réforme. vaporisateur de sac hermes caleche - 0 views

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  #1 escaping1 escaping1 on 24 Nov 14

   

  ne pouvait rien faire de travers. » Directeur de la division de l'information et des médias du département de l'Information, Ahmad Fawzi est, comme tous les fonctionnaires des Nations unies, passé par deux extrêmes au cours des deux mandats de cinq ans chacun que Kofi Annan achève le 31 décembre : à la gloire du Prix Nobel de la paix que le secrétaire général partagea avec l'Organisation en 2001, succédèrent la guerre en Irak et la marginalisation de l'ONU, minée par les scandales, vilipendée par les conservateurs américains et handicapée autant par le poids des intérêts nationaux que par celui de sa bureaucratie dans ses velléités de réforme. vaporisateur de sac hermes caleche
  C'est en septembre 2002 que tout bascula : dans son discours à l'ouverture de la session annuelle de l'Assemblée générale, le président George W. Bush enjoignit l'ONU à régler le problème Saddam Hussein sous peine de « perdre sa raison d'être ». Le retour des inspecteurs en Irak, puis la déchirure du Conseil de sécurité sur le désarmement de Saddam n'allaient pas empêcher l'invasion de mars 2003 qui affecta profondément Kofi Annan, au bord de la dépression pendant plusieurs semaines. « Il était brisé. Ce fut pour lui comme un drame personnel », ­confia son assistante de longue date, Elisabeth Lindenmayer, au journaliste James Traub, qui vient de publier un livre basé sur l'accès exceptionnel et quasi illimité que lui accorda le secrétaire général pendant plus d'un an, entre l'été 2004 et l'automne 2005.Le titre du livre sonne comme un défi : Les meilleures intentions : Kofi Annan et l'ONU à l'ère de la puissance américaine mondiale. En clair : le multilatéralisme ­confronté à une Amérique qui ne recherche à l'ONU qu'un coup de tampon sur ses décisions dictées par ses propres intérêts. sac type hermes birkin En provoquant l'élection du Ghanéen après avoir été le seul pays à refuser un second mandat à Boutros Boutros-Ghali en 1996, les États-Unis pensaient avoir installé un homme en leur faveur. Dans un premier temps, la personnalité tout en douceur et en ­finesse du nouveau patron de l'ONU le servit admirablement tant auprès de l'Administration Clinton que du Congrès à forte majorité ­républicaine, qu'il sut courtiser, contrairement à son prédécesseur. Mais le « multilatéralisme » d'un homme qui venait de passer quarante ans de sa carrière au sein du système onusien allait mal s'accommoder du contexte de l'après-11 septembre 2001, où l'Amérique allait être tentée de répondre par des solutions unilatérales aux défis du terrorisme international. L'Irak allait tout précipiter : la mise en retrait délibérée de l'ONU après l'attentat d'août 2003, dans lequel Kofi Annan perdit vingt-deux collaborateurs, dont son ami et possible successeur Sergio Vieira de Mello ; et surtout, le scandale « Pétrole contre nourriture », qui mit en lumière les carences administratives et le manque de transparence de la « maison de verre », mais aussi le laxisme d'un patron jugé trop gentil.L'enquête confiée à l'ancien gouverneur de la Réserve fédérale Paul Volcker mit hors de cause l'intégrité du secrétaire général, dont la réputation personnelle fut cependant entachée par les agissements suspects de son fils Kojo. Mais les accusations de corruption qui touchèrent plusieurs hauts responsables onusiens allaient ternir un peu plus l'image d'une institution privée d'amis à Washington : les conservateurs voulaient utiliser l'arme budgétaire pour forcer la réforme de l'ONU, atteinte aussi par les scandales sexuels au sein des forces de maintien de la paix, et certains réclamaient ouvertement la tête de son secrétaire général, qui faisait par ailleurs face à un sérieux mécontentement de son personnel démoralisé. Kofi Annan avait tout à redouter de la nomination d'un ambassadeur américain aussi hostile à l'ONU que l'était John Bolton. sac type kelly hermes
  Mais l'Irak a fait prendre c

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">ne pouvait rien faire de travers. » Directeur de la division de l'information et des médias du département de l'Information, Ahmad Fawzi est, comme tous les fonctionnaires des Nations unies, passé par deux extrêmes au cours des deux mandats de cinq ans chacun que Kofi Annan achève le 31 décembre : à la gloire du Prix Nobel de la paix que le secrétaire général partagea avec l'Organisation en 2001, succédèrent la guerre en Irak et la marginalisation de l'ONU, minée par les scandales, vilipendée par les conservateurs américains et handicapée autant par le poids des intérêts nationaux que par celui de sa bureaucratie dans ses velléités de réforme. vaporisateur de sac hermes caleche <br /> C'est en septembre 2002 que tout bascula : dans son discours à l'ouverture de la session annuelle de l'Assemblée générale, le président George W. Bush enjoignit l'ONU à régler le problème Saddam Hussein sous peine de « perdre sa raison d'être ». Le retour des inspecteurs en Irak, puis la déchirure du Conseil de sécurité sur le désarmement de Saddam n'allaient pas empêcher l'invasion de mars 2003 qui affecta profondément Kofi Annan, au bord de la dépression pendant plusieurs semaines. « Il était brisé. Ce fut pour lui comme un drame personnel », ­confia son assistante de longue date, Elisabeth Lindenmayer, au journaliste James Traub, qui vient de publier un livre basé sur l'accès exceptionnel et quasi illimité que lui accorda le secrétaire général pendant plus d'un an, entre l'été 2004 et l'automne 2005.Le titre du livre sonne comme un défi : Les meilleures intentions : Kofi Annan et l'ONU à l'ère de la puissance américaine mondiale. En clair : le multilatéralisme ­confronté à une Amérique qui ne recherche à l'ONU qu'un coup de tampon sur ses décisions dictées par ses propres intérêts. sac type hermes birkin En provoquant l'élection du Ghanéen après avoir été le seul pays à refuser un second mandat à Boutros Boutros-Ghali en 1996, les États-Unis pensaient avoir installé un homme en leur faveur. Dans un premier temps, la personnalité tout en douceur et en ­finesse du nouveau patron de l'ONU le servit admirablement tant auprès de l'Administration Clinton que du Congrès à forte majorité ­républicaine, qu'il sut courtiser, contrairement à son prédécesseur. Mais le « multilatéralisme » d'un homme qui venait de passer quarante ans de sa carrière au sein du système onusien allait mal s'accommoder du contexte de l'après-11 septembre 2001, où l'Amérique allait être tentée de répondre par des solutions unilatérales aux défis du terrorisme international. L'Irak allait tout précipiter : la mise en retrait délibérée de l'ONU après l'attentat d'août 2003, dans lequel Kofi Annan perdit vingt-deux collaborateurs, dont son ami et possible successeur Sergio Vieira de Mello ; et surtout, le scandale « Pétrole contre nourriture », qui mit en lumière les carences administratives et le manque de transparence de la « maison de verre », mais aussi le laxisme d'un patron jugé trop gentil.L'enquête confiée à l'ancien gouverneur de la Réserve fédérale Paul Volcker mit hors de cause l'intégrité du secrétaire général, dont la réputation personnelle fut cependant entachée par les agissements suspects de son fils Kojo. Mais les accusations de corruption qui touchèrent plusieurs hauts responsables onusiens allaient ternir un peu plus l'image d'une institution privée d'amis à Washington : les conservateurs voulaient utiliser l'arme budgétaire pour forcer la réforme de l'ONU, atteinte aussi par les scandales sexuels au sein des forces de maintien de la paix, et certains réclamaient ouvertement la tête de son secrétaire général, qui faisait par ailleurs face à un sérieux mécontentement de son personnel démoralisé. Kofi Annan avait tout à redouter de la nomination d'un ambassadeur américain aussi hostile à l'ONU que l'était John Bolton. sac type kelly hermes <br /> Mais l'Irak a fait prendre c</div>

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