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  #1 subsequent1 subsequent1 on 01 Mar 15

   

  Nicolas Sarkozy, qui avait laissé entendre qu'il y était favorable, aura attendu un peu plus longtemps que les autres avant de signer cette « charte verte ». « La question n'est pas de savoir si Arlette Laguiller l'a signée avant moi. La question est de savoir ce à quoi je m'engage si je me retrouve en situation de l'appliquer », a confié hier Nicolas Sarkozy au Figaro. « Je lui ai envoyé une lettre de quatre pages qui explique pourquoi je suis d'accord avec lui, ainsi que mes points de désaccord. Cela prend du temps », a-t-il commenté.Quarante mesures précises« Nous nous entendons bien avec Nicolas Hulot, mais nous n'avons pas besoin de le crier sur les toits », a ajouté l'entourage du président de l'UMP. Une allusion à Ségolène Royal, qui a convoqué les journalistes, en début de semaine, pour qu'ils assistent à la sortie de Nicolas Hulot à l'issue de leur rendez-vous. sac besace longchamp pas cher
  Sur les cinq propositions du défenseur de l'environnement, le patron de l'UMP accepte celles qui visent à opérer une mutation rapide de l'agriculture intensive vers l'agriculture biologique, ou qui proposent une formation, dès l'école, à l'écologie. Mais il est beaucoup plus circonspect sur l'idée phare du livre de Nicolas Hulot : tailler sur mesure un poste de vice-premier ministre chargé du développement durable. Ce n'est pas la bonne manière de vaincre l'inertie administrative sur ces questions, estime le patron de l'UMP. Il parie au contraire sur la création d'un grand ministère, réunissant les services de l'Équipement et des Transports. Et sur la création d'un corps d'État chargé du développement durable, peut-être en le « fusionnant avec le Corps des mines », suggère l'un de ses conseillers. La deuxième grande idée de la Fondation Hulot est d'imposer une augmentation rapide des taxes sur les hydrocarbures. « Nous sommes d'accord si par ailleurs les prélèvements obligatoires restent à périmètre constant », corrige-t-on rue La Boétie. sac a main longchamp pas cher Nicolas Sarkzoy a déjà fait adopter un projet législatif qui contient « quarante mesures précises dont l'objectif est d'aider chacun à vivre de manière écologique », explique-t-on au siège de l'UMP. Il propose notamment de doubler en cinq ans le poids de la fiscalité écologique, et d'instaurer un crédit d'impôt environnement, permettant de favoriser l'utilisation d'énergies renouvelables. «OUI, PLUS». Comme en son temps Valéry Giscard d'Estaing avec le fameux « oui, mais », Jean-Pierre Raffarin résume d'une formule son plus que probable ­sou­tien à Nicolas Sarkozy pour la ­présidentielle. L'ancien premier ministre se ralliera prochainement au président de l'UMP, mais non sans condition. Comme il l'avait indiqué en octobre devant ses clubs Dialogue et Initiative, il veut peser sur les orientations du candidat et infléchir un projet présidentiel qu'il juge, à ce jour, pas assez rassembleur. « Nicolas Sarkozy, il faut nous écouter ! », lançait d'ailleurs Dominique Bussereau, le premier des raffariniens, en réclamant, dans nos colonnes, une meilleure prise en compte des convictions «libérales, sociales et républicaines» (nos éditions du 16 novembre 2006). sac de voyage longchamp pas cher
  Chargé par Nicolas Sarkozy de la lourde tâche d'organiser les forums UMP, en prenant en compte les exigences de Michèle Alliot-Marie, l'ex-premier ministre met en avant l'exigence d'union. « Nos électeurs craignent un retour au vent mauvais de 2001. J'ai fait partie de ceux qui ont voulu l'UMP pour bâtir l'union, je ne laisserai pas se développer les manœuvres de contournement», prévient-il sur son blog. « Alors maîtrisons les ego et serrons les coudes.» Se rallier, mais comment? Le calendrier de ce ralliement programmé est serré. Jusqu'au 21 décembre, date du dernier des trois débats, à Bordeaux, Raffarin se sent tenu par « un contrat de neutra­lité ». « Après, je suis libre », dit-il.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Nicolas Sarkozy, qui avait laissé entendre qu'il y était favorable, aura attendu un peu plus longtemps que les autres avant de signer cette « charte verte ». « La question n'est pas de savoir si Arlette Laguiller l'a signée avant moi. La question est de savoir ce à quoi je m'engage si je me retrouve en situation de l'appliquer », a confié hier Nicolas Sarkozy au Figaro. « Je lui ai envoyé une lettre de quatre pages qui explique pourquoi je suis d'accord avec lui, ainsi que mes points de désaccord. Cela prend du temps », a-t-il commenté.Quarante mesures précises« Nous nous entendons bien avec Nicolas Hulot, mais nous n'avons pas besoin de le crier sur les toits », a ajouté l'entourage du président de l'UMP. Une allusion à Ségolène Royal, qui a convoqué les journalistes, en début de semaine, pour qu'ils assistent à la sortie de Nicolas Hulot à l'issue de leur rendez-vous. <a rel="nofollow" title="sac besace longchamp pas cher" href="http://www.plumeenherbe.fr/">sac besace longchamp pas cher</a> <br /> Sur les cinq propositions du défenseur de l'environnement, le patron de l'UMP accepte celles qui visent à opérer une mutation rapide de l'agriculture intensive vers l'agriculture biologique, ou qui proposent une formation, dès l'école, à l'écologie. Mais il est beaucoup plus circonspect sur l'idée phare du livre de Nicolas Hulot : tailler sur mesure un poste de vice-premier ministre chargé du développement durable. Ce n'est pas la bonne manière de vaincre l'inertie administrative sur ces questions, estime le patron de l'UMP. Il parie au contraire sur la création d'un grand ministère, réunissant les services de l'Équipement et des Transports. Et sur la création d'un corps d'État chargé du développement durable, peut-être en le « fusionnant avec le Corps des mines », suggère l'un de ses conseillers. La deuxième grande idée de la Fondation Hulot est d'imposer une augmentation rapide des taxes sur les hydrocarbures. « Nous sommes d'accord si par ailleurs les prélèvements obligatoires restent à périmètre constant », corrige-t-on rue La Boétie. <a rel="nofollow" title="sac a main longchamp pas cher" href="http://www.plumeenherbe.fr/">sac a main longchamp pas cher</a> Nicolas Sarkzoy a déjà fait adopter un projet législatif qui contient « quarante mesures précises dont l'objectif est d'aider chacun à vivre de manière écologique », explique-t-on au siège de l'UMP. Il propose notamment de doubler en cinq ans le poids de la fiscalité écologique, et d'instaurer un crédit d'impôt environnement, permettant de favoriser l'utilisation d'énergies renouvelables. «OUI, PLUS». Comme en son temps Valéry Giscard d'Estaing avec le fameux « oui, mais », Jean-Pierre Raffarin résume d'une formule son plus que probable ­sou­tien à Nicolas Sarkozy pour la ­présidentielle. L'ancien premier ministre se ralliera prochainement au président de l'UMP, mais non sans condition. Comme il l'avait indiqué en octobre devant ses clubs Dialogue et Initiative, il veut peser sur les orientations du candidat et infléchir un projet présidentiel qu'il juge, à ce jour, pas assez rassembleur. « Nicolas Sarkozy, il faut nous écouter ! », lançait d'ailleurs Dominique Bussereau, le premier des raffariniens, en réclamant, dans nos colonnes, une meilleure prise en compte des convictions «libérales, sociales et républicaines» (nos éditions du 16 novembre 2006). <a rel="nofollow" title="sac de voyage longchamp pas cher" href="http://www.plumeenherbe.fr/">sac de voyage longchamp pas cher</a> <br /> Chargé par Nicolas Sarkozy de la lourde tâche d'organiser les forums UMP, en prenant en compte les exigences de Michèle Alliot-Marie, l'ex-premier ministre met en avant l'exigence d'union. « Nos électeurs craignent un retour au vent mauvais de 2001. J'ai fait partie de ceux qui ont voulu l'UMP pour bâtir l'union, je ne laisserai pas se développer les manœuvres de contournement», prévient-il sur son blog. « Alors maîtrisons les ego et serrons les coudes.» Se rallier, mais comment? Le calendrier de ce ralliement programmé est serré. Jusqu'au 21 décembre, date du dernier des trois débats, à Bordeaux, Raffarin se sent tenu par « un contrat de neutra­lité ». « Après, je suis libre », dit-il.</div>

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