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started by longchamppas on 11 Sep 14
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    #1 longchamppas on 11 Sep 14
     
    La télévision d'Etat a diffusé un long message de la même veine signé Abdoul Aziz al-Hakim, leader du parti pro-iranien Sciri, qui dirige aussi la milice chiite Badr.Dans les régions chiites, les religieux ont dédouané dans leurs prêches la communauté sunnite dans son ensemble de toute responsabilité dans le dynamitage du lieu saint. Ils ont rejeté la faute sur les «terroristes partisans de Saddam et takfiristes», autrement dit les extrémistes sunnites. Les imams ont concentré leurs attaques contre l'ambassadeur américain à Bagdad Zalmay Khalilzad, un sunnite d'origine afghane, qui demande aux chiites d'accepter le principe d'un gouvernement d'unité nationale.Une intransigeance renforcéeLes autorités américaines craignent, non sans raison, que l'onde de choc de l'attentat réduise les scénarios de sortie de crise. Les plans prévoyant l'ouverture d'un dialogue politique entre communautés et de pourparlers avec les insurgés se heurtent désormais dans chaque camp à une intransigeance renforcée. Si les dirigeants irakiens mettent en garde contre la zizanie religieuse, ils ne vont pas jusqu'à prôner la réconciliation nationale. sac a main longchamp en cuir pas cher
    Et la principale organisation politique sunnite, le Front de la concorde, a suspendu sa participation aux négociations sur la formation d'un gouvernement. La secrétaire d'Etat américaine Condoleezza Rice a reconnu hier que les violences confessionnelles représentaient un «coup» porté à la formation d'un gouvernement irakien. «C'est un moment extrêmement difficile, extrêmement délicat pour les Irakiens», a commenté le chef de la diplomatie américaine. George W. Bush se veut malgré tout «optimiste» pour l'avenir du pays. La situation actuelle représente «l'heure du choix pour les Irakiens», a déclaré le président américain, qui s'attend «à ce que les prochains jours soient tendus».APRÈS une visite éclair en Macédoine puis au Kosovo hier, José Manuel Barroso est attendu aujourd'hui en Albanie et en Bosnie. sac a main longchamp kate moss pas cher Le président de la Commission européenne et son collègue en charge de l'Elargissement, Oli Rehn, effectuent depuis quatre jours une tournée express des Balkans. Leur visite a débuté mercredi par la Croatie et la Serbie. Elle s'achève ce soir à Sarajevo. A chaque étape de son voyage officiel, le président de la Commission a conforté les pays des Balkans dans leurs aspirations à rejoindre, un jour, l'Union européenne, citant en exemple la Slovénie, déjà membre à part entière, la Croatie futur membre, et la Macédoine, candidate bien notée.Livrer Radko MladicPlacée sous le signe du réconfort, cette tournée intervient à un moment critique pour les Balkans, alors que débutent, lundi à Vienne, les discussions sur le statut futur du Kosovo, province serbe à majorité albanaise, en quête d'indépendance. Le premier rendez-vous officiel entre Serbes et Albanais sur l'avenir du Kosovo a été différé en raison de la mort soudaine du président Ibrahim Rugova. Les discussions démarreront lundi dans un climat plus difficile. sac a main longchamp noir pas cher
    Décidé à arracher un statut dans l'année pour le Kosovo, l'envoyé spécial de l'ONU pour la région, le Finlandais Martti Ahtisaari, a encouragé José Manuel Barroso à se rendre sur place avec Oli Rehn pour rassurer les dirigeants serbes et albanais.A Belgrade et à Pristina, José Manuel Barroso n'a pas ménagé sa peine. Malgré le problème du Kosovo, et le manque de coopération avec le TPI en Bosnie, les négociations techniques entre Bruxelles et les pays de l'ex-Yougoslavie en vue de leur intégration avancent au pas cadencé, ce qui fait râler certaines capitales. Pays le plus pauvre du continent, très fragilisé par le crime organisé, l'Albanie est ainsi sur le point de conclure un accord de stabilisation et d'association avec l'Union européenne, premier stade vers la candidature officielle. Plus avancées, la Serbie-Monténégro et la Bosnie ont déjà entamé à l'automne dernier des négociations avec Bruxelles en vue de conclure leur accord d'association. A Belgrade, José Manuel Barroso a même promis la conclusion de cet accord à l'automne prochain, à la condition, bien sûr, que la Serbie coopère sincèrement avec le TPI, en livrant notamment le criminel de guerre en cavale, Radko Mladic. «Pour nous, cet accord d'association avec l'UE est très important», répète le président serbo-monténégrin, Svetozar Marovic.

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