Me Ivan Paneff retentit dans un haut-parleur. polo lacoste rose Les avocats et les responsables d'ONG réunis hier matin à la Maison du barreau de Paris accusent le coup devant la nouvelle. La cour d'appel vient d'envoyer devant le peloton d'exécution les cinq infirmières bulgares et le médecin palestinien emprisonnés depuis sept ans en Libye. Tous ont été reconnus coupables d'avoir injecté le virus du sida à 426 enfants de l'hôpital de Benghazi. Pour effectuer des recherches, dit l'accusation. Les meilleurs spécialistes internationaux ont démenti les experts libyens, mais leurs travaux ont été rejetés. Les avocats des accusés ont annoncé leur intention de porter le cas devant la Cour suprême libyenne, qui devrait juger de nouveau sur le fond. Leurs défenseurs estiment que les six accusés sont victimes d'un procès politique, destiné à masquer les insuffisances des hôpitaux libyens et à redorer le blason des dirigeants libyens, qui ont joué avec le feu en encourageant l'action des familles de victimes. polo lacoste rose pas cher L'Union européenne a condamné le verdict et souligné « ses préoccupations concernant les bases sur lesquelles les accusés ont été jugés ». À Sofia, le gouvernement s'est déclaré « profondément indigné », tandis que Washington faisait part de sa « déception ». Jacques Chirac s'est dit « personnellement choqué » et a indiqué que la France poursuivra ses « efforts actifs pour convaincre » la Libye de trouver « une solution conforme à la justice ».Les avocats français des infirmières et leurs soutiens dans la communauté scientifique estiment néanmoins que l'attitude de la communauté internationale brouille le message envoyé à la Libye. « Cette sentence signe la faillite de la diplomatie américaine et européenne », commente à chaud Me Emmanuel Altit, l'un des avocats français. Les Occidentaux ont tenté de régler l'affaire à l'amiable, en dehors des tribunaux. L'Union européenne a fourni à la Libye un programme d'aide à la lutte contre le sida, tandis que la France et l'Italie accueillaient les malades survivants dans leurs hôpitaux, sans toutefois lier officiellement leur aide au déroulement du procès. sac burberry pas cher Négociations discrètesParallèlement, la Bu
Les avocats et les responsables d'ONG réunis hier matin à la Maison du barreau de Paris accusent le coup devant la nouvelle. La cour d'appel vient d'envoyer devant le peloton d'exécution les cinq infirmières bulgares et le médecin palestinien emprisonnés depuis sept ans en Libye. Tous ont été reconnus coupables d'avoir injecté le virus du sida à 426 enfants de l'hôpital de Benghazi. Pour effectuer des recherches, dit l'accusation. Les meilleurs spécialistes internationaux ont démenti les experts libyens, mais leurs travaux ont été rejetés. Les avocats des accusés ont annoncé leur intention de porter le cas devant la Cour suprême libyenne, qui devrait juger de nouveau sur le fond. Leurs défenseurs estiment que les six accusés sont victimes d'un procès politique, destiné à masquer les insuffisances des hôpitaux libyens et à redorer le blason des dirigeants libyens, qui ont joué avec le feu en encourageant l'action des familles de victimes. polo lacoste rose pas cher L'Union européenne a condamné le verdict et souligné « ses préoccupations concernant les bases sur lesquelles les accusés ont été jugés ». À Sofia, le gouvernement s'est déclaré « profondément indigné », tandis que Washington faisait part de sa « déception ». Jacques Chirac s'est dit « personnellement choqué » et a indiqué que la France poursuivra ses « efforts actifs pour convaincre » la Libye de trouver « une solution conforme à la justice ».Les avocats français des infirmières et leurs soutiens dans la communauté scientifique estiment néanmoins que l'attitude de la communauté internationale brouille le message envoyé à la Libye. « Cette sentence signe la faillite de la diplomatie américaine et européenne », commente à chaud Me Emmanuel Altit, l'un des avocats français. Les Occidentaux ont tenté de régler l'affaire à l'amiable, en dehors des tribunaux. L'Union européenne a fourni à la Libye un programme d'aide à la lutte contre le sida, tandis que la France et l'Italie accueillaient les malades survivants dans leurs hôpitaux, sans toutefois lier officiellement leur aide au déroulement du procès. sac burberry pas cher
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