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Même les plus chanceux, comme Nouvelles Frontières qui dispose d'une part de marché de 50%, parviennent difficilement à tirer leur épingle du jeu. Nouvelles Frontières a vendu seulement un tiers de son volume habituel. D'autres, comme son concurrent Thomas Cook, compensent leur manque à gagner par les ventessur les îles voisines. Notamment l'île Maurice, qui, bien qu'affectée par le moustique, ne subit pas encore l'incidence du chikungunya. «L'île est toujours prise d'assaut», fait remarquer le président de Thomas CookFrance, Olivier de Nicola. «Fin janvier, nous affichions une hausse de 32% des ventes totales de séjours, soit l'équivalent de la baisse sur la Réunion», poursuit le dirigeant. Toujours dans l'océan Indien, aux Seychelles, une destination très prisée pour les voyagesde noce, les réservations explosent de 50%, explique-t-on chez Thomas Cook. mitation sac longchamps pliage soldes «Mais combien de temps celava-t-il durer? Tôt ou tard, l'ensemble de l'océan indien risque d'être affecté par le phénomène», insiste Jacques Maillot ancien patron de Nouvelles Frontières et dirigeant de l'association humanitaire Feu Vert.Côté hébergement, «les réservations sont en chute libre, et la situation est beaucoup plus sérieuse que l'on a bien voulu le dire au début de l'épidémie», ajoute-t-il. Un point de vue partagé par le leader européen de l'hôtellerie, Accor. Le groupe possède trois hôtels surl'île de la Réunion et reconnaît une baisse notable de la fréquentation qu'il chiffrera «avec plus de précisions dans son reporting de la fin février». Tout en insistant sur le fait «qu'aucun de ses clients n'a été piqué pour l'instant». Reste qu'après les Etats-Unis, touchés par les passeports biométriques, l'Asie par la grippe aviaire, il s'agit d'une nouvelle destination à risques pour les tours opérateurs.«WAIT AND SEE», attendre et voir. imitation sac longchamps pliage pas cher
C'est la posture officielle de l'Administration Bush face à l'accession au pouvoir du Hamas dans les territoires palestiniens. «Nous allons continuer à regarder de près quelle est leur approche de gouvernement», a déclaré samedi Frederick Jones, porte-parole du Conseil de sécurité nationale à la Maison-Blanche. Washington revendique même quelque crédit dans la décision israélienne de ne pas bannir à ce stade les ouvriers palestiniens travaillant en Israël, dans la foulée de son appel à «ne pas aggraver les difficultés de la population.»Mais cette modération est seulement de façade. N'ayant pas vu venir le succès électoral du Hamas et continuant à soutenir que le processus démocratique est salutaire quel que soit le régime sorti des urnes, les dirigeants américains s'orientent vers une stratégie dure qui vise à priver le mouvement islamiste des moyens de gouverner. En vertu de la loi américaine qui interdit tout contact avec une organisation terroriste, toute aide directe à l'Autorité palestinienne est supprimée. Washington a même demandé le remboursement de 50 millions de dollars déjà versés pour des projets de reconstruction.