Skip to main content

Home/ Coders/ sac longchamp pliage pas cher Lorsqu
longchamppas

sac longchamp pliage pas cher Lorsqu - 0 views

sac longchamp pas cher pliage

started by longchamppas on 10 Dec 14
  • longchamppas
     
    Dans les rizières en terrasses, dans les cascades qui jaillissent des montagnes et rejoignent les rivières encaissées dans des gorges de pyrite. Dans la rue de Yuksom avec ses minuscules échoppes, où le tailleur côtoie le barbier. Et dans la lumière du soir, quand, à travers tout le Sikkim, les lungpas (drapeaux de prières du bouddhisme) flottent sous le vent. Mais c'est encore au coeur des monastères qu'elles vibrent le mieux. Il faut aller de Pemayangste à Sangacholing, à l'ouest, passer à l'est par Rumtek et Phodang, où Alexandra David-Néel fit étape, sans oublier le sublime site de Tashiding et les petits monastères, presque anonymes, essaimés au bord des routes escarpées. Les monastères perpétuent autant des croyances qu'un art de vivre, c'est-à-dire une façon de respecter la vie. Le monastère de Yung Drung Bon Kundrak Lingbon, sur le chemin de Ravongla, est de ceux-là. sac longchamp pas cher
    Vingt-quatre jeunes moines y vivent et suivent les enseignements du lama Yungdrung Tsultrim. Nyma Dukta a 18 ans et le crâne nu. Il vit au monastère depuis dix ans. «Je suis venu pour dédier ma vie à la prière et à la méditation. C'est ma vocation depuis l'enfance. Je voudrais devenir lama.. sac longchamp pliage pas cher .» Lorsqu'on lui demande combien d'années cela peut prendre, il vous regarde d'un air surpris : «Cela n'a aucune importance, il n'y a pas de limites.» Oui, la notion du temps est différente... Ainsi, Pema Tshoden est-elle venue mourir à Tashiding. La légende veut que la colline où le monastère a été bâti possède la même «énergie» que le mont Kailash, au Tibet. longchamp pas cher
    Les Rinpoché viennent s'éteindre ici. Pema Tshoden était une nonne, une sainte, la réincarnation d'un grand lama. Elle avait 86 ans. Peu après son arrivée de Gantok, elle entre en méditation. Et meurt très lentement, laissant la vie l'abandonner peu à peu, en une douce agonie de vingt-six jours. Aujourd'hui, elle est assise dans la même posture, soustraite aux regards mais bien présente, la tête couverte d'un turban noir, un mala (sorte de chapelet) d'ivoire entrelacé contre le velours sombre. Sur les parois chaulées du bûcher, des anges peints dansent autour d'elle.

To Top

Start a New Topic » « Back to the Coders group