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started by longchamppas on 25 Jul 14
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#1 longchamppas on 25 Jul 14L'argument d'un adversaire commun pourrait contribuer à rapprocher ces pays d'Israël. Mais encore faudrait-il un engagement stratégique des États-Unis pour faire accoucher d'une paix juste entre Israéliens et Palestiniens. Le mois dernier, devant l'assemblée générale des Nations unies, George W. Bush a assuré que c'était l'une de ses «principales priorités» pour le reste de son mandat. Mandat volontairement vague Au même moment, Bill Clinton jugeait «les conditions réunies» pour une initiative américaine «dans les deux mois». Et Philip Zelikow, un proche conseiller de Condi Rice, a expliqué récemment que des progrès vers une résolution du conflit israélo-palestinien constituaient «une condition sine qua non» pour amener les Européens et les Arabes modérés à coopérer sur le dossier iranien. En 2002, George Bush avait exprimé sa «vision» de deux États pacifiques vivant côte à côte. robe ralph laure noirDepuis, il n'a pratiquement rien fait pour lui donner corps, s'alignant systématiquement sur les décisions politiques ou militaires d'Israël. Aujourd'hui, il serait encore trop tôt pour forcer la main d'un premier ministre israélien affaibli par sa campagne au Liban et d'un président palestinien pris en tenailles par les affrontements de factions rivales. Le mandat donné par Bush à Rice devant l'ONU reste délibérément vague, et les ambassadeurs arabes dans la capitale américaine ne s'attendent à aucune prise de risque avant les élections de mi-mandat, le 7 novembre prochain. Mais après, ils comptent fermement que les États-Unis jouent enfin le rôle de «faiseurs de paix» délaissé l'été dernier au Liban. (1) Égypte, Arabie saoudite, Jordanie, Koweït, Qatar, Émirats arabes unis, Bahreïn et Oman.Les armes se sont tues dans les territoires palestiniens après les violents affrontements qui ont fait 12 morts dimanche et lundi, mais les menaces se font plus véhémentes que jamais, et les territoires palestiniens semblent toujours au bord de la guerre civile. La branche armée du Fatah de Mahmoud Abbas a menacé mardi d'éradiquer les cadres du Hamas au pouvoir. robe ralph laure pas cher « Nous à al Aqsa annonçons, avec force et franchise, le verdict du peuple au sein de la patrie et dans la diaspora, d'exécuter les chefs de la sédition », déclare un communiqué du groupe armé.Chef politique en exil viséDans la ligne de mire, Saïd Seyam, le ministre de l'Intérieur du gouvernement du Hamas, et Youssef al Zahar, commandant de la milice du Hamas. Mais surtout, les Brigades des martyrs d'al-Aqsa désignent nommément Khaled Méchaal, le chef politique du Hamas en exil en Syrie. « Nous exécuterons ce verdict pour que ces gens atroces puissent servir d'exemple », indique le mouvement qui les tient pour responsable des 12 morts et de la centaine de blessés des récents affrontements.Des menaces qui sont, selon un porte-parole du groupe armé, une «réponse naturelle» à l'ordre donné par Saïd Seyam à ses troupes de prendre le contrôle des rues de Gaza dimanche face aux policiers en grève du Fatah qui réclament le versement de leurs salaires. Il n'a cependant pas voulu dire si ces menaces reflètent le point de vue de l'ensemble du Fatah ou seulement de certaines factions.''Huile sur le feu''Un député du Hamas, Mouchir al Masri, a jugé que les Brigades jetaient de l'huile sur le feu. robe ralph laure soldesLe Hamas «ne fera preuve d'aucune pitié» si l'un de ses dirigeants est la cible des «chefs de file d'un coup d'Etat intérieur».Conscient de la fragilité de la situation, le premier ministre palestinien du Hamas, Ismaël Haniyeh, a déclaré : « nous ne voulons pas de combats internes. Nous ne voulons pas la guerre civile ».En visite en Arabie Saoudite, Condoleezza Rice a appelé à la fin des violences et souhaité que les Palestiniens se dotent au plus vite d'un gouvernement «qui puisse respecter les principes du quartette» sur le Proche-Orient, c'est-à-dire la reconnaissance du droit à l'existence de l'Etat d'Israël, la renonciation à la violence et la reconnaissance des accords passés entre Israël et les Palestiniens. Le Hamas refuse fermement de reconnaître Israël. La tournée de la secrétaire d'Etat américaine au Proche-Orient a pour thème principal l'aide aux forces modérées de la région pour contrer les extrémistes. Haniyeh exclut des élections anticipéesIsmaël Hanyieh a accusé Condoleezza Rice de vouloir « diviser pour mieux régner » et appelé les états arabes à ne pas collaborer avec elle.
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