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sac weekend longchamps pas cher tour eiffel vendre

started by longchamppas on 25 Aug 14
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    Il s'agit d'aller implanter, dans un noyau du cerveau, des électrodes alimentées par un courant électrique. Une intervention qui demande la plus grande précision, réalisée avec l'aide d'un robot qui va indiquer au chirurgien, avec une précision inférieure au millimètre, la zone d'implan- tation. Le patient, sous simple anesthésie locale, participe lui aussi : par sa collaboration, il permet au chirurgien d'affiner le positionnement de l'électrode. On lui demande de faire un geste simple, jusqu'à la disparition complète du tremblement. Enfin, une dernière piste, des plus prometteuses : la greffe de cellules souches ou de cellules embryonnaires, capables de produire de la dopamine. L'autoréparation ? «Dans dix ou quinze ans peut-être.. sac weekend longchamps pas cher
    .», conclut Pierre Cesaro. C'est un médecin britannique, James Parkinson, qui découvrit la maladie en 1817. Près de deux siècles plus tard, les médecins, les chercheurs tentent encore d'en percer tous les secrets. «On sait qu'il s'agit d'une maladie neurodégénérative, explique le Pr Pierre Cesaro, chef du service de neurologie à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil. C'est-à-dire qu'une partie du cerveau va mourir un peu plus vite que le corps : c'est un circuit moteur, qui contrôle le mouvement, qui est frappé. Les neurones communiquent entre eux grâce à la dopamine, une substance chimique qui vient à manquer dans la maladie de Parkinson. sac longchamps tour eiffel » Le circuit moteur n'étant plus alimenté, le moteur ne tourne plus : raideurs articulaires, difficultés pour marcher sont des révélateurs, bien souvent découverts par les rhumatologues. Sans oublier les fameux tremblements : on pense au pape Jean-Paul II, à Muhammad Ali ou encore à Yasser Arafat...«Jusqu'aux années 70, ajoute le Pr Cesaro, époque à laquelle on a identifié un traitement, la maladie s'aggravait de façon inéluctable, avec une amplification des symptômes précédents. Et l'espérance de vie d'un malade était diminuée de dix ans environ. Aujourd'hui, grâce au traitement, son espérance de vie est tout à fait normale. sac longchamps vendre
    »Car heureusement il existe des traitements. Les médicaments, d'abord : puisque la maladie résulte d'un déficit en dopamine, il suffit d'en fournir au malade. Pas si simple : la dopamine ingérée ne passe pas dans le cerveau. On donne donc ce qu'on appelle un précurseur qui sera, lui, acheminé jusqu'aux cellules nerveuses du cerveau, qui vont le transformer en dopamine et rétablir la liaison entre elles. Plus impressionnant : une méthode chirurgicale, mise au point par le Pr Alim-Louis Benabid, du CHU de Grenoble. On l'appelle stimulation intra-cérébrale profonde. Il s'agit d'aller implanter, dans un noyau du cerveau, des électrodes alimentées par un courant électrique.

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