polo ralph laure pas cher Refusant - 0 views
started by longchamppas on 24 Jul 14
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#1 longchamppas on 24 Jul 14Et qui a provoqué la colère de la toute-puissante TV Globo, la chaîne qui diffusait le débat. Depuis, l'empire télévisuel est entré en guerre ouverte contre Lula, en relayant amplement tous les éléments du scandale, omettant celles de la campagne. À LA VEILLE de l'élection présidentielle, l'avance du président Luiz Inacio Lula da Silva s'était réduite, deux nouveaux sondages estimant pour la première fois qu'il pourrait être contraint de disputer un deuxième tour. Le président sortant semblait jusque-là assuré de l'emporter sans difficulté dès le premier tour. Mais les derniers jours de campagne ont été marqués par l'apparition d'un nouveau scandale concernant une tentative d'achat de dossier par des membres du Parti des travailleurs, la formation politique du président. L'affaire a été montée en épingle par Geraldo Alckmin et par les deux candidats dissidents du Parti des travailleurs, Heloisa Helena et Cristovam Buarque, parvenant à faire sortir du débat le bilan économique et social de Lula. Refusant d'être jeté en pâture devant des millions de téléspectateurs, Lula a décidé au dernier moment jeudi de boycotter le débat télévisé avec ses trois adversaires. polo ralph laure noirUne décision mal perçue par une grande partie de l'électorat, y compris par ses supporteurs, déçus de ne pas voir Lula s'expliquer sur l'accumulation de scandales en cette fin de mandat. Et qui a provoqué la colère de la toute-puissante TV Globo, la chaîne qui diffusait le débat. Depuis, l'empire télévisuel est entré en guerre ouverte contre Lula, en relayant amplement tous les éléments du scandale, omettant celles de la campagne. À LA VEILLE de l'élection présidentielle, l'avance du président Luiz Inacio Lula da Silva s'était réduite, deux nouveaux sondages estimant pour la première fois qu'il pourrait être contraint de disputer un deuxième tour. Le président sortant semblait jusque-là assuré de l'emporter sans difficulté dès le premier tour. Mais les derniers jours de campagne ont été marqués par l'apparition d'un nouveau scandale concernant une tentative d'achat de dossier par des membres du Parti des travailleurs, la formation politique du président. L'affaire a été montée en épingle par Geraldo Alckmin et par les deux candidats dissidents du Parti des travailleurs, Heloisa Helena et Cristovam Buarque, parvenant à faire sortir du débat le bilan économique et social de Lula. polo ralph laure pas cher Refusant d'être jeté en pâture devant des millions de téléspectateurs, Lula a décidé au dernier moment jeudi de boycotter le débat télévisé avec ses trois adversaires. Une décision mal perçue par une grande partie de l'électorat, y compris par ses supporteurs, déçus de ne pas voir Lula s'expliquer sur l'accumulation de scandales en cette fin de mandat. Et qui a provoqué la colère de la toute-puissante TV Globo, la chaîne qui diffusait le débat. Depuis, l'empire télévisuel est entré en guerre ouverte contre Lula, en relayant amplement tous les éléments du scandale, omettant celles de la campagne. ORGANISÉE hier à Madrid à l'initiative de l'Espagne, la réunion interministérielle des huit pays méditerranéens de l'Union européenne sur l'immigration aura surtout été l'occasion, pour le ministre français de l'Intérieur, de faire connaître sa propre politique sur cette question épineuse. Nicolas Sarkozy, qui avait présenté la veille de cette réunion un «pacte européen» pour contrôler et lutter contre l'arrivée de nouveaux clandestins dans l'espace Schengen, a cherché à convaincre les partenaires européens du bloc Sud. Madrid a pris note du message de fermeté lancé par le ministre français. polo ralph laure soldesAu cours de cette réunion, Nicolas Sarkozy, vedette de la presse espagnole, a réaffirmé son opposition aux régularisations massives de sans-papiers en Europe, qui, selon lui, provoquent un appel d'air aux frontières. Le ministre français, qui avait critiqué le gouvernement espagnol, qui avait régularisé 600 000 clandestins en 2005, a regretté le malentendu qui avait été créé avec l'Espagne. Le chef de l'exécutif espagnol avait rétorqué la veille que son «pays n'avait pas de leçons à recevoir de la France, compte tenu de ce qui s'est passé dans les banlieues de Paris».<p>Réponse de Sarkozy : «Je ne porte pas de jugements, mais, par expérience, je sais que la régularisation n'est pas la bonne solution. En France, on a régularisé massivement en 1997 et cela a conduit à quatre fois plus de réfugiés». Le ministre français a ajouté : «Quand un pays régularise, il régularise pour lui, mais aussi pour tous les autres pays de l'espace Schengen. Quand quelqu'un est régularisé en Espagne, il a le droit de rentrer en France».
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