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started by longchamppas on 25 Jul 14
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    «La Corée du Nord devrait être tenue responsable de toutes les conséquences s'il conduit un essai nucléaire», a prévenu Séoul. Alors que le président sud-coréen, Roh Moo-hyun, a ordonné à son gouvernement de gérer le dossier «d'une manière résolue et avec sang froid», son ministre de l'Unification a averti qu'il y avait une «forte possibilité» que le Nord procède à un essai nucléaire si les négociations multipartites ne pouvaient être relancées.Les voisins de la Corée du Nord pressent en effet Pyongyang à revenir aux négociations à six (Corées du Nord et du Sud, Etats-Unis, Chine, Japon, Russie) qui visent, en vain, depuis 2003 à la convaincre de renoncer aux armements nucléaires. Mais, depuis novembre 2005, le régime communiste boycotte ces pourparlers.Chine réservéeDe son côté, la Chine est plutôt réservée. «Nous espérons que la Corée du Nord va faire preuve de calme et de retenue», a déclaré le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères. De nombreux analystes estiment pourtant que l'Empire du Milieu, qui fournit notamment une aide énergétique indispensable à Pyongyang, serait le seul pays à pouvoir le contraindre à revenir sur sa décision. sac longchamp pas cher Le Japon, qui avait été le premier à réagir hier, plaide en revanche pour la plus grande fermeté à l'égard de Pyongyang, et appelle à un front uni avec Pékin et Séoul. «L'annonce de la Corée du Nord est extrêmement regrettable. Si elle ose le faire, cela ne lui sera jamais pardonné», a martelé le nouveau premier ministre japonais Shinzo Abe devant le Parlement, mercredi. Ce dernier rencontrera d'ailleurs les dirigeants chinois et sud-coréens lors de déplacements historiques dimanche et lundi.DE TOUS les pays directement concernés, c'est le Japon qui a été le premier à réagir à l'annonce de Pyongyang. «Nous ne pouvons tolérer ce projet car il représente une menace pour la paix», a déclaré le ministre des Affaires étrangères Taro Aso. Visiblement irrité, il a promis des mesures de rétorsion «sévères». longchamp pliage Quelques heures plus tard, le premier ministre Shinzo Abe enfonçait le clou : «Le Japon et le monde ne toléreraient pas un essai nucléaire. Si l'essai était effectué, je pense que la communauté internationale aurait une réaction vigoureuse.»Mais comme disait Raymond Aron : «Dire qu'une chose est intolérable, c'est déjà la tolérer.» Ces déclarations sont autant d'aveux d'impuissance. La quasi-inexistence des échanges entre le Japon et la Corée du Nord rend les sanctions de l'Archipel sans effets. «Tant que la Chine qui préfère soutenir ce gouvernement que le voir s'écrouler, et la Corée du Sud, qui rêve d'une Corée unifiée, continueront d'avoir des relations avec la Corée du Nord, les décisions du Japon seront sans effet», estime Robert Dujarric, analyste au Japan Institute of International Affairs et spécialiste de la Corée du Nord. Il argumente : les échanges avec le Japon n'ont cessé de diminuer, tandis que ceux avec la Chine progressent constamment.«Normaliser» la défense<p>Paradoxalement, cette annonce est aussi une nouvelle pierre dans le jardin de Shinzo Abe. Le nouveau premier ministre souhaite «normaliser» la défense du Japon face aux éventuels agresseurs que sont la Chine et la Corée du Nord. Il veut supprimer la clause pacifiste de la Constitution, qui fait théoriquement de l'armée japonaise une force uniquement défensive, et impliquer davantage les troupes nippones dans les opérations de maintien de la paix.<p>L'attitude de Pyongyang apporte de l'eau à son moulin. Shinzo Abe doit sa spectaculaire ascension politique à la fermeté qu'il a toujours montrée face à la Corée du Nord, prenant http://www.francecbd.fr/ le relais d'une diplomatie épuisée par les provocations et les volte-face de Pyongyang. Junichiro Koizumi avait tenté un rapprochement historique en rendant visite à Kim Jong-Il en 2002. Le numéro un nord-coréen avait alors reconnu l'existence d'un programme de kidnapping de ressortissants japonais à des fins d'espionnage pendant la guerre froide.

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