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    al-Zawahiri a affirmé qu'« accepter la légitimité de Mahmoud Abbas (...), l'homme des Américains en Palestine, et mandater l'OLP, qui reconnaît Israël, pour négocier avec les Israéliens, est un abîme qui mènera au bout du compte à l'élimination du djihad et à la reconnaissance d'Israël ». Pour le numéro deux d'al-Qaida, qui est apparu sur la vidéo avec un fusil automatique à ses côtés, seule la guerre sainte « et non les élections », peut libérer la Palestine. La relation entre al-Qaida et le Hamas a toujours été des plus distantes. nike free noir pas cher
    À plusieurs reprises, l'organisation d'Oussama Ben Laden a tenté d'apporter un soutien au moins verbal au mouvement palestinien. Notamment en mars 2006, quand des sanctions ont été prises contre le Hamas, après son succès électoral de janvier. Le « rejet du Hamas (par les pays occidentaux) après sa victoire aux élections confirme que leur guerre est une guerre de croisés et de sionistes contre les musulmans », avait alors déclaré Oussama Ben Laden. Mais les islamistes palestiniens s'évertuent à tenir à distance al-Qaida. Parce que cet encombrant soutien pourrait saper ce qui leur reste de relations internationales. Et parce qu'ils n'ont aucune envie de voir les djihadistes profiter du chaos à Gaza pour se faire les champions du combat contre Israël.Dans son message diffusé hier, Ayman al-Zawahiri a aussi exploité les états d'âme occidentaux en Irak et en Afghanistan. polo lacoste rose Il a prédit que les États-Unis seraient, à terme, contraints de négocier sur ces deux théâtres avec les groupes extrémistes islamistes. « Il semble que vous allez vous engager dans une étape douloureuse de négociations vouées à l'échec pour en venir, contraints, à des négociations avec les vraies forces », en Irak et en Afghanistan, a-t-il déclaré, dans une allusion aux groupes radicaux qui combattent les troupes américaines dans ces deux pays. Il a enfin menacé les États-Unis de nouveaux attentats : « Si vous nous frappez dans nos pays, nous n'arrêterons pas de vous frapper dans votre pays. » ATTENDU de longue date, le plan pour la paix en Côte d'Ivoire du président Laurent Gbagbo est maintenant sur la table. Dans une longue allocution, mardi soir, à la télévision ivoirienne, le chef de l'État a présenté cinq propositions visant, a-t-il dit, « à la sortie de crise par les élections » : « Nous pouvons organiser l'élection présidentielle dès le mois de juillet 2007 », a-t-il affirmé.Depuis 2002, date de l'apparition d'une rébellion, le pays est coupé en deux par une « zone de confiance » placée sous le contrôle conjoint de l'ONU et de la force française « Licorne ». Aucun scrutin présidentiel n'a pu être organisé à ce jour, malgré l'expiration, voici un an du mandat de Laurent Gbagbo. polo lacoste rose pas cher
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