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  #1 longchamppas on 10 Sep 14

   

  Un habitant sur deux vit avec un euro par jourLe mythe ressuscité de Gengis Khan et les songes-creux qui font de la Mongolie un second Koweït grâce à de fabuleuses réserves de cuivre, de charbon ou de molybdène, se heurtent une réalité de glace. A Oulan Bator, capitale qui compte 50% de la population, les nouveaux riches paradent au volant de leur Mercedes et autres Hummer à 100 000 dollars. Mais un habitant sur deux vit avec un euro quotidien et plusieurs milliers passent les nuits d'hiver dans les conduites du chauffage urbain.Premier ministre démocrate, Tsakhia Elbegdorj avait amorcé le changement en équilibrant le budget de l'État et s'en prenant aux dessous de table. Mais peut-être a-t-il poussé le bouchon trop loin en faisant arrêter le directeur des douanes, administration de tous les trafics. Son successeur PPRM Miyeegombo Enkhbold risque d'être moins regardant : il est l'ancien maire d'Oulan Bator, capitale du clientélisme et des pots-de-vin. La corruption ? «Elle s'insinue partout et les héritiers du communisme seront les derniers à vouloir s'y attaquer», répond en privé un ministre de la nouvelle équipe. lunettes ray ban pas cher
  Quinze ans après le départ des Soviétiques, les défis lancés à la Mongolie restent sans réponse, qu'il s'agisse du contrôle des richesses minières, de la désertification des pâturages, du voisinage démesuré de la Chine ou de l'exode des éleveurs vers une ville incapable de les assimiler. «Ici, tout le monde parle mais personne ne sait agir», résume Sanjaasurengin Oyun, conscience d'un mouvement démocrate en proie au doute.Le Japon a procédé samedi après-midi avec succès au lancement de sa fusée H- 2A, qui a placé en orbite un satellite destiné à la fois à l'observation du trafic aérien et à la météorologie, a annoncé l'Agence d'exploration spatiale japonaise (JAXA). Lancée de la base de Tanegashima (sud du Japon), la fusée a placé en orbite géostationnaire, à environ 36 000 kilomètres d'altitude, un satellite japonais multifonctionnel. Baptisé MTSAT- 2, cet engin, qui a coûté 14 milliards de yens (près de 100 millions d'euros) pèse 4,65 tonnes, ce qui en fait le plus lourd jamais placé en orbite par le Japon. Il s'agit du deuxième succès d'affilée pour la fusée H- 2A, qui avait connu un échec cuisant en novembre 2003.Article paru dans Le Figaro du 22 février 2006 Rien ne semble pouvoir distinguer Gulu, la grande ville du nord de l'Ouganda, d'une autre ville africaine. lunettes ray ban homme Des rues poussiéreuses traversées de Mobylettes pétaradantes, de minuscules boutiques et une kyrielle de jeunes désoeuvrés qui attendent, sans grand espoir, un éventuel travail. On ne voit ni barrages militaires ni patrouilles. La capitale de l'Acholiland, la terre de l'ethnie Acholi, est un îlot de calme au centre d'une province ravagée par vingt ans de guerre, l'une des plus violentes du continent. Autour de la cité, la campagne est déserte, vidée par les exactions de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), une milice fanatique, sans véritables revendications si ce n'est celle d'imposer les Dix Commandements en guise de Constitution au pays. «La LRA est un groupe d'une extrême violence. Quand elle entre dans un village ou lorsqu'elle tend une embuscade, les combattants pillent, torturent, violent, tuent les adultes, puis kidnappent les enfants», raconte James Oketch Bitek, correspondant du quotidien Daily Monitor. Endoctrinés par le charismatique et mystique chef de la LRA, le «pasteur» Joseph Kony, les captifs deviennent à leur tour des fantassins illuminés du mouvement. lunettes de vue ray ban femme
  Au total, près de 50 000 gamins auraient ainsi été raflés et transformés en tueurs disciplinés de leurs propres parents. La contre-insurrection lancée par l'Uganda People Defense Forces (UPDF, l'armée ougandaise) pour briser cet infernal mouvement n'a guère fonctionné. «Comme les simples paysans et les rebelles appartiennent à la même ethnie et souvent à la même famille, les militaires ont du mal à faire la distinction. Les soldats, perdus, s'en prennent régulièrement à de mauvaises cibles», commente un employé de l'une des nombreuses agences humanitaires présentes à Gulu. En fait de combats, la lutte entre ennemis se limite le plus souvent à des escarmouches. La LRA, dotée de simples kalachnikovs et de peu de munitions, évite les confrontations directes avec l'armée qui, de son côté peine à trouver, les miliciens dans l'immensité de la brousse. Les miliciens sur les talonsDans ce drôle de conflit, seuls les habitants, coincés entre la barbarie des fous du Seigneur et les dérapages des soldats, semblent souffrir : ils fuient les campagnes pour s'entasser autour des villes.

   

  <div class="cArrow"> </div><div class="cContentInner">Un habitant sur deux vit avec un euro par jourLe mythe ressuscité de Gengis Khan et les songes-creux qui font de la Mongolie un second Koweït grâce à de fabuleuses réserves de cuivre, de charbon ou de molybdène, se heurtent une réalité de glace. A Oulan Bator, capitale qui compte 50% de la population, les nouveaux riches paradent au volant de leur Mercedes et autres Hummer à 100 000 dollars. Mais un habitant sur deux vit avec un euro quotidien et plusieurs milliers passent les nuits d'hiver dans les conduites du chauffage urbain.Premier ministre démocrate, Tsakhia Elbegdorj avait amorcé le changement en équilibrant le budget de l'État et s'en prenant aux dessous de table. Mais peut-être a-t-il poussé le bouchon trop loin en faisant arrêter le directeur des douanes, administration de tous les trafics. Son successeur PPRM Miyeegombo Enkhbold risque d'être moins regardant : il est l'ancien maire d'Oulan Bator, capitale du clientélisme et des pots-de-vin. 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Lancée de la base de Tanegashima (sud du Japon), la fusée a placé en orbite géostationnaire, à environ 36 000 kilomètres d'altitude, un satellite japonais multifonctionnel. Baptisé MTSAT- 2, cet engin, qui a coûté 14 milliards de yens (près de 100 millions d'euros) pèse 4,65 tonnes, ce qui en fait le plus lourd jamais placé en orbite par le Japon. Il s'agit du deuxième succès d'affilée pour la fusée H- 2A, qui avait connu un échec cuisant en novembre 2003.Article paru dans Le Figaro du 22 février 2006 Rien ne semble pouvoir distinguer Gulu, la grande ville du nord de l'Ouganda, d'une autre ville africaine. <a title="lunettes ray ban homme" href="http://www.elisataxiplus.fr/lunettes-ray-ban-pas-cher-lunettes-ray-ban-homme-lunettes-de-vue-ray-ban-femme.html" rel="nofollow">lunettes ray ban homme</a> Des rues poussiéreuses traversées de Mobylettes pétaradantes, de minuscules boutiques et une kyrielle de jeunes désoeuvrés qui attendent, sans grand espoir, un éventuel travail. On ne voit ni barrages militaires ni patrouilles. La capitale de l'Acholiland, la terre de l'ethnie Acholi, est un îlot de calme au centre d'une province ravagée par vingt ans de guerre, l'une des plus violentes du continent. Autour de la cité, la campagne est déserte, vidée par les exactions de l'Armée de résistance du Seigneur (LRA), une milice fanatique, sans véritables revendications si ce n'est celle d'imposer les Dix Commandements en guise de Constitution au pays. «La LRA est un groupe d'une extrême violence. Quand elle entre dans un village ou lorsqu'elle tend une embuscade, les combattants pillent, torturent, violent, tuent les adultes, puis kidnappent les enfants», raconte James Oketch Bitek, correspondant du quotidien Daily Monitor. 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En fait de combats, la lutte entre ennemis se limite le plus souvent à des escarmouches. La LRA, dotée de simples kalachnikovs et de peu de munitions, évite les confrontations directes avec l'armée qui, de son côté peine à trouver, les miliciens dans l'immensité de la brousse. Les miliciens sur les talonsDans ce drôle de conflit, seuls les habitants, coincés entre la barbarie des fous du Seigneur et les dérapages des soldats, semblent souffrir : ils fuient les campagnes pour s'entasser autour des villes.</div>

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