ou acheter des survetement lacoste pas cher Il - 0 views
started by tomscheapshoe tomscheapshoe on 08 Aug 14
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Les 120 membres du conseil national seront quant à eux renouvelés aux deux tiers à cette occasion le 3 décembre. Ce sont eux qui éliront le 15 décembre à Paris le nouveau collège exécutif, dont le nouveau secrétaire national.Pour l'heure, seuls Yann Wehrling (lire ci-dessous) et le cochétiste Christophe Porquier ont fait acte de candidature.L'annonce, le 1er mai dernier, par le président bolivien Evo Morales, de la nationalisation des hydrocarbures a fait des jaloux en Équateur. Comme en Bolivie, la population ne comprend pas pourquoi elle n'a pas bénéficié de la hausse historique des cours du brut enregistrée depuis 2002.Le pétrole représente 60 % des exportations de l'Équateur et 40 % de son budget, mais les compagnies étrangères, qui depuis la privatisation du secteur assurent 60 % de la production, ont capté l'essentiel des plus-values.En avril, le gouvernement d'Alfredo Palacio a porté de 20% à 50 % la taxation des bénéfices, dans l'espoir de générer 300 millions de dollars supplémentaires dès cette année, 500 millions l'année prochaine. ou acheter des survetement lacoste pas cher Il a aussi mis fin au contrat avec l'entreprise américaine Occidental, accusée de violer la loi équatorienne.Le candidat favori du scrutin présidentiel Rafael Correa veut aller plus loin. S'il n'envisage pas de nationalisation formelle, il a promis une renégociation des contrats qualifiés de « hold-up » pour le pays. « Pour cinq barils de pétrole produits, les multinationales nous en prennent quatre et nous en laissent un », a-t-il argumenté. Il est appuyé par les communautés indigènes pour lesquelles l'exploitation pétrolière cause tant de dommages pour l'environnement qu'elle devrait être interrompue en Amazonie.La trêve décrétée au sommet de la majorité n'a pas convaincu la base. Alain Gest, le député sarkozyste qui a rappelé le premier ministre à son devoir de solidarité mardi dernier, a réagi à ses déclarations à la Martinique en expliquant au Figaro : « Si Dominique de Villepin et Michèle Allliot-Marie veulent qu'on les croie quand ils parlent d'unité, qu'ils disent une fois pour toutes qu'ils acceptent des règles qu'ils ont, de surcroît, eux-mêmes avalisées ! » L'élu de la Somme ne voit « aucun inconvénient » à ce que Michèle Alliot-Marie nourrisse des ambitions présidentielles : « Si elle a des choses à dire, qu'elle se présente ! L'UMP est un parti de rassemblement, comme l'a voulu le président de la République. lacoste a pas cher
»De son côté, le villepiniste Hervé Mariton, interrogé hier matin sur Canal +, a jugé que c'est « en mars, au moment où l'élection se cristallise » que l'UMP devra se déterminer « selon le choix que fera le président de la République, le soutien que l'UMP décidera et surtout les circonstances ». « Si d'ici à mars, il apparaît qu'un autre candidat est mieux à même de rassembler les suffrages au second tour, il faudra que Nicolas Sarkozy et l'UMP, tous ensemble, nous ayons l'humilité de nous adapter aux circonstances », a souhaité le député de la Drôme. Et dans un entretien à Valeurs actuelles, Mariton dit carrément : « J'aimerais que Villepin soit candidat.UNE « PRIORITÉ d'embauche » pour les Réunionnais : c'est ce que Ségolène Royal a proposé hier d'instaurer pour lutter contre le chômage dans ce département d'outre-mer. En meeting à Saint-Joseph, dans le sud de l'île, devant 2 000 personnes, Royal a repris à son compte une revendication du président de la région Paul Vergès, leader du Parti communiste réunionnais. Comme lui, elle est favorable « à ce qu'on favorise le recrutement local des enseignants », c'est-à-dire en dehors des concours nationaux qui régissent l'Éducation nationale. Une proposition qui devrait faire du bruit chez les défenseurs de l'unicité du service public sur tout le territoire national.