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polo lacoste noir pas cher Des centaines - 0 views

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started by wfserena on 12 Dec 14
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    Des salles de prière, une pour les bouddhistes et une pour catholiques, sont ouvertes aux condamnés, tous des droits communs. La prison comporte un centre médical payant en cas de traitement lourd.Un couloir de la mort existe dans ce centre maisla délégation n'a pas été autorisée à s'y rendre. Les cellules du couloir de la mort sont prévues pour deux condamnés. C'est là que M. Chiou est enfermé. La délégation n'a pas pu voir la chambre d'exécutionau prétexte d'une réfection des locaux. polo lacoste blanc pas cher
    Devant la porte de cette chambre de la mort, une statue d'un Bouddha a été placée pour «permettre aux gardiens qui participent aux exécutions de pouvoir prier face à la tension due à la charge» selon les propos du guide patenté qui accompagnait la visite.Le Directeur de la prison a indiqué que les familles des condamnés à mort ne sont prévenues que 30 minutes avant l'exécution.Il y a 60.000 détenus dans les prisons de Taiwan pour une population de 23 millions d'habitants, soit un taux proportionnellement triple de celui d'un pays comme la France.Lire aussiRecul de la peine de mort dans le mondeLes islamistes tunisiens veulent réhabiliter la potenceDe sa prison, Mumia écrit et se bat pour la liberté Patrick KamenkaLes manifestations se succèdent après l'effondrement d'un immeuble abritant plusieurs ateliers de textile qui a causé la mort de 381 personnes et en a blessé des milliers d'autres. Quelque 15 000 ouvriers défilaient hier à nouveau à Dacca. Des centaines de portraits de disparus étaient de nouveau brandis, hier, dans les rues de la périphérie de Dacca. polo lacoste noir pas cher Des centaines de portraits comme autant d'interpellations. Ce n'est pourtant pas faute de savoir qui porte une responsabilité dans le drame survenu mercredi dernier, avec l'effondrement de l'immeuble illégal Rana Plaza dans la capitale bangladaise qui aurait causé la mort d'au moins 381ouvriers (sur 3 000) et fait des milliers de blessés graves, des femmes dans leur immense majorité. Soit la pire catastrophe humaine et industrielle de la jeune histoire du Bangladesh.En quittant leurs chaînes de travail, hier, les 15 000ouvriers réclamaient la peine de mort pour les propriétaires de l'immeuble abritant les entreprises de confection sous-traitantes de grandes marques occidentales, à l'instar de l'espagnole Mango et de la britannique Primark, seules enseignes à avoir confirmé les commandes passées aux ateliers du Rana Plaza. « Ils ont bloqué des routes en chantant "Pendez Rana" », rapportait Badrul Alam, le chef de la police locale. Mohamed Sohel Rana, l'un des propriétaires de l'immeuble, a été appréhendé dimanche alors qu'il tentait de fuir vers l'Inde ; l'industriel espagnol David Mayor, qui possédait une partie des locaux, est toujours recherché par la police et trois propriétaires d'ateliers, arrêtés samedi, devront répondre d'homicides par négligence. Sur le parcours des manifestants, des véhicules auraient été incendiés et la police n'a pas hésité à faire usage de balles en caoutchouc et de gaz lacrymogènes. Polo Lacoste pas cher
    Des conditionsdéplorables de travailLa colère que les patrons locaux espéraient étouffer en décrétant le week-end dernier chômé retombera-t-elle d'ici quelques semaines, comme ce fut le cas en novembre dernier lorsqu'une autre usine de textile, sous-traitante du géant américain Wal-Mart, était réduite en cendres, emportant 112 de ses travailleurs ? Le drame lève une nouvelle fois le voile sur les conditions déplorables de travail dans ce secteur fer de lance de l'économie nationale, puisque le textile place le Bangladesh au rang de deuxième exportateur mondial après la Chine. En 2012, les exportations de prêt-à-porter ont ainsi atteint 14,5 milliards d'euros, soit 80 % du commerce extérieur et 45 % des emplois industriels du pays. Les ouvriers enclenchent régulièrement des luttes pour que le Parlement vote une loi sur la sécurité. En vain. Nombre de députés sont effectivement propriétaires d'usines et préfèrent sauvegarder un environnement favorable aux investissements étrangers plutôt que de consentir à des augmentations ou à des travaux qui ralentiraient la production sous pression constante des délais imposés par les marques occidentales. « Un député sur dix possède, lui ou sa famille, une usine de textile », juge ainsi Kalpona Akter, la directrice du (Bangladesh Center for Workers Solidarity, une ONG de défense des droits des travailleurs. Le propriétaire du Rana Plaza est par ailleurs dirigeant du mouvement de jeunesse laïque de la Ligue Awami, actuellement au pouvoir. Polo Lacoste Femme pas cher «La responsabilité de ce qui est arrivé incombe d'abord au gouvernement du Bangladesh, mais le vrai pouvoir est entre les mains des marques occidentales et de leurs distributeurs, à commencer par les plus grands d'entre eux : Wal-Mart, H M, Inditex, Gap et les autres. La pression que ces acheteurs mettent sur les usines est telle que les directeurs de ces unités de production n'entreprendront pas les travaux nécessaires à leur sécurité », souligne de son côté un responsable syndical. Après l'incendie de novembre, le gouvernement s'était engagé à fermer les usines au système de sécurité défaillant. Quatre étages supplémentaires ont été ajoutés à la va-vite au Rana Plaza, déjà construit sans autorisation sur un sol instable et, la veille de la catastrophe, des inspecteurs auraient fait état de graves fissures.Nombre de marques internationales sont censées avoir adopté un code de conduite les engageant, d'un bout à l'autre de la chaîne, à ne pas employer d'enfants de moins de quatorze ans, à ne pas faire travailler les ouvriers plus de soixante-douze heures par semaine et à favoriser un environnement de travail sain. Pourtant, au Bangladesh comme ailleurs, les audits conduits par les grands groupes auprès de leurs sous-traitants ne sont ni transparents, ni contraignants, ni indépendants. Autant dire une porte ouverte à l'impunité. Polo Lacoste Homme pas cher
    Depuis 2005, 1 000 ouvriers bangladais ont trouvé la mort sur leur lieu de travail.Les multinationales se défilentOutre Primark et Mango, d'autres marques occidentales sont soupçonnées d'avoir passé commande aux ateliers de textile abrités par le Rana Plaza. Les syndicats locaux citent pêle-mêle Benetton, C A, Carrefour et Wal-Mart. Des étiquettes auraient été retrouvées dans les décombres et permettront bientôt de confondre les responsables. « Les gens concernés dans l'effondrement de l'atelier au Bangladesh n'étaient pas des fournisseurs de Benetton », (se défend la marque italienne. Même discours du côté de Carrefour, qui communique (sur sa volonté de mener une « enquête approfondie » afin de déterminer le circuit (des bons de commande et de ses fournisseurs. Ce type d'investigation mènera-t-elle les grandes marques à se défausser sur des sous-traitants officieux dont ils diront ne pas soupçonner l'existence ? Les syndicats locaux et associations de défense des travailleurs appellent d'ores et déjà les multinationales à « prendre leurs responsabilités ».

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