesures de la neige et de glace. Le 9 septembre, elles ne couvraient que 4,33 millions de kilomètres carrés.
La superficie minimum des glaces dans cette zone en été est considérée par la communauté scientifique comme une mesure-clé du réchauffement climatique, attribuée par une grande majorité de climatologues aux activités humaines avec surtout les émissions de dyoxide de carbone (CO2).
La superficie minimum des glaces dans cette zone en été est considérée par la communauté scientifique comme une mesure-clé du réchauffement climatique, attribuée par une grande majorité de climatologues aux activités humaines avec surtout les émissions de dyoxide de carbone (CO2).