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started by longchamppas on 12 Nov 14
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    Alors, vrai-faux putsch ? Une opération ambiguë, en tout cas, car si les conjurés avaient pris l'option de pouvoir tirer sur la foule, le communisme aurait pu se survivre. L'agonie du régime ne dura que quatre mois. Gorbatchev démissionna le 25 décembre. Eltsine accéda au pouvoir. Il le quitta huit ans plus tard, cédant la place à Vladimir Poutine en mars 2000, sans avoir vraiment résolu le problème fondamental : la décolonisation.Où en sommes-nous aujourd'hui ? Poutine pousse ses pions pour les législatives. nike zoom superfly r4 pas cher
    Il verrouille à son profit le Parlement. A la perspective de la présidentielle de 2008, on se demande s'il partira ou non. La Constitution autorise deux mandats. Pour un troisième, il lui faudrait modifier les textes. Certains pensent qu'il le fera. Je n'y crois pas, parce qu'il a si bien établi son emprise sur le pays que son autorité pourra s'exercer durant des années sans qu'il ait besoin d'être président. Il a d'ores et déjà prévenu qu'il serait partie prenante dans le choix de son successeur. nike zoom vomero pas cher Idéologiquement, il a joué avec finesse, induisant à la condamnation de Lénine au profit d'une réhabilitation rampante de Staline, aujourd'hui symbole de l'ordre et de la sécurité de l'empire, par le biais notamment de la lutte contre le nazisme. Lénine, c'était l'idéologie communiste. Staline, c'est la splendeur des tsars, celle de la Russie éternelle. Pas moins de trente musées ont été ouverts à sa gloire en l'espace d'une année. Enterrer Lénine. Faire disparaître sa momie dans un caveau. Honorer Staline, le tsar rouge qui se prenait pour l'héritier d'Ivan le Terrible. nike blazer femme pas cher zalando
    On voit ici le pont historique établi par Poutine qui se voit lui-même en réincarnation du premier des Romanov.Il a eu cette phrase à l'ambiguïté révélatrice : «Celui qui ne regrette pas l'URSS n'a pas de coeur. Celui qui la regrette n'a pas d'intelligence...» Sa doctrine est celle d'une renaissance s'accomplissant dans l'espace soviétique. D'où sa politique très rigide à l'égard des anciennes Républiques de l'URSS : Ukraine, Géorgie, etc.

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