Group items tagged

Lors de ses primaires du New Hampshire, les candidat-e-s démocrates ont recueillis 60'000 voix de plus que les candidats républicains. Ceci dans un état profondément conservateur et donc traditionnellement républicain. Quelles leçons en tirer?

La composition des électeurs/trices des primaires républicaines et démocrates montrent une nette différence dans la composition par genre. Majorité d'électrices pour les démocrates et majorité d'électeurs pour les républicains. Situation Etat pa

Pas sûr pour Ron Klain que la poursuite des primaires démocrates jouent en leur défaveur par rapport aux Républicains. Il s'en explique…

Le soutien d'Obama à Clinton ne relèverait-il pas finalement d'une habile stratégie visant à poursuivre les primaires pour mieux focaliser l'attention, et mettre ainsi le candidat républicain au deuxième plan ?

La victoire de Mitt Romney dans le Michigan complique la course à l'investiture d'un camp républicain déjà divisé. (à noter que, en l'absence de primaire c/o les démocrates, un certain nombre de démocrates ont voté Romey pour compliquer les chose

Présentation du scrutin du Nevada, plus particulièrement sur les attentes des électeurs latinos. Les candidat-e-s démocrates paraissent mieux répondre à ces dernières que les candidats républicains.

La Caroline du Sud est considéré comme l'Etat pivot de la primaire républicaine. La carte de la Caroline du Sud offerte par le Washington Post permet de visualiser où les candidats américains ont fait la différence..

Même si le journal a de très fortes divergences avec tous les candidats Républicains à l'investiture, le New York Times a fait son choix parmi les candidats : John McCain.

L'analyse des sondages relativement aux préoccupations -tant des électeurs démocrates que des électeurs républicains de l'Iowa et du New Hampshire- mettent en évidence que les questions économiques priment sur la question de la guerre en Irak.

L'incroyable augmentation de la participation aux primaires organisées par les démocrates. En comparaison, les chiffres 2000, 2004 et 2008. A noter aussi, l'impact dans les Etats traditionnellement républicains.

Cette année, le vote des indépendants pèsent d'un poids certain dans les primaires démocrates et républicaines. Avec 30% de la population américaine qui s'estime indépendant, ces électeurs-là pèseront également sur l'élection de novembre. Tour

L'Ohio est un des swing states soit ces Etats qui peuvent basculer en novembre et qu'il importera pour les démocrates de remporter pour gagner la présidentielle. A ce titre, c'est un Etat bien plus important que le Texas (acquis aux Républicains).

Tant Hillary Clinton que Barack Obama dépense des sommes importantes -largement supérieures aux candidats républicains- mais ciblées à l'intention de leurs électeurs en fonction de particularités locales et de comtés stratégiques pour gagner des

La victoire dans certains Etats du Sud de Mike Huckabee complexifie les primaires républicaines et surtout tant l'analyse que le regard sur un candidat considéré jusqu'alors seulement comme la troisième roue du char et non comme un challenger sérieux

Hillary Clinton ferait la course en tête en Californie tant parmi l'électorat démocrate que parmi les indépendants. La course serait plus serrée chez les Républicains avec un John McCain légèrement détaché. (Los Angeles Times)

A 60 ans, Mitt Romne figure dorénavant dans le tiercé de tête des prétendants à la Maison Blanche chez les républicains. Voici son portrait vidéo brossé par notre Ipol.

Dans le dernier sondage avant les primaires de ce samedi dans le Nevada, Hillary Clinton aurait 9 points d'avance sur Barack Obama. Dans le camp républicain, Mitt Romney aurait 15 points d'avance sur John McCain.

Abandon de Fred Thompson chez les Républicains. Qui engrangera les mandats déjà obtenus. Qui récupérera ses électeurs lors des prochains scrutins?

Après les ralliements de deux syndicats du Nevada, de John Kerry, du sén. républicain George Miller, c'est autour de Janet Napolitano, gouverneur du Nevada et présidente de l'association nationale des gouverneurs de rallier Barack Obama.

«Ce que montrent les Tunisiens qui nous laissent quelque peu sidérés et pour le moins admiratifs est qu'une Révolution est possible. Que n'a -t-on dit, en France, sur la révolution comme objet froid, dépassé, historicisé, depuis 1977 et la parution de l'ouvrage de F. Furet « Penser la Révolution », remettant violemment en cause le catéchisme républicain et la mythographie d'une Révolution française qui était terminée, finie. Avec cette affirmation c'était l'idée en soi de révolution qui devait être discréditée, stigmatisée. La révolution, monde de violence, était désormais à éradiquer dans le futur.»