Skip to main content

Home/ Enseignement Superieur/ Group items tagged marque

Rss Feed Group items tagged

Laurent Bordet

Les universités allemandes s'offrent au marketing - educpros.fr/ - 0 views

  • Les services de communication des universités sont invités à se convertir en département marketing afin de développer une stratégie, voire une marque propres.
  • Reste en effet à savoir si une université doit se vendre comme un produit de consommation courante ou si l'inscription d'un bachelier résulte davantage d'un processus mûrement réfléchi.
  • Certes, son université a engagé un budget de 200.000 € dans des actions classiques de marketing (marque, objet, campagnes de pub...), mais elle privilégie aujourd'hui sa promotion sur les réseaux sociaux tels que Facebook, MySpace ou Twitter.
Laurent Bordet

Les Ecoles et les Universités : quel avenir en formation continue ? | Les nou... - 0 views

  •  
    Quelques conseils précieux pour la mise en place d'une stratégie de formation continue. Une des clés : la marque de l'établissement
Laurent Bordet

Quand les Facs dament le pion aux grandes écoles - Challenges.fr - 0 views

  • Plus d'un étudiant sur deux prépare désormais un diplôme professionnel", constatent les études ministérielles. Mieux, ces jeunes accèdent à l'emploi dans des conditions bien plus satisfaisantes qu'on ne l'aurait imaginé. Une enquête nationale, chapeautée par le ministère de l'Enseignement supérieur, vient d'en apporter pour la seconde fois la preuve. Trente mois après leur diplôme, le taux d'insertion des masters de l'université est de 91%, presque tous en emploi stable, un score très comparable à celui des diplômés des grandes écoles
  • Alors que le grand public n'a pas encore pris conscience de ces changements, les entreprises, elles, ont déjà négocié le tournant. "Nous souhaitons ouvrir nos recrutements à environ 20% de diplômés venus de l'université, assure ainsi Jean-Marc Mickeler, responsable de la marque employeur chez Deloitte, l'un des Big Four, ces grands cabinets d'audit placés au firmament des débouchés de rêve par les étudiants. Elles ont aujourd'hui bien compris nos attentes, que ce soit Dauphine, bien sûr, mais aussi Paris 1, Nanterre, Strasbourg, Aix-en-Provence, Lyon..."
  • Pierre Tapie lui-même, président de la Conférence des grandes écoles, connu pour sa défense ardente de ce modèle d'excellence, assure désormais qu'entre une fac de droit et une école il n'y a pas de différence. "Les frontières entre les deux types d'établissement sont d e -plus en plus poreuses. Aujourd'hui, l'insertion professionnelle fait partie des missions de l'université. Tandis que les grandes écoles doivent faire de la recherche." Décidément, c'est la révolution.
Laurent Bordet

La bataille de la matière grise est engagée - LeMonde.fr - 0 views

  • DÉVELOPPER UN RÉSEAU D'ANCIENS M. Ramanantsoa le reconnaît sans ambages. L'enjeu de la guerre des talents est de "rester dans le top 5 européen" et de conserver le "respect" de ceux qui, en Europe, aux Etats-Unis ou en Asie, partagent les fauteuils d'orchestre. Il s'agit aussi de développer un réseau d'anciens solide et prestigieux, gage d'influence, de réputation et de soutien financier juteux. "Les diplômés de l'ENA, en France, peuvent retrouver des anciens dans tout l'establishment français. Un ancien de Stanford trouvera d'influents diplômés partout dans le monde", notait cruellement The Economist dans le même numéro.
  • INDISPENSABLE DE "VENDRE" SA MARQUE Pour attirer les meilleurs étudiants – et enseignants –, les grandes écoles ont pris une longueur d'avance. Contrairement aux universités, elles sélectionnent, et c'est là un outil efficace. Mais pas suffisant. Il faut aussi être visible à l'international. L'accréditation accordée par trois organismes privés fait référence pour les écoles de management. Etre présents dans les classements s'impose. Shanghaï Times Higher Education ou Financial Times, les "radars", comme les appelle Richard Perrin, directeur international de l'Edhec, ne manquent pas
1 - 6 of 6
Showing 20 items per page