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started by escaping1 escaping1 on 10 Dec 14
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    Il promet de maintenir les « missions », les programmes sociaux introduits par Hugo Chavez. Et a adopté comme slogan : « Atrevete ! », « Ose ! ».Ce discours fait fureur dans les beaux quartiers et dans la classe moyenne. Selon les derniers sondages, il atteint moins les plus pauvres, puisque Hugo Chavez le devancerait toujours d'au moins dix points dans les intentions de vote. « Pour nous, ce discours social n'est qu'une stratégie, une façon d'acheter les pauvres », dénonce Andrés Antillano, un des responsables des mouvements sociaux. Avant d'ajouter : « S'il gagnait, ce serait un retour au passé dont nous ne voulons à aucun prix. » LES JOURNALISTES auraient-ils été victimes d'une hallucination collective ? Pour se sortir de son faux pas après sa réunion, vendredi, avec les membres de la commission des affaires étrangères du Parlement libanais, dont un député du Hezbollah, Ségolène Royal a nié, samedi matin, contre toute évidence, que celui-ci ait fait en sa présence une comparaison entre l'opération israélienne au Liban et l'occupation de la France par les nazis. polo lacoste pas cher neuf
    « Je n'ai pas entendu cette comparaison. Si elle avait été faite, l'ambassadeur de France, qui ne l'a pas entendue non plus, et moi-même aurions quitté la salle car ce serait inadmissible, abominable, odieux », a déclaré Royal sèchement à la presse, dans un salon de l'hôtel Bristol de Beyrouth. Avant d'ajouter : « Ces propos n'ont pas été tenus. »Pas entendus par Ségolène Royal peut-être, mais tenus, sans aucun doute possible. Car ils ont bien été entendus par la quinzaine de journalistes présents, notamment des arabophones, et traduits en français par une traductrice pour Royal et une autre pour la presse. Le député du Hezbollah Ali Ammar avait commencé par dénoncer l'intervention israélienne au Liban, se présentant comme « le député d'une région où on a largué 3 000 tonnes de bombes, l'équivalent de Nagasaki et Hiroshima ». « Ce qui nous rassemble, c'est beaucoup de choses », avait-il dit à Ségolène Royal, ajoutant : « Notre expérience de la résistance est inspirée de la vôtre. polo lacoste solde Le nazisme qui a versé notre sang, usurpé notre indépendance, n'est pas moins mauvais que le nazisme qui a occupé la France. »Interrogé, à la sortie de la réunion, sur le fait que Royal n'ait pas réagi à ces propos, son directeur de cabinet n'avait alors fait aucune objection, estimant que la candidate « ne pouvait pas répondre point par point ». À l'issue de l'intervention du député, Royal lui avait répondu : « Il y a beaucoup de choses que je partage dans ce que vous avez dit, notamment votre analyse du rôle des États-Unis », ajoutant qu'elle avait « juste une divergence de vue » sur sa façon de désigner Israël sous le terme d'« entité sioniste », affirmant que ce pays « existe et a droit à la sécurité ».« Chirac le dit aussi »Samedi, Royal a reprécisé, comme elle l'avait déjà fait à la fin de la réunion, que sa critique des États-Unis visait uniquement la politique de George Bush en Irak, « qui est catastrophique, Jacques Chirac le dit aussi ». Ce n'est pas la première fois que Royal fait ainsi machine arrière après s'être placée dans une situation embarrassante. Samedi, elle a en outre mis en cause directement les médias, accusés de « déformation ». Selon elle, la réunion de vendredi, qui s'est tenue au moment de la manifestation monstre du Hezbollah pour obtenir le départ du gouvernement du premier ministre Fouad Siniora, « a permis de renouer les fils du dialogue » entre les différentes tendances libanaises. polo lacoste pas cher chine
    Toute à sa satisfaction d'avoir réuni autant de Libanais autour d'elle, Royal ne s'est pas rendu compte qu'elle était tombée dans le piège de la rhétorique du Hezbollah. François Bayrou dit aux Français qu'en votant pour lui, ils vont briser l'affrontement droite-gauche. Est-il crédible de nier, dans une démocratie moderne, l'idée de confrontation entre une majorité et une opposition ?Jean-Claude CASANOVA. - Une majorité et une opposition sont nécessaires dans une démocratie, il est peu vraisemblable, sauf circonstance exceptionnelle, qu'il y ait unanimité. Le problème est de savoir comment est composée cette majorité. Or il y a deux caractéristiques françaises. La première est le scrutin majoritaire à deux tours.

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