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Le respect. | Les Entreprises Humaines - 0 views

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    "Quel est donc le regard des femmes et des hommes oeuvrant à l'intérieur d'une entreprise qui se veut «  humaine «  ?  Regard attaché au statut, à la fonction occupée ? Regard descendant - pour ne pas dire condescendant - en fonction de la place dans une hiérarchie forcément nécessaire , regard accompagnant trop souvent un management « par pression » payé en retour d'un respect forcé ?  Regard soucieux de permettre à chacun de développer ses compétences, de prendre des initiatives, de participer au projet et à la vie de l'entreprise, regard facilitant le consentement à une autorité reconnue parce qu'exerçant son pouvoir de manière concertée selon des règles claires et acceptées pour une meilleure synergie d'ensemble ? Regard d'hommes responsables, hommes de décision et de dialogue, soucieux d'efficacité et d'équité, et qui ne sacrifiant pas pour autant leurs convictions et leur conscience, recherchent en situation le difficile compromis sans la compromission?"
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S'attaque-t-on aux bons silos dans l'entreprise ? | Bloc-Notes de Bertrand Duperrin - 0 views

  • “ces trois fonctions se mettent elles autours d’une table pour discuter de leurs participations respectives, complémentaires et coordonnées à un dispositif central dans la chaine de valeur de l’entreprise ? “.  La réponse est bien entendu non a tel point qu’on en arrive à la situation paradoxale où : - le salarié estime que les RH jouent pour l’entreprise et pas pour lui - le marketing pense que la RH est un frein - la RH considère que le marketing et elle n’ont rien à se dire - tout le monde évite copieusement l’IT et cette dernière est bien en peine, même lorsqu’elle le veut, de mettre de la cohérence et de l’alignement dans les dispositifs qu’elle offre à chacun.
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Le mythe de la mobilité sociale aux Etats-Unis - 0 views

  • Le mythe de la mobilité sociale aux Etats-Unis Si même l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) l’admet (1)… C’est donc certain, la mobilité sociale est encore moins grande aux Etats-Unis qu’en Europe. Quand un père se situe dans le groupe des 20% d’Américains les plus pauvres, il y a 40% de chances que son fils n’arrive pas à faire mieux. Au Danemark et au Royaume-Uni, les proportions respectives sont de 25% et de moins de 30% (2). D’un bout à l’autre de l’échelle des revenus, les parents transmettent à leurs enfants leur éducation, leurs réseaux d’influence, la qualité de leur accompagnement médical… mais aussi leur fortune. Et le recul de l’Etat social joint à la baisse continue de la fiscalité progressive (le « bouclier fiscal » tout juste voté par le Parlement français va dans ce sens) ont puissamment contribué à cette installation de classes héréditaires que certains désormais assimilent à un nouveau système de castes. Simultanément, les écarts de revenus ne cessent de se creuser presque partout dans le monde. En France, selon une étude de l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee), le salaire moyen net de l’ensemble des salariés à temps complet se situe aux alentours de 22 000 euros par an, contre 2,2 millions d’euros en moyenne pour chacun des patrons d’entreprises cotées au CAC 40, soit un écart de 1 à 100 (3). Les classes héréditaires ont donc de beaux jours devant elles. L’OCDE préfère parler d’un « accroissement de la dispersion salariale (4) ». Il y a moyen de s’en accommoder avec la conscience tranquille. En expliquant, par exemple, que les inégalités comportent aussi des avantages. James Sherk, chercheur à la Heritage Foundation (proche de la droite républicaine), vient d’expliquer que lorsque les fondateurs de Google se sont énormément enrichis grâce à leur succès, ils ont ipso facto accru les inégalités de revenus et de fortunes aux Etats-Unis, mais en améliorant la vie de chaque Américain (5). Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes. En réalité, l’OCDE est sur la même ligne. Au moment même où elle fait mine de s’inquiéter de la situation américaine, n’indique-t-elle pas aux trente Etats membres de l’organisation : « La pression fiscale ayant atteint le “seuil de la douleur” dans la plupart des pays, il n’y a guère d’autres solutions que d’engager de nouvelles réformes visant les systèmes de retraite ainsi que les dépenses de santé et de soins de longue durée. S’agissant des dépenses de retraite, deux orientations revêtent sans doute une importance particulière : retarder la cessation d’activité et accroître les revenus de retraite de source privée (6). » Comme ces orientations correspondent précisément au « modèle américain », on mesure à quel point l’organisation internationale prend au sérieux les données qu’elle rappelle sur le recul aux Etats-Unis de la mobilité sociale.
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