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sac longchamp couleur camel pas cher soldes

started by escaping1 escaping1 on 22 May 14
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    #1 escaping1 escaping1 on 22 May 14
     
    Entre 3.000 et 4.000 manifestants ont commémoré mercredi les 20 ans de la chute de l'ex-dictateur Ferdinand Marcos et ont demandé l'éviction de l'actuelle présidente. « Renversez Gloria » criaient les contestataires issus de l'opposition de gauche. Une bousculade s'est produite lorsque les manifestants ont tenté de renverser des barrières mises place par la police anti-émeute. Les rumeurs de coup d'Etat sont récurrentes aux Philippines particulièrement depuis que la présidente Arroyo a fait l'objet l'an dernier d'accusations de fraude électorale. La chef d'Etat, qui a échappé en septembre 2005 à une menace de destitution, a récemment coupé court aux nombreux appels lui demandant de démissionner avant le terme de son mandat en 2010. sac longchamp couleur camel
    Le séjour à New Delhi assombri par l'«affaire» Mittal LES HASARDS du calendrier jouent parfois de drôles de tours. Y compris aux chefs d'Etat et de gouvernement. Le Clemenceau a failli arriver en Inde, pour y être désamianté, en même temps que Jacques Chirac. Le président français a lui-même désamorcé cette bombe à retardement qui n'aurait pas manqué d'assombrir sa visite. Il a pris la décision de rapatrier l'ancien fleuron de la marine française. Mais Jacques Chirac pouvait-il changer la date du mariage, en Inde, de l'un des meilleurs amis de Lakshmi Mittal ? Beaucoup plus délicat. Le patron de Mittal Steel, le géant mondial de l'acier, se trouvait donc à New Delhi au même moment que le chef de l'Etat français. sac longchamp couleur camel pas cher «Ils ne se sont pas rencontrés, telle n'était pas l'intention non plus, confie au Figaro N. Srinavasan, le directeur général de la Confédération indienne de l'Industrie (CII), l'équivalent du Medef en France. Mittal était à Delhi pour des raisons privées, familiales ou amicales.» En clair, pas pour tenter de convaincre le président français et son aréopage de patrons du bien-fondé de son OPA hostile sur Arcelor. De là à dire que Lakshmi Mittal n'a pas profité de son petit tour au pays pour faire part de ses rancoeurs au gouvernement indien, il y a loin.Peu avant la visite officielle, le milliardaire avait fait part au quotidien Economic Times de son intention de rencontrer Manmohan Singh, le premier ministre de Delhi, pour lui parler de cette affaire qui, jusqu'à ces derniers jours, n'avait guère ému les foules ici. Pour qu'il en parle à son tour à Chirac. sac longchamp couleur camel soldes
    «La France campe sur ses positions«Oui, cette question a été abordée, a indiqué hier Manmohan Singh lors d'un point de presse conjoint avec Jacques Chirac. Le président a expliqué en détail la position (de la France) et j'espère qu'une décision juste, prenant en compte les intérêts des parties prenantes, sera prise dans ce dossier.»Paris campe sur ses positions. «Nous n'avons rien contre une opération menée par un groupe étranger à l'égard d'un groupe européen, mais, simplement, nous voudrions savoir quel est le projet», a déclaré le président français, affirmant qu'il «avait du mal à comprendre toute cette polémique» autour de l'opération engagée par Mittal. Reprenant, enfin, une antienne familière, Chirac a ajouté : «C'est son droit mais c'est le droit, aussi, des Européens d'être soucieux des problèmes d'emploi, des problèmes de technologie dont ils sont comptables. Qu'il soit clair que (cette opération) met en cause deux parties : un citoyen britannique d'origine indienne qui a engagé une action entre une société néerlandaise et une société luxembourgeoise.»Mittal a un passeport indien, même si sa société est, il est vrai, enregistrée aux Pays-Bas.

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