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peir ric

L'avenir, une catégorie anthropologique - La Vie des idées - 0 views

  • Ainsi, son analyse de l’incertitude sociale qui affecte les communautés nationales dans la globalisation, et du rôle décisif qu’elle joue dans le surgissement de mouvements ethnocidaires à l’égard des minorités (développée dans Géographie de la colère et reprise dans La Condition de l’homme global), permet de mieux comprendre la montée des extrêmes qui déchire la France de 2014.
  • Appadurai argumente que ces formes de « démocratie sans frontières » sont plus proches de l’idéal démocratique, puisqu’elles ne limitent pas la portée de valeurs universelles à un territoire restreint.
  •  Dans un monde en transformation rapide, où les marchés, les médias et la migration ont déstabilisé les niches sûres de la connaissance, [...] la capacité à distinguer la connaissance de la rumeur, la réalité de la fiction, la propagande de l’information et l’anecdote de la tendance à long terme est désormais vitale pour l’exercice de la citoyenneté informée. »
  • ...21 more annotations...
  • Appadurai incite ainsi à faire de l’anthropologie un outil démocratique au service du peuple, capable de participer à la profonde mutation du politique dans la globalisation.
  • Caractéristique des mouvements transnationaux de la société civile, cette « éthique de la possibilité » serait authentiquement démocratique, car capable « d’intégrer une pluralité de visions de la bonne vie »
  • D’une façon ou d’une autre, l’anthropologie continue à s’intéresser à la logique de la reproduction, à la puissance de la coutume, à la dynamique de la mémoire, à la persistance de l’habitus, au mouvement figé du quotidien et à la ruse de la tradition dans la vie sociale, y compris chez les communautés les plus modernes, celles par exemple des scientifiques, des réfugiés, des migrants, des évangélistes et des stars de cinéma. »
  • L’anthropologie aurait également contribué à la prédominance de la conception du futur comme risque, en laissant à l’économie le monopole du futur.
  • aujourd’hui internationalement dominée par des techniques et des mentalités « orientées vers la manipulation ou la résistance au risque, comprises comme la représentation statistique de toutes les incertitudes de la vie »
  • le risque est devenu un thème central de la théorie économique.
  • la catégorie des tournois de valeurs.
  • En transmettant aux plus démunis un savoir concret sur les moyens d’arriver à leurs fins, les mouvements de la société civile permettraient donc de combler des manques de la démocratie classique.
  • Habitués à ne pas être écoutés et à ne pas voir leurs désirs se réaliser, les pauvres auraient une « capacité à l’aspiration » moindre que les riches.
  • Avec sa notion de « capacité à l’aspiration », comprise comme la capacité à imaginer des futurs crédibles, Appadurai confirme son intérêt pour la dimension intime de la vie sociale, et son habileté à en tirer des thèses d’anthropologie politique.
  • Lesmenaces permanentes de déplacement et de destruction pesant sur les plus démunis les empêcheraient d’exercer une citoyenneté réelle, révélant une zone d’ombre de la démocratie.
  • Dans son dernier livre, après avoir montré que l’économie néolibérale est un système culturel, il développe une réflexion sur les mouvements de solidarité transnationaux, à partir d’une recherche menée auprès d’associations de défense des pauvres de Mumbai.
  • Ainsi, le nouvel esprit du capitalisme consisterait en une capacité à calculer le risque et à affronter l’incertitude, nouveau paradigme de notre temps.
  • En faisant ce parallèle, Appadurai tire le néolibéralisme de son halo de technicité pour le lire comme un système culturel.
  • Son analyse de la mondialisation l’a amené à réviser la conceptualisation anthropologique de la localité, qu’il invite à percevoir non plus comme un support de la vie sociale, mais comme le produit d’un effort collectif de différenciation, éminemment processuel, relationnel et conflictuel
  • Appadurai réalise une audacieuse analyse comparative entre la Bourse et la Kula, un système d’échange cérémoniel pratiqué entre différents groupes de Papouasie Nouvelle-Guinée qui est souvent cité comme un contre-modèle de l’esprit marchand « occidental »
  • Appadurai invite à reconsidérer la demande et la consommation comme des forces centrales de l’économie politique, et par conséquent à penser l’impact des gens ordinaires sur le système global.
  • Les objets étant porteurs de valeurs culturelles, le renouvellement rapide des modes et la circulation globale des marchandises constitueraient des forces démocratiques déstabilisantes pour les élites politiques contemporaines.
  • Appadurai invite à prêter attention aux moments où les objets en circulation entrent et sortent du statut de marchandise
  • Dans La Condition de l’homme global, il entreprend un large travail de relecture des classiques de l’anthropologie économique, à l’aune de la globalisation néolibérale.
  • Plus qu’une réflexion sur le monde contemporain, il s’agit d’un appel à appréhender le futur en tant que fait culturel, en vue de mettre en place une « politique de l’espoir »
peir ric

Mashup, remix, sample, machinima,… au risque du droit d'auteur ? | Paralipomènes - 1 views

  • copie
  • transformation
  • diffusion
  • ...26 more annotations...
  • partage
  • La copie
  • L’autorisation devrait même être expresse
  • pour savoir à qui  demander les droits.
  • Le Code de la propriété intellectuelle autorise certains usages.
  • Pour les mêmes raisons, il faut qualifier l’œuvre
  • une œuvre de collaboration
  • collective
  • une œuvre composite
  • pouvoir jouir d’une exploitation paisible,
  • il faut une autorisation pour reproduire l’œuvre et la représenter, même s’il s’agit d’un extrait, même si elle est modifiée, devenant ainsi une œuvre dérivée.
  • voire de l’usage pédagogique
  • parodie
  • pastiche
  • caricature
  • citation
  • Sont-ce ce des citations ? Non
  • la citation est autorisée lorsqu’elle est faite «  à des fins polémique, critique, scientifique ou d’information », ce qui exclut les fins esthétiques et ludiques
  • Pas d’exception pour la parodie, la caricature ou le pastiche non plus car si certaines de ces créations ont une fin humoristique, on peinera souvent à trouver une telle intention.
  • Quant à l’exception pédagogique
  • elle s’oppose à tout forme de diffusion hors de la classe
  • une œuvre du domaine public
  • Le droit moral, autre couche de droit, impose notamment que l’on crédite l’œuvre, mais aussi que l’on ne porte pas atteinte à son intégrité, selon des critères laissés à l’appréciation des réutilisateurs de l’œuvre, de ceux qui ont des droits sur l’œuvre et  … des juges.
  • l’œuvre peut être utilisée, en respectant les usages imposés par contrat,
  • Une modification autorisée ? Il convient de vérifier.
  • Copier pour modifier, tel est le principe même de la création, du moins si on refuse l’idée d’une création ex nihilo
peir ric

S'informer à l'ère numérique - 1 views

  • S’informer, au sens d’acquérir des connaissances vraies et pertinentes, mettre en forme, savoir et comprendre, éclairer la réalité, créer du sens,
  • oubliant des pans entiers de la réalité.
  • Le facteur de l’oubli : celui qui fait que les médias s’intéressent aux thèmes qui intéressent les médias, qui pensent que les gens s’y intéressent.
  • ...15 more annotations...
  • Le mensonge délibéré, bien sûr, l’information reformatée, décontextualisée, redécoupée, sélectionnée, la propagande, le faux contexte où la fausse légende, la désinformation / mésinformation,
  • l'amnésie s'instaure vite par surabondance,
  • Le quasi secret, la connivence entre les élites journalistiques, politiques, de l’autocensure
  • La surabondance de l’information elle-même
  • Le risque du miroir ou de la contagion:
  • La rareté apparente : le fait qu’une information soit minoritaire, difficile à trouver, ou qu’elle ait été trouvée par un procédé compliqué ou grâce à un logiciel sophistiqué ne garantit en rien qu’elle soit plus pertinente que celle du JT regardé par des millions de gens.
  • nos biais cognitifs, erreurs de raisonnement, conformismes, persistance des idées reçues, dissonance cognitive
  • Le pire est qu'au cours de ce processus sur les réseaux, chacun est tenté soit de citer ou recommander sans avoir vraiment lu ou vu la source primaire
  • La tentation, bien connue dans le phénomène de la rumeur p.e., de vouloir en rajouter pour gagner en prestige est ici aggravé par la facilité à contribuer et documenter.
  • La « bonne » nouvelle, c’est que tout cela est connu depuis longtemps : la rhétorique - art de persuader - est étudiée depuis deux millénaires et demi, il existe des listes de sophismes et de biais cognitifs depuis des siècles ; dès les années 20, des scientifiques ont établi les listes des procédés typiques de la propagande et ont décrit la façon de les détecter.
  • Mais le pire est le danger que chacun porte en soi. La tentation d’adopter la version de la réalité la plus simple, celle qui flatte le mieux nos stéréotypes ou nos conceptions idéologiques, celle que partage notre groupe, notre famille intellectuelle.
  • faire un « copier-coller »
  • e demander d’où provient l’information, reconstituer le trajet d’une dépêche ou d’une image, s’interroger sur les intérêts des acteurs qui la produisent ou la diffusent ; se méfier de la force de l’image et de l’émotion du direct, comparer des sources de différentes cultures ou de différentes familles idéologiques.
  • La « mauvaise » nouvelle, c’est que tout cela prend un temps considérable : vérifier, comparer, analyser est un travail que nous ne pouvons faire toujours et dans tous les domaines.
  • En clair : la quête de l'information va d'un processus de repérage et autorité vers un processus de confiance et coproduction. Ce n'est pas une catastrophe en soi ; c'est une nouvelle règle du jeu à apprendre.
  •  
    récapitulatif des processus qui tendent à biaiser la réception de l'information. Besoin de veille en mode collaboratif
peir ric

L'évidence du complot : un défi à l'argumentation. Douter de tout pour ne plu... - 1 views

  • tout en affichant son objectivité absolue, s’attache à mettre en cohérence des événements épars prélevés çà et là dans la réalité observable.
  • Elles intègrent ces événements à l’intérieur d’une trame narrative déterministe (mais non assumée comme telle) capable de leur donner du sens et de l’épaisseur ; capable, en somme, de les faire parler.
  • dans le but (2) d’apporter la preuve que ces faits sont nécessairement liés entre eux
  • ...48 more annotations...
  • ces théories (1) recueillent et assemblent des événements élevés au statut de faits
  • (3) parce qu’ils résultent d’une cause unique
  • et (5) au sein duquel les participants agissent conformément à une nature profonde qui les détermine.
  • c’est-à-dire (4) d’un complot dont ils témoignent
  • les théories en question pointent et dévoilent les supposées raisons cachées qui justifient qu’on présente les faits collectés en un seul geste discursif, d’un seul trait.
  • évacuant complètement le rôle du hasard, du flou et du précaire qui habitent les affaires humaines
  • en sollicitant des explications où prédominent les intentions inavouables (et partant inavouées) de groupes d’individus motivés par une essence ou une propriété commune
  • C’est justement cette capacité unificatrice, cette plasticité même qui donne réponse à tout, que j’ai appelée ailleurs « rhétorique de la facilité »
  • La mise à jour de ce maillage, donc sa production, reposent sur l’accumulation d’indices, de signes, de traces plus ou moins visibles.
  • Ceux-ci sont alors investis et interprétés à l’aune de l’explication totale ( = la vision du monde) sur laquelle repose tout l’édifice théorique.
  • il n’est jamais difficile de trouver, dans la masse des informations disponibles, celles qui, justement, vont pouvoir confirmer la thèse initiale et renforcer la clôture du monde.
  • Statistiquement, il n’est d’ailleurs pas « anormal » que des événements ou des coïncidences improbables aient lieu – même si cela déroute ou intrigue.
  • Bronner montre combien le « biais de confirmation » constitue un mécanisme cognitif particulièrement efficace lorsqu’il s’agit de légitimer et de pérenniser ses propres croyances.
  • Traité de l’Argumentation, « on ne délibère pas là où la solution est nécessaire et on n’argumente pas contre l’évidence »
  • la pensée conspirationniste en affichant un respect scrupuleux des contraintes de production du savoir scientifique (les faits, rien que les faits), profite de l’extraordinaire légitimité que nos sociétés démocratiques attachent à la position critique.
  • Elle parvient alors, nouveau tour de force, à s’immuniser face à la critique même, par un recours systématique à l’effet d’évidence. C’est à ce titre qu’elle est si persuasive.
  • reconsidérer le type d’argumentation propre à cette pensée-là à la lumière du couple doute-évidence.
  • En effet, dans un même geste, le doute qui envahit l’espace social (sur le mode du « tout n’est qu‘apparences », ou du « on nous cache tout ») en vient à quitter totalement celui du discours à l’intérieur duquel, justement – évidence oblige –, on ne doute pas.
  • En conséquence, l’adhésion à ces preuves constitue un droit et non pas un fait. Le but n’est pas de rallier l’adversaire récalcitrant, mais bien de le combattre pour lui faire entendre raison.
  • [d’]une argumentation rhétorique tout peut toujours être remis en question ; on peut toujours retirer son adhésion : ce que l’on accorde est un fait, non un droit. […] On ne peut être obligé d’adhérer à une proposition ou obligé d’y renoncer à cause d’une proposition à laquelle on serait acculé. L’argumentation rhétorique n’est pas contraignante parce qu’elle ne se déroule pas à l’intérieur d’un système dont les prémisses et les règles de déduction sont univoques et fixées de manière invariable (Perelman & Olbrechts-Tyteca, 1952 [1950] : 26).
  • Concrètement, le raisonnement conspirationniste crée un espace qui semble ouvert au doute et à l’argumentation, alors même qu’il rend l’expression de l’un comme de l’autre impossible.
  • Au contraire, tout semble fait pour lui retirer sa dimension pratique, mais aussi pour dissiper la part incompressible d’incertitude et de jeu qui permet à la liberté de choix d’opérer.
  • Pour le dire sans détour, il ne s’agit pas de se « poser des questions », ni même d’argumenter, mais bien de confirmer une matière qui est déjà jugée, à savoir que tout est « fabriqué ».
  • une incertitude
  • (1) l’argumentation puisse se déployer sur le mode de l’invention,
  • le fait d’être persuadé puisse constituer un acte libre et responsable.
  • Nous ne délibérons que sur les questions qui sont manifestement susceptibles de recevoir deux solutions opposées ; quant aux choses qui, dans le passé, l’avenir ou le présent ne sauraient être autrement, nul n’en délibère, s’il les juge telles ; car cela ne lui servirait à rien. (Aristote 1960 : 79)
  • une incertitude qui donne prise à l’argumentation.
  • Perelman
  • une intuition relative au doute, mais aussi à l’intrication d’éléments épars qu’il veut réunir : le libre examen, la parole persuasive, l’incertitude, l’orientation dans un monde flou, la décision.
  • Perelman se demande comment faire pour conférer au doute une dimension pratique, pour lui donner force et vigueur afin d’éviter qu’il ne sclérose la pensée, la parole et l’action
  • D’abord, Perelman refuse de réduire le doute à une posture – sociale ou discursive.
  • La recherche des preuves et, partant, leur administration en vue de les faire admettre comme des raisons, et même de « bonnes raisons » d’adhérer est la première charge des protagonistes de l’interaction, par laquelle ils manifestent, justement, leur raison pratique.
  • Perelman n’invite nullement à renoncer au doute. Il propose, à l’inverse, de l’assumer : d’en faire une occasion, un kairos.
  • Ensuite, l’auteur lie le doute et l’action : à une action personnelle (délibérer avec soi-même pour se décider), d’une part ; à une action vers autrui (convaincre, nous aurions préféré persuader, mais peu importe), d’autre part
  • convaincre, c’est
  • accepter de s’exposer soi-même aux arguments qu’autrui pourrait également formuler
  • C’est parce qu’il n’y a pas de règles susceptibles de fournir une solution définitive au problème du bon choix que chaque choix constitue un risque, une option engageant la responsabilité de l’homme qui a choisi, que l’appréciation morale a un sens et que l’on peut parler de liberté humaine. (Perelman 1952 [1948] :160)
  • La liberté dont il est question ici est intimement liée à la démarche rhétorique. Celle-ci ne saurait d’aucune façon se déployer dans un monde clos, ni dans un système où il s’agirait de « transformer [l]es consciences humaines en automates ajustés aux besoins d’une idéologie »
  • En pénétrant dans l’espace d’opposition  des preuves et des arguments, les adversaires (réels ou potentiels) contractent, l’un envers l’autre, une obligation qui les met en devoir de se respecter comme tels, c’est-à-dire comme adversaires
  • chacun des protagonistes se charge successivement de se défendre et d’accuser, c’est-à-dire de rechercher (et donc de prendre en charge) les preuves les mieux à même de supporter une défense toujours à venir.
  • reconnaitre la précarité même des arguments avancés à l’intention d’autrui, leur caractère critiquable et, dans un même mouvement (c’est le corrélat)
  • « Rien n’arrive par accident. »
  • (1) « À qui profite le crime ? »
  • (3) « Rien n’est tel qu’il paraît être. »
  • (4) « Tout est lié, des forces occultes tirent les ficelles. »
  • (5) « Qu’on me prouve le contraire ! »
  • je soulignerai d’abord que la pensée conspirationniste constitue un remarquable laboratoire pour aborder, par contraste, la pratique rhétorique, c’est-à-dire pour mieux comprendre sa valeur profonde, ses usages autant que ses outils.
peir ric

Open Data : de quelle ouverture est-elle le nom ? « InternetActu.net - 0 views

  • la création d’un service adéquat, Etalab, chargé de coordonner cette ouverture des données et de créer une plateforme pour rendre publiques ces données, data.gouv.fr.
  • ’association Regards citoyens, qui depuis 2009, milite pour cette ouverture des données et y participaient avec ses moyens avec un site comme Nosdéputés.fr
  • Si on s’en tient à un constat un peu plat, au ras de la donnée si j’ose dire, on peut rester un peu perplexe.
  • ...6 more annotations...
  • nous libérons des données, à vous d’en faire quelque chose.
  • Une logique qui veut que toutes les informations recueillies et fabriquées par les institutions publiques soient rendues au public (ce qui ne va de soi ne serait-ce que parce que certaines de ces données étaient vendues), qui veut que ces mêmes institutions soient redevables dans leur mode de fonctionnement et leur financement auprès de la population.
  • Ces données, brutes, sont peu lisibles, mais travaillées, elles prennent du sens
  • la question de la transparence et surtout la crainte de cette “transparence” induite par la culture du numérique
  • le risque est moins la transparence totale, que l’écran de fumée
  • “Données inutiles” a répondu Regards citoyens expliquant immédiatement que des déclarations de patrimoine étaient peu significatives, que c’était d’autres données qui étaient importantes : la vraie transparence du vote parlementaire par exemple ou l’encadrement des conflits d’intérêts et du lobbying
  •  
    c'est aux citoyens de se saisir des données pour en faire de l'information. Cela signifie d'une part comprendre les données et le design de l'information d'une part, comprendre la constitution même des base de données et enfin saisir dans ces bases ce qui est de l'ordre de l'accessoire et de l'écran de fumée et ce qui est de l'ordre de la nécessité démocratique
peir ric

Actualités de la visualisation de données : 3 regards critiques - 0 views

  • Les données géolocalisées poussent à la cartographie.
  • certaines données ne se prêtent pas à cet exercice.
  • L’analyse de réseau réduit la réalité à un mode visuel qui fait parfois perdre la singularité de ce qui fait le lien entre deux éléments étudiés, avec le risque évident que l’analyste se cantonne à étudier la portion de ses données qui peuvent être visualisées en réseau sans traiter les autres, plus qualitatives.
  • ...2 more annotations...
  • l’analyste porte la lourde responsabilité du choix des données qu’il met en scène
  • non seulement la forme des questions conditionne les réponses, mais la présentation de ces dernières n’est jamais dénuée d’une certaine décision “scientifique” (ou “idéologique” ?). Faut-il faire confiance ou exiger les données brutes ?
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