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Laurent Bordet

Les "prépas" contraintes de s'adapter face à la concurrence - LeMonde.fr - 0 views

  • Les classes préparatoires sont-elles menacées ? Une enquête inédite de la Conférence des grandes écoles (CGE, qui rassemble 220 établissements) montre que les étudiants qui intègrent une grande école (quelle que soit l'année d'entrée) ne sont plus que 38,5 % à être issus d'une prépa : 40,2 % pour les écoles d'ingénieurs et 37 % pour les écoles de management.
  • Dans le top 10 des écoles d'ingénieurs, neuf étudiants sur dix viennent de prépa. Sur les 400 élèves entrés à Polytechnique en 2011, 10 seulement venaient de l'université..
  • Les prépas intégrées séduisent de plus en plus, notamment dans les écoles d'ingénieurs. Un quart des élèves ingénieurs intègrent leur école dès la sortie du lycée et commencent par deux années de prépa.
  • ...3 more annotations...
  • Détour par l'université Objectif : décrocher un BTS, un DUT, voire une licence avant de tenter un concours de grande école. 18 % des jeunes qui intègrent une grande école ont opté pour un institut universitaire de technologie (IUT) et 9 % une section de technicien supérieur (STS). Un cycle préparatoire d'un an a même été créé pour eux : adaptation technicien supérieur (ATS). Il y a sans doute parmi eux des étudiants qui veulent s'épargner le choc de la prépa.
  • . Passer par l'université permet de décrocher un diplôme en cours de route, ce qui offre une porte de sortie, au cas où. Alors que le parcours prépa-école, c'est la garantie de ne pas toucher de salaire avant au moins cinq ans.
  • L'université Paris-Ouest-Nanterre-La Défense a créé en 2006 une licence humanités. On y étudie les lettres, l'histoire, la philosophie et les langues. L'emploi du temps est dense et les enseignants mettent l'accent sur la méthodologie et l'accompagnement des étudiants. D'autres facs ont créé une classe prépa, stricto sensu, comme l'université de Bretagne-Sud en 2009. Mais de tels exemples sont rares.
Laurent Bordet

Les masters d'ingénierie en débat - 0 views

  • Les écoles d'ingénieurs diplôment 30.000 personnes par an
  • faudrait  arriver à une filière d'ingénierie globale, qui réunisse grandes écoles et universités. Cela demande de la cohérence, donc de la concertation entre les principaux acteurs. L'important est de bien préparer les étudiants au métier d'ingénieur, quels  que soient leur titre et la filière suivie.
  • Pourquoi ne pas avoir fait évoluer vos écoles internes comme  Polytech Paris-UPMC ?
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  • Polytech accueille des bacheliers technologiques ou des bacs S option Sciences de l'ingénieur, et forme des ingénieurs opérationnels
  • Nos masters d'ingénierie s'adresseront à des étudiants motivés, mais pas intéressés par les classes préparatoires.
  • Julien Roitman, vous avez évoqué l'idée de créer un ordre des ingénieurs. Les diplômés des masters d'ingénierie y auront-ils leur place ?
Laurent Bordet

25,9 % de filles dans les écoles d'ingénieurs en 2008-2009 - 1 views

  • La Conférence des Directeurs des Ecoles Françaises d’Ingénieurs (CDEFI) publie une note statistique sur la féminisation des écoles d’ingénieurs à partir des données de la Direction de l’Evaluation, de la Prospective et de la Performance du Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.
  • 25,9%.
Laurent Bordet

Pierre Tapie : «Nous restons bien moins chers que nos concurrents étrangers», Formation - 0 views

  • Qui juge indispensable de solliciter davantage les familles pour faire face à un environnement ultra-compétitif.
  • Avec des frais de scolarité de 12.800 euros en moyenne par an dans la grande école, ne craignez-vous pas d'interdire à certains candidats de rejoindre votre école ?
  • 'Essec reverse à ses étudiants près de 30 % des frais de scolarité qu'elle perçoit sous forme d'aides, de bourses, de prêts d'honneur et d'apprentissage...
  • ...3 more annotations...
  • La moyenne des écoles d'ingénieurs est de un enseignant pour sept élèves.
  • Les dépenses d'accompagnement et la professionnalisation. Les entreprises et les étudiants sont devenus très exigeants. Un seul exemple : nous recevons chaque année 14.000 offres qualifiées de stage.
  • Or ces offres, nous devons d'abord les susciter, puis les gérer, les faire connaître de nos étudiants...
Laurent Bordet

"Il ne faut pas avoir peur de venir à l'université" - LeMonde.fr - 0 views

  • Un site est entièrement dédié aux lycéens et un DVD présentant toutes les facettes de l'université est diffusé dans les lycées.
  • Nous avons aussi la chance d'avoir une école d'ingénieurs au sein de l'université : Polytech Nantes. Nos étudiants en sciences peuvent pendant deux ans suivre des cours supplémentaires en sciences de l'ingénieur et avoir ensuite accès aux douze écoles du réseau Polytech.
  • Qu'apporte l'université que ne donnent pas forcément les prépas ? D'abord le sens de l'autonomie que nos étudiants apprennent à développer très tôt. Ensuite une pédagogie différente pas fondée sur le bachotage, à l'exception évidemment de la première année de médecine
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  • Nous accordons ainsi plus de 200 000 € par an de subventions directes auprès de 140 associations recensées sur nos campus. Les projets sont divers et inventifs : solidarité locale, sport, culture, convivialité, international, média...
  • C'est une hérésie, un master devrait être un continuum sur deux ans. Là il y a une barrière entre les deux qui sanctionne des étudiants au milieu du gué. La législation actuelle date d'avant le LMD et n'a pas été modifiée : elle autorisait alors un accès libre en maîtrise, et imposait une sélection à l'entrée des DEA et DESS. La première barrière de sélection ne se fait donc qu'en M2. Il faudrait que la sélection se fasse dès le M1.
  • L'insertion professionnelle fait maintenant partie des missions de l'université. Pouvez-vous dresser un premier bilan de votre action ?
  • A la rentrée, nous lançons "Têtes de l'Emploi", notre premier forum de l'emploi afin de faire se rencontrer entreprises et futurs jeunes diplômés. Ce forum va venir renforcer les actions que nous menions déjà discipline par discipline. Par exemple en droit ou en lettres où les professions venaient se présenter aux étudiants dans le cadre de forums des métiers. Nous assurons également un vrai suivi de nos diplômés et avons d'excellentes relations avec les secteurs professionnels. Résultat, nos taux d'insertion n'ont rien à envier à ceux de grandes écoles pour nos masters et licences professionnels.
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    Inrerview du président de l'Université de Nantes.
Laurent Bordet

Le Figaro - France : Les anciens étudiants, radins envers leurs facs - 0 views

  • Un sondage réalisé en octobre par Opinionway à la demande d'une agence de collecte de fonds démontre que seuls 7% des 601 diplômés de l'enseignement supérieur interrogés ont déjà donné une somme d'argent
  • le «terrain» n'est pas fermé en France, selon ce sondage qui révèle que les anciens se sentent attachés à leur établissement.
  • Ce sentiment varie de 58% à l'égard de l'université à plus de 80% pour les anciens étudiants en école de commerce et d'ingénieurs.
  • ...7 more annotations...
  • : 41% estiment ainsi «qu'il est normal de faire des dons à son école ou à son université pour participer à son développement et à son rayonnement».
  • Reste que 80% des diplômés n'ont jamais été sollicités ou n'ont jamais pensé passer à l'acte.
  • Pourquoi les autres ne donnent-ils pas ? Principalement parce qu'ils n'ont jamais été sollicités (52%) voire parce qu'ils n'en ont pas les moyens (43%). Et 18% se disent aussi hostiles au financement privé des établissements...
  • Pour les universités, la difficulté est grande car elles n'ont pas de communauté constituée d'anciens élèves.
  • Université de Toulouse I Capitole de 1999 a 2004. Des amphis poussiéreux et inconfortables, des sièges qui grincent ou qui se relevent en claquant bruyamment, des couloirs lugubres, de ordinateurs dignes de l'ex RDA, des plafonds et des murs craquelés, des lumières blafardes, un service d'information et d'orientation fantôme, ou la potiche qui vous accueille ne connait pas la différence entre un DEA et un DESS ( a l'époque , avant la réforme des Masters ) etun enseignement théorique et prétentieux, à des années lumières des attentes des entreprises et des compétences réclamées sur le marché du travail. A l'issue de 5 années passées entre ces murs glauques, 3 ans de galère de CDD en intérim, en petits boulots et postes de sous fifre pour finalement décrocher un emploi digne de ce nom, correctement rémunéré, et avec un vague rapport avec les études réalisées.
  • Je viens d'un milieu ouvrier et j'ai eu la chance de faire bonnes études universitaires quasi-gratuites qui m'ont permis de prendre l'ascenseur social. Je suis aujourd'hui cadre supérieur, reconnu dans mon domaine d'expertise. Je dis bien humblement, n'en déplaise aux libéraux pur sucre, que je n'y serais pas arrivé dans un pays où l'université est payante. Je suis reconnaissant au système universitaire français.
  • Depuis 5 ans, je suis chargé de cours dans un master II et je ne perçois pas la rémunération correspondante. C'est une façon de renvoyer l'ascenseur, agréable, car l'enseignement est aussi un plaisir. Si cela vous tente, contactez vos anciens profs, ils sont demandeurs.
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    Intéressant, surtout la partie réaction... A méditer
Laurent Bordet

Assises : « Mais où sont donc passées les entreprises? », s'inquiètent les ingénieurs | Le grand amphi - 0 views

  • ans "un contexte de crise" et alors que la LRU prévoit "une insertion professionnelle des étudiant", "le monde socio-économique semble écarté de la définition des cursus de formation et du processus d'orientation. Peut-on imaginer préparer les jeunes à un métier en les coupant du monde du travail ?",
  • Au-delà d'un cursus fondé sur un socle de vastes connaissances scientifiques et techniques et ne rechignant pas à l'évaluation, leur réussite repose très largement sur une proximité délibérée avec les entreprises".
  • En matière de recherche, la CDEFI estime qu'il faut maintenir le cap. "Ce qui doit être au centre du système, c'est le fait que l'Université (au sens générique du terme) doit avoir une vraie stratégie recherche et qu'elle soit capable de la mettre en oeuvre. Les organismes (CNRS...) font corps avec les établissements d'enseignement
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