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    Alger, envoyé spécial.À une année de l'élection présidentielle, le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, se serait bien passé de l'éclatement de cette deuxième affaire de la compagnie pétrolière Sonatrach, 12e entreprise pétrolière mondiale dont le chiffre d'affaires avoisinait les 80 milliards de dollars fin 2012. Affaire d'autant plus grave qu'elle intervient trois ans après la série de malversations liées à des marchés de plusieurs milliards de dollars qui ont vu son PDG, Mohamed Meziane, et dix cadres dirigeants, dont trois vice-présidents, et un ex-PDG du Crédit populaire algérien (CPA, banque publique) inculpés et mis sous mandat de dépôt en janvier 2010 par la justice algérienne (voir l'Humanité du 3 février 2010)… Et en pleine contestation sociale dans plusieurs régions du Sud algérien (dont la région pétrolière d'Ouargla), animée par la Coordination nationale de défense des droits des chômeurs (CNDDC, voir page suivante).Au centre de cette première affaire, Rédha Hemch, neveu de Chakib Khelil, alors ministre de l'Énergie et proche du chef de l'État, surtout connu pour être l'auteur de la loi libéralisant le secteur des hydrocarbures que Bouteflika a enterrée sur les conseils d'Hugo Chavez, lors de la visite de ce dernier à Alger, en 2006. Après avoir clamé qu'il ne démissionnerait pas, Chakib Khelil avait été contraint de quitter le gouvernement en mai de la même année.Cette fois, tout est parti d'Italie, quand le parquet de Milan a ouvert, le 7 février dernier, une enquête pour « corruption internationale » visant le directeur général du groupe pétrolier italien ENI, Paolo Scaroni « et plusieurs hauts dirigeants de l'entreprise italienne, dans le cadre d'une affaire de pots-de-vin qui auraient été versés en Algérie ». Selon l'Association algérienne de lutte contre la corruption (AACC), « pour s'adjuger huit contrats de travaux dans les projets algériens du gazoduc Medgaz (gazoduc reliant l'Algérie à l'Italie - NDLR) et du gisement Menzel Ledjmet Est, dans le Sud-Est algérien, évalués à 11 milliards de dollars (8,2 milliards d'euros), ENI et sa filiale d'ingénierie Saipem (détenue à hauteur de 42,93 %) auraient versé à une société de Hongkong, Pearl Partners Limited - appartenant elle-même à un intermédiaire franco-algérien - la somme de 197 millions d'euros », qui aurait ensuite été reversée à de hauts responsables algériens. T shirt lacoste pas cher
    Huit personnes font l'objet de l'enquête du tribunal milanais. Pietro Franco Tali, un des dirigeants de Saipem, et Alessandro Bernini, qui assumait la double fonction de directeur financier de l'ENI et de directeur financier à la Saipem, démissionnent de leurs postes.Autre société incriminée, la canadienne SLC Lavalin, groupe mondial de l'ingénierie pétrolière. Elle aurait eu recours à un « facilitateur », Farid Bejaoui, patron de Rayan Asset Management basé à Dubaï, neveu de l'ancien ministre des Affaires étrangères et ex-président de la Cour internationale de justice de La Haye, Mohamed Bejaoui, qui, selon le journal The Globe And Mail et le quotidien italien Il Sole 24, aurait perçu plus de 195 millions de dollars pour l'obtention de nombreux contrats d'une valeur de plusieurs milliards de dollars, avec Sonatrach et Sonelgaz (équivalent de GDF). Plus encore, selon le magazine Jeune Afrique, il aurait empoché entre 800 000 et un milliard de dollars de commissions entre 2003 et 2011. Tant et si bien que le nom de l'ex-PDG de SLC Lavalin, Pierre Duhaime, déjà poursuivi pour fraude et corruption en 2012 dans plusieurs affaires au Canada, est de nouveau cité dans l'affaire Sonatrach. Mis en examen en Suisse, son directeur pour l'Afrique du Nord, Riad Benaïssa, fait l'objet d'une demande d'extradition par le Canada !Cette gigantesque affaire de pots-de-vin, liés à des contrats juteux de plusieurs dizaines de milliards de dollars, ayant pris une dimension internationale impliquant au moins quatre pays - Algérie, Italie, Canada et Émirats arabes unis -, n'est pas sans rapport avec la décision du parquet d'Alger de s'en saisir, le 10 février, en raison, précise-t-il, de « l'implication de personnalités algériennes dans des faits à caractère pénal et plus précisément de corruption dans l'exercice de leurs fonctions au sein des institutions d'État ». Doudoune Lacoste pas cher En charge de cette affaire, et afin de lever les doutes pesant sur un appareil judiciaire jusque-là plus sévère avec les seconds couteaux qu'avec des personnalités liées directement aux cercles de décisions du pouvoir politique, le procureur général Belkacem Zermati a assuré que l'enquête connaîtra « une cadence accélérée dès réception des commissions rogatoires internationales par le juge d'instruction » en Italie, au Canada et aux Émirats arabes unis, où réside l'homme d'affaires et consultant international Farid Bejaoui.Les fonds de Saipem (79 millions d'euros) déposés dans une banque algérienne sont gelés par la justice algérienne, et son siège algérien a été perquisitionné. Mais aussi les deux domiciles, à Alger et à Oran, de l'ancien ministre de l'Énergie Chakib Khelil. Homme clé du système politique algérien et membre du clan présidentiel, l'ancien patron du pétrole algérien - c'est un secret de polichinelle - jouissait jusque-là d'une certaine immunité en raison des liens étroits le liant au président Bouteflika. La presse algérienne rapporte que, convoqué par la justice, il a pu, fin mars, quitter l'Algérie pour les États-Unis, pays dont il possède la nationalité et où réside sa famille. Des mauvaises langues avancent que l'ancien ministre aurait été « exfiltré » ! Ce qui n'est pas le cas de deux hauts dirigeants de l'entreprise, l'ex-responsable des activités commerciales de Sonatrach, Chawki Rahal, et la directrice du bureau d'étude, Nouria Miliani, mis sous mandat de dépôt le 10 avril. Quant au « facilitateur » Farid Bejaoui, cité dans l'affaire ENI-Saipem/SLC Lavalin, et dont la fortune personnelle s'élève à 2,5 milliards de dollars, il ne veut pas porter seul le chapeau : à partir de Dubaï, où il réside, il aurait menacé, selon le site TSA, d'impliquer des responsables hauts placés de l'État algérien. Veste lacoste pas cher
    Reste à savoir si la justice algérienne mènera jusqu'à leur terme ses investigations quand on sait par ailleurs qu'elle reste soumise au pouvoir politique.Observant le silence sur une affaire impliquant des hommes et des femmes dont la nomination lui est soumise avant d'être avalisée, Abdelaziz Bouteflika a réagi, par l'intermédiaire du président de la commission consultative des droits de l'homme, l'avocat Farouk Ksentini, lequel a déclaré, dans El Watan du 11 avril, que le chef de l'État n'avait aucun « intérêt à protéger des gens qui ont trahi sa confiance » !Quoi qu'il en soit, cette nouvelle affaire, dite « Sonatrach 2 », qui n'a pas encore révélé tous ses tenants et aboutissants, pourrait certainement compliquer la tâche du président algérien s'il se décidait à postuler pour un quatrième mandat, en 2014, comme l'y incitent publiquement certains membres du gouvernement. Hassane ZerroukyHenrique Capriles, candidat de la droite à la présidentielle vénézuélienne Henrique Capriles a dénié la victoire à la présidentielle vénézuélienne de son adversaire de gauche Nicolas Maduro et demandé le recompte de la totalité des bulletins de vote.Le résultat officiel proclamé par la commission électorale nationale ce lundi matin donne une courte victoire à Nicolas Maduro. Le chef de l'Etat par intérim Nicolas Maduro, dauphin d'Hugo Chavez, a recueilli 50,76% des suffrages, contre 49,07% à son rival de l'opposition, Henrique Capriles. "Nous n'avons pas les mêmes résultats", a affirmé Henrique Capriles en brandissant une liasse de feuilles répertoriant une liste de plus de 3.000 "incidents" survenus, selon lui, durant l'élection.

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