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    «Dans un pays traumatisé par neuf années de loi martiale sous Marcos, l'état d'urgence qui permet des arrestations sans mandat et une prolongation de la garde à vue sans inculpation fait grincer beaucoup de dents.»Comme les soldats rebelles qui avaient occupé le centre financier de Manille pendant une vingtaine d'heures en juillet 2003 et accusaient la présidente d'être corrompue et de soutenir les actions terroristes dans le sud de l'archipel pour s'attirer l'aide militaire des Etats-Unis, les mutins arrêtés hier sont des officiers bardés de décorations. Le général Danilo Lim, commandant une unité d'élite, et le colonel Arie Quevedo, du prestigieux corps des marines philippins, ont été relevés de leurs fonctions et placés en détention. Le commandant des forces d'actions spéciales de la police nationale Narzalino Franco a également été interpellé. «Nous n'allons pas oublier ceux qui ont fourni soutien et financement à cette entreprise», a mis en garde la présidente, qui dénonce une «alliance tactique entre les communistes et des membres de l'armée fourvoyés en vue d'une action armée contre le gouvernement élu en mai 2004».Les soldats dissidents prévoyaient, selon l'armée, d'annoncer à la foule de manifestants qui devaient commémorer le vingtième anniversaire de la «révolution du peuple» qu'ils retiraient leur soutien à la présidente dans l'espoir de déclencher une lame de fond d'opposition contre Arroyo. Du coup, les rassemblements ont été interdits. Survetement Gucci Homme
    Mais cela n'a pas empêché 5 000 personnes de se réunir autour de l'ancienne présidente et figure de la démocratie Corazon Aquino qui a scandé : «Ne laissons personne nous voler notre démocratie.» La présidente philippine, 58 ans, parvenue au pouvoir en 2001 à la faveur d'une révolte populaire contre le président Joseph Estrada, est aujourd'hui rattrapée par les scandales de corruption et de fraude électorale. En écartant les menaces de destitution qui pesaient sur elle, Gloria Arroyo a remporté une manche en septembre dernier. Mais elle a du mal à remettre de l'ordre dans le capharnaüm que sont devenues les Philippines. «Elle est tellement focalisée sur sa survie politique», explique l'éditorialiste Segundo Romero, «qu'elle est contrainte à l'immobilisme».Des records d'impopularitéPlus de la moitié des 84 millions d'habitants vivent avec moins de deux dollars par jour. 67% d'entre eux estiment que leur niveau de vie s'est dégradé depuis un an. Survetement Gucci Homme Pas Cher Et tous sont persuadés qu'elle a truqué les dernières élections de mai 2004. Après quatre ans au pouvoir, celle qui n'a jamais réussi à se départir de son image de présidente des élites atteint des records d'impopularité.Certaine de détenir un mandat divin, la fille de Diosdaldo Macapagal qui fut président de 1961 à 1965 n'est pas prête de renoncer au pouvoir. N'est-elle pas, comme elle l'a encore estimé mardi dernier, «la seule personne à même de diriger le pays» ? Certains analystes pensent que toute cette histoire est un leurre savamment orchestré : «Le gouvernement Arroyo réagit avec excès, estime Earl Parreno, de l'Institut pour la réforme politique et électorale. Il est possible qu'il y ait une menace d'une petite faction de l'armée, mais elle n'est pas suffisamment sérieuse pour renverser son gouvernement». «Elle exagère les menaces relatives à la sécurité pour dissuader d'éventuels conspirateurs et s'attirer la sympathie du public», soupçonne Nelson Navarro.Les ultranationalistes serbes renforcés NÉ DE rumeurs, l'emballement médiatique sur une éventuelle arrestation par la police serbe du général Ratko Mladic, inculpé de génocide, de crimes contre l'humanité et de crimes de guerre par le Tribunal pénal international de La Haye (TPI), n'aura pas été perdu pour tout le monde. Survetement Hugo Boss Homme
    Le Parti radical (opposition nationaliste, près d'un tiers des sièges au Parlement de Serbie) avait prévu depuis longtemps de manifester hier au centre de Belgrade pour marquer le troisième anniversaire du transfert à La Haye de son fondateur historique, Vojislav Seselj, inculpé pour son rôle politique durant la guerre de Croatie (juillet-décembre 1991). L'affaire Mladic a permis au Parti radical de mobiliser la foule sur un thème plus vaste encore que le seul sort de son chef : «L'insupportable tyrannie de La Haye.»Ils étaient plus de 50 000 à manifester hier après-midi sur la place de la République, chantant en choeur, sur des airs populaires, le nom de Seselj, et brandissant des centaines de drapeaux bleu roi, la couleur du Parti radical. Dans la foule, où l'on comptait beaucoup plus d'hommes que de femmes, nombre de manifestants portaient la sajkaca, le béret traditionnel du paysan serbe, qui était aussi celui des soldats de l'armée du roi Pierre Ier de Serbie pendant la Première Guerre mondiale.«Nous sommes venus réclamer la libération de notre président Vojislav Seselj, toujours injustement retenu à La Haye», a expliqué au Figaro Nebojsa Stefanovic, économiste de 29 ans, secrétaire général adjoint du Parti radical. «Il est scandaleux que, trois ans après son départ volontaire pour La Haye, le TPI n'ait pas encore commencé le procès de Seselj !»Le nationaliste Seselj s'était illustré en 1991 par ses discours incendiaires contre le sécessionnisme de la République de Croatie, qui combattait alors pour quitter la Yougoslavie de Tito et devenir indépendante. Grâce à une éloquence comparable à celle de son ami Jean-Marie Le Pen, Seselj persuada de nombreux citoyens de Serbie de s'enrôler dans des formations paramilitaires pour aller combattre à Vukovar (Slavonie, est de la Croatie) aux côtés des unités de défense territoriale des Serbes de Croatie et de l'armée fédérale yougoslave (JNA).

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