Skip to main content

Home/ Coders/ ralph lauren pas cher Mais
escaping1 escaping1

ralph lauren pas cher Mais - 0 views

hermes birkin neuf pas cher ralph lauren sac longchamp

started by escaping1 escaping1 on 29 Dec 14
  • escaping1 escaping1
     
    La lutte contre l'insécurité n'est pas de son ressort, et il n'a pas cherché à se faire bâtisseur. Il lui reste donc à apporter la preuve qu'il peut encore relever le défi qu'il s'est posé : réduire la circulation automobile et la pollution.Selon le sondage publié aujourd'hui par Le ­Figaro, ce n'est pas gagné : 68 % des personnes interrogées sont mécontentes de la première tandis qu'une majorité (47 %) estime que la qualité de l'air ne s'est pas améliorée. « Delanoë, l'homme qui a inventé les embouteillages la nuit » : les mauvaises langues s'amusent de cette formule. Plus sérieusement, sa méthode a échoué.Non seulement les résultats ne sont pas là, mais les décisions prises (couloirs réservés, restriction des chaussées, etc.) et les interminables chantiers qui les accompagnent inévitablement ont été perçus comme autant d'actes d'arrogance. hermes birkin neuf pas cher
    Parisiens et banlieusards se sont sentis, pour la plupart, mis au pied du mur. Avec cette interrogation en tête : où Delanoë et ses encombrants alliés Verts veulent-ils en venir ? D'une noble ambition - l'amélioration de la qualité de vie urbaine -, ils ont fait un sujet d'exaspération. Et d'inquiétude pour l'activité économique.Faute d'un projet d'ensemble bien expliqué, en cohérence avec une politique de transports collectifs adaptée, Paris étouffe. Le tram lui donnera-t-il un peu d'air ?Nous autres civilisations, nous savons maintenant que la menace écologique n'est pas un fantasme, projeté dans un lointain avenir. Le tarissement des sources d'énergie fossiles, à l'échéance d'un demi-siècle et surtout, le ­réchauffement de la planète, qui ne cesse de s'aggraver depuis le milieu des années 1970, ont déclenché, au fil de la dernière dé­cennie, une prise de conscience ­concrète de la proximité du péril. La température moyenne de la planète n'a augmenté que de 0,6 degré en un siècle. ralph lauren pas cher Mais le redressement de la courbe est brutal. Au rythme actuel, le seuil des 2 %, considéré comme dangereux, ­risque d'être atteint en 2020.Il devient évident pour tout ­citoyen du monde, serait-il au fond du Texas, qu'il est impossible de ne rien faire. La conférence de Kyoto en a tiré, en 1997, les premières conséquences. Les pays industrialisés devraient avoir réduit, en moyenne, le taux d'émission des gaz dits « à effet de serre », c'est-à-dire, essentiellement, de gaz carbonique - que ne le dit-on simplement ? - de 5, 7 % par an en moyenne pour éviter le franchissement fatidique du seuil des 2 %, avec ses conséquences dramatiques : montée du niveau de la mer de près de 90 cm, dévoiement des courants marins, aggravation des tempêtes et des cyclones, vagues de chaleur, creusement du fossé entre zones sèches et froides, ­pénurie aggravée des ressources en eau douce, bouleversement de la géographie de la production agricole, développement d'épidémies telles que le choléra et nombre de maladies parasitaires (*).À partir de ce bilan, deux attitudes sont possibles. L'une, qui est de simple sagesse, persiste à vouloir s'inspirer des principes démocratiques, en respectant les libertés publiques. sac longchamp pas cher
    C'était, jusqu'à présent, le choix de la France, qui bénéficie d'une sérieuse avance grâce à ses capacités d'énergie nucléaire, et c'est l'option retenue par le plan d'action de la Commission européenne présenté le 19 octobre dernier. Cette orientation peut être perçue, a priori, comme un compromis. Elle est pourtant la seule qui prenne en compte les réalités. Dès lors en effet que les États-Unis ignorent, du moins officiellement, les accords de Kyoto, et dès lors que la nuisance de l'Europe ne ­représente que 14 % du total mondial, sans préjudice du creusement attendu de la croissance de l'Inde, de la Chine et du Brésil, il serait ­absurde que l'Union sacrifie son développement et son niveau de vie sur l'autel d'un salut collectif qu'elle ne saurait, en toute hypothèse, à elle seule, sauvegarder. Au lieu de s'affaiblir encore davantage, l'Europe doit demeurer forte pour inciter les autres nations à mener de front le développement de leur économie et celui de la démocratie. La méthode retenue par Bruxelles consiste d'un côté à ­développer la recherche et l'exploitation des sources d'énergie renouvelables, qui sont autant de vecteurs du développement collectif, et, de l'autre, à chercher à réorienter les comportements individuels par des mesures faisant appel au sens individuel des responsabilités. Ses armes sont l'éducation, l'information, et l'incitation fiscale aux économies d'énergie dans l'habitat et les transports - et le projet de l'UMP, qui vise à taxer le CO2 plutôt que le travail, va heureusement dans ce sens.

To Top

Start a New Topic » « Back to the Coders group