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Benoit Dudragne

Facebook adopte le modèle d'influence de Twitter | ReadWriteWeb France - 0 views

  • En jouant sur les deux tableaux, celui du réseau symé­trique propre aux rela­tions d’amitiés et du réseau dis­sy­mé­trique propre aux rela­tions d’influences, Facebook pour­rait bien reprendre la main pour ce qui est d’être le lieu où se pro­page une infor­ma­tion
  • La conséquence à long terme sera sans nul doute une modi­fi­ca­tion consi­dé­rable des rela­tions d’influences sur Facebook et des phé­no­mène de pro­pa­ga­tion d’une infor­ma­tion qui y prennent place
  • D’un point de vue mar­ke­ting, ce petit chan­ge­ment appelle à une révi­sion en pro­fon­deur des stra­té­gies mise en place jusqu’ici
  • ...1 more annotation...
  • Souscrire – à la façon de Twitter – aux noti­fi­ca­tions d’un uti­li­sa­teur per­met­tra de se tenir au cou­rant de l’activité d’une mul­ti­tude de per­sonnes de façon bien plus effi­cace qu’auparavant. Les phé­no­mènes de buzz devraient, à l’image de Twitter, et du fait de la dis­sy­mé­trie induite dans le réseau social, deve­nir bien plus forts sur Facebook, ce qui ne manquera pas de remettre à plat nombre de stra­té­gies virales
Benoit Dudragne

Le nouveau Facebook : un guide complet pour les éditeurs, les annonceurs, les... - 0 views

  • un mouvement destiné à faire du web tout entier un web social et sémantique
  • on intention est bien de réduire à néant la concurrence, et d’utiliser ses centaines de millions d’utilisateurs pour prendre d’assaut le web tout entier
  • Nous avons délibérément laissé de coté la monnaie virtuelle annoncée par Facebook,
  • ...33 more annotations...
  • mais à la base, leur but est d’amener les utilisateurs à recommander un contenu, ce qui en publira le lien dans leurs flux Facebook, le stockant au passage de façon permanente sur leurs profil. Ce lien sera également partagé et apparaitra dans le flux de leurs amis, créant ainsi du trafic vers vos contenus.
  • Ils rendent facile et agréable l’identification sur un site tiers avec son compte Facebook, et montrent les avatars de vos amis qui sont déjà membres du service.
  • ces widgets ajoutent la possibilité de placer un bouton de recommandation Facebook (“Like”) sur n’importe quel contenu –
  • es flux d’activité listent les commentaires récents faits sur Facebook à propos de vos contenus et les recommandations,
  • Facebook a lancé un langage de marquage sémantique simple, basé sur le RDF, qui rendent ces plugins intelligents et conscients du contexte non plus simplement social dans lequel ils s’affichent
  • Pour aller vite, le marquage des contenus donne la possibilité aux éditeurs de spécifier quels objets sont présents dans ses pages : un film, un livre, un chanteur, un événement, une équipe de foot, etc. Cela permet de mettre en œuvre de la sémantique, c’est à dire une compréhension par cette technologie que le visiteur ne fait pas qu’interagir avec une page web, mais qu’il est en train de regarder, de commenter ou de recommander une chose en particulier. Le langage sémantique classe les objets en catégories comme les livres, les films, la musique, etc., et ouvre la voie à une multitude d’applications, en particulier des systèmes de recommandations personnalisés.
  • ce langage de marquage sémantique aide Facebook à relier les internautes ayant un intérêt commun à travers différents sites web
  • ce genre de données concernant vos amis est jusqu’ici dispersée à travers de multiples sites. Auparavant, Facebook faisait apparaitre ces informations dans les flux de chacun sans en extraire quoi que ce soit d’utile, désormais, les goûts de vos amis en matière de sport, de musique, de littérature ou de cinéma seront stockés de façon permanente sur leurs profils, et disponibles pour être mis en contexte à travers le web tout entier.
  • Cette nouvelle API transforme Facebook en annuaire, accessible en lecture et en écriture, référençant les goûts de tous les membres de Facebook. A chaque fois que vous recommandez ou ‘Likez’ un contenu, vous enrichissez votre profil et augmentez la capacité de Facebook et des sites utilisant cette technologie de vous fournir une expérience personnalisée.
  • Facebook demande clairement (ou presque) à ses utilisateurs de renoncer à la confidentialité d’une partie de leurs données personnelles en échange de personnalisation. Il faut être clair : aucune personnalisation n’est possible sans que les utilisateurs ne donnent des informations au système sur leurs goûts. Ce que Facebook demande est nécessaire à la création d’une expérience web personnalisée.
  • comme le pointe Fred Wilson, les liens passés entre amis vont en parti remplacer en partie la recherche.
  • ’essentiel des conséquences de ces innovations du point de vue de l’utilisateur est ailleurs, et se résume à un mot : la vie privée.
  • Il convient cependant de prendre des distances avec tout cela : les analyses publiées ici sont très loin de la compréhension qu’à l’utilisateur moyen de Facebook, et la communauté des lecteurs de RWW est très largement plus avertie que celle qui surfe sur Facebook.
  • a plateforme offerte par Facebook est également riche en innovations, notamment car elle promet de faire passer la sémantique au mainstream. Les services web, demain, pourraient, grâce à elle, voir surgir des innovations phénoménales.
  • mais il est évident que Facebook utilisera les informations qu’il collectera sur ses membres pour cibler ses publicités. Il est même fort probable que Facebook devienne dans les prochaines années l’une des plus puissantes régies pub au monde
  • quelque chose qui pourrait rendre obsolètes les innovations de Google en matière de publicité.
  • Les annonceurs, qui jusqu’ici avaient tendance à prendre à la légère le système de publicité proposé par Facebook, devront rapidement réviser leur copie. D’ici peu, Facebook leur fournira la possibilité de cibler une population en fonction d’une quantité impressionnante de facteurs : goûts, centres d’intérêts, marques favorites, réseau social, sujets abordés sur la page où est placé la publicité, et géolocalisation.
  • Pour les secteurs offrant une vaste gamme de choix, comme la mode ou le tourisme, c’est l’ensemble des sites eCommerce et des « landing pages » qui pourraient être intégralement personnalisés en fonction de chaque visiteur (faisant, là encore, un renversement d’équilibre entre « recherche » et « recommandation »).
  • Si la vision de Facebook se réalise, ce dernier pourrait devenir la plus grosse régie publicitaire de l’internet
  • Mais à y regarder de près, c’est loin d’être aussi évident. Pour comprendre cela, il faut distinguer deux types de sites : ceux qui sont déjà des réseaux sociaux ou qui ont un réseau social intégré, et ceux qui n’ont qu’un simple système de commentaires.
  • N’importe quel site qui a déjà un réseau social intégré doit décider s’il doit abandonner cela avant de sauter dans l’aventure, et le problème critique réside dans la propriété des commentaires et des notations. Les éditeurs sont-ils prêt à abandonner cela ? Personne ne pense sérieusement qu’un utilisateur va noter quelque chose sur Facebook puis le faire à nouveau sur le site d’un éditeur.
  • Peut être sous la forme d’une API ouverte qui permettrait aux éditeurs de manipuler les données.
  • C’est difficile à estimer, mais en terme de trafic, c’est un surplus non négligeable que peut apporter ainsi Facebook, surtout si ces fonctionnalités sont couplées à une vrai stratégie de community management sur Facebook. Largement de quoi payer au prix fort une armée de community managers pour les gros sites de contenus, ainsi que les meilleurs experts de la place, afin de tirer parti de cette mine d’or ouverte par Facebook.
  • Un accord concernant Bing, son moteur de recherche, est probablement dans les cartons, et alimenter Bing avec toutes les données issues de Facebook aurait beaucoup de sens : cela permettrait une amélioration sensible des résultats de recherches proposés par le moteur de Microsoft.
  • pparemment, Facebook ne se contente plus de connecter les gens entre eux, il ambitionne désormais connecter les gens et les choses, non seulement sur son site, mais partout sur le web, et pas simplement les gens, mais vos amis.
  • La troisième option est de jouer le jeu et de construire quelque chose dans l’écosystème proposé par Facebook. D’innover au sein de cet écosystème. C’est à priori, d’un point de vue stratégique, la meilleure option. L’innovation a toujours triomphé de l’immobilisme sur le web.
  • e point noir reste que Facebook semble être le seul dépositaire de toutes les données dans cette équation, ce qui rend l’ensemble particulièrement fermé. Les éditeurs et les utilisateurs n’ont pas le choix en ce qui concerne l’endroit où stocker les données
  • Facebook sera
  • e répertoire des goûts et des couleurs du monde entier.
  • Pour décrire un objet sur une page, l’éditeur doit lui donner un titre, une typologie, une image, une url et le nom du site en utilisant de simples metatags.
  • C’est une opportunité incroyable pour faire du web sémantique une réalité
  • Il y aura sans aucun doute une véritable ruée vers l’or qui durera au moins une année, comme la précédente, quand Facebook avait ouvert sa plateforme afin d’y accueillir des applications tierces.
  • Chacun doit trouver comment ajuster sa stratégie afin de prendre en compte ce qui pourrait bien être la fin du web 2.0 et le début du web 3.0 (au sens du web sémantique), car si le pari de Facebook réussi, c’est bien à un changement systémique majeur auquel nous avons à faire face.
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