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    Dans les quartiers populaires de la ville, comme Abou Samra, Qobbé ou Tebbané, on croise fréquemment des militants islamistes aux barbes fournies et aux chemises traditionnelles. Des petits partis politico-religieux comme celui du cheikh Bilal ont pignon sur rue, avec leur drapeau accroché au balcon.Un vide sécuritaire inquiétantLongtemps sévèrement contrôlés par les services secrets syriens, les radicaux sunnites ont depuis un an pris de l'assurance. «Comme dans les pays voisins, il existe au Liban un environnement islamiste sunnite radical», explique Michel Aufal, rédacteur en chef du quotidien al-Mustaqbal, «mais à part des mobilisations ponctuelles, comme celle suscitée par les caricatures, ces milieux restaient dans la pénombre. Depuis quelques mois, la disparition de Rafic Hariri, qui exerçait une influence importante dans la communauté sunnite, et le départ des services secrets syriens, qui tenaient les groupes les plus radicaux sous leur tutelle, ont créé un vide sécuritaire inquiétant. Les islamistes radicaux libanais n'ont plus peur.»Les prémisses de cette radicalisation remontent à la fin des années 1990. Polo lacoste pas cher
    Plusieurs attentats avaient été alors perpétrés contre des églises chrétiennes dans la région de Tripoli par des groupuscules islamistes. En janvier 2000, de violents combats opposent pendant plusieurs jours l'armée libanaise à un maquis islamiste dans les montagnes de Dinniyé, au nord de Tripoli. En six jours, les combats font une trentaine de morts, dont le chef du maquis, Bassem al-Kanj, vétéran du djihad en Afghanistan et en Bosnie. Les islamistes capturés à Dinniyé ont passé plusieurs années en prison, mais beaucoup auraient été libérés il y a quelques mois, après le départ des Syriens du Liban.«Malgré tous ces événements, le phénomène salafiste continue à être occulté par la classe politique libanaise», explique un diplomate en poste à Beyrouth. «Pourtant, la manifestation d'Achrafiyeh illustre bien la manière dont les institutions officielles sunnites ont tendance à surestimer leur contrôle sur leurs coreligionnaires.» Organisée à l'appel du mufti et de Dar al-Fatwa, le conseil des oulémas sunnites libanais, la manifestation contre les caricatures avait vu affluer à Beyrouth des militants radicaux qui n'obéissaient à aucun des mots d'ordre des organisateurs. Survetement lacoste Pas plus qu'ils ne reconnaissent les autorités religieuses sunnites traditionnelles, les islamistes radicaux contestent aussi le système confessionnel libanais, qui pratique un équilibre politique délicat entre les différentes confessions. «Cette méthode pour diviser le peuple libanais a été introduite par les Français à l'époque du mandat. Elle n'a pas changé depuis et sert à tous ceux qui essayent de détacher le Liban du reste du monde arabe», dit le cheikh Bilal. Un certain nombre de fondamentalistes se sont éloignés de la Jemaah Islamiyah, branche libanaise des Frères musulmans, elle aussi ralliée au système politique libanais.La poudrière des camps de réfugiés palestiniens«L'autre vivier de recrutement des islamistes radicaux se trouve dans les camps palestiniens», ajoute Kassem Qassir, journaliste à el-Mustaqbal. Ces enclaves où l'armée libanaise ne pénètre pas et où s'entassent plus de 300 000 réfugiés palestiniens abritent depuis longtemps des mouvements radicaux islamistes. «La victoire du Hamas, qui vient d'interrompre les discussions entre les autorités libanaises et les Palestiniens pour obtenir le désarmement des camps, risque de leur faire encore gagner du terrain», dit-il. survetement Lacoste Homme
    Le retour d'un certain nombre de volontaires libanais partis se battre en Irak aux côtés de l'insurrection sunnite constitue un sujet de préoccupation supplémentaire pour le Liban. «Sans que ces groupes de djihadistes lui soient directement inféodés, la Syrie porte une bonne part de responsabilité, en laissant retourner vers le Liban des facteurs de nuisance potentiels», ajoute un diplomate. «Depuis le départ des Syriens, le Liban est redevenu une plaque tournante dans la région et les islamistes ne manquent pas de l'utiliser.»Adrien JaulmesL'alternance n'aura pas lieu en Ouganda PLUS qu'une véritable élection présidentielle, c'est un référendum qui ne dit pas son nom qui se tiendra demain en Ouganda. Malgré ses promesses, Yoweri Museveni, au pouvoir depuis vingt ans, a choisi de briguer un nouveau mandat. La tâche n'a pas été simple. Pour se succéder à lui-même, le président a dû mettre fin au règne sans partage de son parti, le National Resistance Movement (NRM), offrant ainsi à l'Ouganda son premier scrutin multipartite depuis vingt-six ans.

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