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  #1 subsequent1 subsequent1 on 13 Dec 14

   

  Le président américain a ainsi beaucoup insisté pour que les parlementaires élaborent un projet de loi pleinement compatible avec les exigences indiennes. Ce faisant, il n'a guère apaisé les craintes des opposants du texte. Une première version conditionnait la coopération avec l'Inde par le soutien de celle-ci aux efforts déployés par Washington pour contenir le programme nucléaire de l'Iran. Une optique difficilement acceptable pour l'Inde, qui compte Téhéran parmi ses alliés traditionnels.Sous la pression, le Congrès a finalement atténué la portée du texte : le président américain ne pourra pas exiger l'appui de l'Inde sur le dossier iranien, tout juste devra-t-il être informé. Un nouveau vote du Congrès puis un quitus des pays du NSG seront encore nécessaires. L'Inde s'est engagée à dissocier ses programmes civils et militaires et à placer 14 de ses 22 réacteurs sous contrôle international. trench coat burberry vintage
  Elle ne pourra acquérir de matériel lié à l'enrichissement. Mais au Capitole, certains invoquent les risques pour la non-prolifération. Ils expliquent que l'Inde, autorisée à acheter du combustible nucléaire, pourra réserver son stock d'uranium au développement de son programme militaire. Quand, en mars dernier, Thierry Breton, alors plus ministre de l'Économie que des Finances, nous a chargés de conduire la commission sur l'économie de l'immatériel, nous avons d'abord été quelque peu embarrassés. Le sujet n'était nulle part complètement défini, il était à vrai dire difficilement définissable, et nous ne savions par quel bout aborder ce nouveau continent.Le premier réflexe de la commission a été, en toute logique, de chercher si des études com­parables avaient été menées ailleurs. Mais il nous a fallu ­convenir qu'aucune mission similaire n'avait jamais été menée. trench coat burberry femme pas cher C'est un honneur bien redoutable que d'être les premiers à partir à l'assaut d'une nouvelle frontière de l'économie mondialisée. Nous avons rencontré les principaux acteurs de la vie économique, culturelle, et universitaire de France, mais aussi de l'Europe ou des États-Unis. De ces très nombreuses auditions, nous avons retenu une conviction : c'est que l'économie a changé.Pour comprendre ce mouvement, il faut revenir sur trois ruptures : la place croissante de l'innovation, le développement massif des technologies de l'information et de la communication, le développement d'une économie de services dans laquelle les idées, les marques jouent un rôle essentiel. Tous les secteurs industriels, des semi-conducteurs au textile, font désormais de l'immatériel la clé de leur avenir.Ainsi avons-nous pu définir l'é­conomie de l'immatériel : une économie qui n'a pas de fondement physique et qui place, au coeur de la création de valeur, ce qui, au sens propre, n'a jusqu'à présent pas vraiment eu de prix : l'imagination, le talent, l'inspiration, bref la capacité de chaque femme et de chaque homme d'inventer et d'innover. L'immatériel irrigue tous les aspects de notre société et il contribue à les unir. cheche burberry femme pas cher
  L'économie immatérielle est déjà bien réelle. En France, elle représente 20 % de la valeur ajoutée et 15 % de l'emploi. C'est une économie de réseaux, qui se joue du temps, qu'elle accélère, et de l'espace, qu'elle rétrécit. Elle rend possible ce qui ne l'était pas dans l'ère industrielle : elle se fonde sur les idées, et quoi de plus extensible, de plus volatile, de plus transposable et de plus exportable qu'une idée ? L'immatériel ne rend certes pas caduque l'économie industrielle, et nous insistons pour que celle-ci trouve une place encore plus grande dans l'économie française et que soient créées de nouvelles usines. Mais, puisqu'il impose partout sa présence et qu'il bouleverse les modes de pensée, l'immatériel multiplie les chances d'investir, d'entreprendre, et, donc, de créer des emplois. Libérer l'immatériel, c'est délivrer l'inspiration et la créativité des corporatismes et des réglementations héritées d'une économie traditionnelle. Donc il faut changer, et sur tous les plans.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Le président américain a ainsi beaucoup insisté pour que les parlementaires élaborent un projet de loi pleinement compatible avec les exigences indiennes. Ce faisant, il n'a guère apaisé les craintes des opposants du texte. Une première version conditionnait la coopération avec l'Inde par le soutien de celle-ci aux efforts déployés par Washington pour contenir le programme nucléaire de l'Iran. Une optique difficilement acceptable pour l'Inde, qui compte Téhéran parmi ses alliés traditionnels.Sous la pression, le Congrès a finalement atténué la portée du texte : le président américain ne pourra pas exiger l'appui de l'Inde sur le dossier iranien, tout juste devra-t-il être informé. Un nouveau vote du Congrès puis un quitus des pays du NSG seront encore nécessaires. L'Inde s'est engagée à dissocier ses programmes civils et militaires et à placer 14 de ses 22 réacteurs sous contrôle international. <a title="trench coat burberry vintage" href="http://www.intrasol.fr/cheche-burberry-pas-cher/" rel="nofollow">trench coat burberry vintage</a> <br /> Elle ne pourra acquérir de matériel lié à l'enrichissement. Mais au Capitole, certains invoquent les risques pour la non-prolifération. Ils expliquent que l'Inde, autorisée à acheter du combustible nucléaire, pourra réserver son stock d'uranium au développement de son programme militaire. Quand, en mars dernier, Thierry Breton, alors plus ministre de l'Économie que des Finances, nous a chargés de conduire la commission sur l'économie de l'immatériel, nous avons d'abord été quelque peu embarrassés. Le sujet n'était nulle part complètement défini, il était à vrai dire difficilement définissable, et nous ne savions par quel bout aborder ce nouveau continent.Le premier réflexe de la commission a été, en toute logique, de chercher si des études com­parables avaient été menées ailleurs. Mais il nous a fallu ­convenir qu'aucune mission similaire n'avait jamais été menée. <a title="trench coat burberry femme pas cher" href="http://www.intrasol.fr/cheche-burberry-pas-cher/" rel="nofollow">trench coat burberry femme pas cher</a> C'est un honneur bien redoutable que d'être les premiers à partir à l'assaut d'une nouvelle frontière de l'économie mondialisée. Nous avons rencontré les principaux acteurs de la vie économique, culturelle, et universitaire de France, mais aussi de l'Europe ou des États-Unis. De ces très nombreuses auditions, nous avons retenu une conviction : c'est que l'économie a changé.Pour comprendre ce mouvement, il faut revenir sur trois ruptures : la place croissante de l'innovation, le développement massif des technologies de l'information et de la communication, le développement d'une économie de services dans laquelle les idées, les marques jouent un rôle essentiel. Tous les secteurs industriels, des semi-conducteurs au textile, font désormais de l'immatériel la clé de leur avenir.Ainsi avons-nous pu définir l'é­conomie de l'immatériel : une économie qui n'a pas de fondement physique et qui place, au coeur de la création de valeur, ce qui, au sens propre, n'a jusqu'à présent pas vraiment eu de prix : l'imagination, le talent, l'inspiration, bref la capacité de chaque femme et de chaque homme d'inventer et d'innover. L'immatériel irrigue tous les aspects de notre société et il contribue à les unir. <a title="cheche burberry femme pas cher" href="http://www.intrasol.fr/cheche-burberry-pas-cher/" rel="nofollow">cheche burberry femme pas cher</a> <br /> L'économie immatérielle est déjà bien réelle. En France, elle représente 20 % de la valeur ajoutée et 15 % de l'emploi. C'est une économie de réseaux, qui se joue du temps, qu'elle accélère, et de l'espace, qu'elle rétrécit. Elle rend possible ce qui ne l'était pas dans l'ère industrielle : elle se fonde sur les idées, et quoi de plus extensible, de plus volatile, de plus transposable et de plus exportable qu'une idée ? L'immatériel ne rend certes pas caduque l'économie industrielle, et nous insistons pour que celle-ci trouve une place encore plus grande dans l'économie française et que soient créées de nouvelles usines. Mais, puisqu'il impose partout sa présence et qu'il bouleverse les modes de pensée, l'immatériel multiplie les chances d'investir, d'entreprendre, et, donc, de créer des emplois. Libérer l'immatériel, c'est délivrer l'inspiration et la créativité des corporatismes et des réglementations héritées d'une économie traditionnelle. Donc il faut changer, et sur tous les plans.</div>

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