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grossiste lacoste pas cher L'armée - 0 views

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    Le Parlement européen adoptait, lui, une résolution pour manifester sa « grande préoccupation » face à « la montée de l'intolérance raciste, xénophobe, antisémite et homophobe en Pologne », tandis que l'Internationale socialiste fermait ses portes au parti « social-démocrate » slovaque (Smer), allié aux nationalistes du SNS.Ce national-populisme prospère d'autant mieux que le doute sur le système politique et sur les bienfaits de la démocratie s'ancre dans les esprits, renforcé, comme le note Nadège Ragaru, chercheur au CNRS, par cette « succession d'élections avec alternance, mais sans alternative perçue comme réelle ». Selon deux études récentes publiées en Allemagne où l'extrême droite, sous la bannière du NPD (parti national démocrate) ou de son allié le DVU (Union du peuple allemand) compte désormais des élus dans trois des six parlements régionaux de l'ancienne RDA, seuls 32 % des habitants de l'ancienne Allemagne de l'Est se disent satisfaits du fonctionnement de la démocratie. Et ils ne sont pas plus de 38 % à considérer la démocratie comme la meilleure forme de gestion des affaires publiques. Cette perte de confiance se traduit à la fois dans les scores obtenus par les partis nationalistes et xénophobes et par les taux d'abstention de plus en plus élevés. Ils ont atteint 47,9 % au premier tour de l'élection présidentielle bulgare en octobre dernier. Ils étaient à peine moins élevés - 47 % - aux élections locales hongroises, le même mois. chaussure lacoste blanc pas cher
    Alternance sans alternative réelleComme dans d'autres États de l'Union, ces partis de l'extrême nationalisme obtiennent leurs suffrages auprès de ceux qui se sentent les perdants d'une transition menée à vive allure. « Après tout, la démocratie, l'Europe, l'économie de marché et l'Otan ne constituent pas une réponse aux problèmes du chômage et de la pauvreté, à l'État faible et corrompu, aux injustices et aux pathologies qui accompagnent la transformation », remarque, dans les colonnes de Gazeta Wyborcza, le politologue Aleksander Smolar, pour expliquer le succès des ultranationalistes en Pologne. Et ailleurs. Les ultranationalistes recueillent aussi des voix parmi les mieux nantis qui ne s'alarment pas moins du coût de solidarités nouvelles dans une Union aux frontières toujours repoussées. Si ce courant venait à s'étendre, il saperait pour de bon les bases mêmes d'une communauté européenne qui fêtera l'année prochaine le 50e anniversaire de son traité fondateur, le traité de Rome. L'UN DES PLUS importants symboles du pouvoir libanais est aujourd'hui une forteresse assiégée. Érigé par les Ottomans en 1853 sur une colline de Beyrouth, le Grand Sérail est entouré de kilomètres de rouleaux de fils barbelés. grossiste lacoste pas cher L'armée et les forces de sécurité intérieures contrôlent étroitement tous les accès du palais aux 600 arcades, au pied duquel des centaines de militants de l'opposition ont dressé depuis le 1er décembre des tentes pour réclamer la démission du maître des lieux. Le premier ministre Fouad Siniora s'est provisoirement absenté hier pour un voyage officiel en Russie où il espère convaincre Vladimir Poutine de se montrer moins conciliant avec la Syrie, qu'il accuse d'oeuvrer en coulisses à sa chute.Mais le numéro un du gouvernement n'a eu de cesse, depuis deux semaines, de vouloir démentir l'image qu'a donnée de lui le chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, en l'assimilant à un prisonnier. Les sols marbrés des quelque 400 salons et salles de travail restaurés au début des années 1990 par l'ancien premier ministre Rafic Hariri n'ont jamais résonné d'autant de pas. Fouad Siniora, le technocrate propulsé sur le devant de la scène politique, s'est même payé le luxe de bains de foules savamment médiatisés dans les immenses salles de réception du rez-de-chaussée, pour faire contrepoids aux rassemblements massifs organisés par l'opposition sous ses fenêtres.Aux étages, les bureaux aux proportions démesurées fourmillent de monde. Fonctionnaires, consultants et visiteurs divers parcourent les longs couloirs, dossiers sous le bras. lacoste pas cher
    Car six ministres ont choisi d'élire domicile au Sérail « pour des raisons de sécurité », explique l'un d'entre eux, Ahmad Fatfat. « Notre présence n'a rien à voir avec les manifestations, mais nous avons préféré nous réfugier ici après l'assassinat de l'un des nôtres, Pierre Gemayel, nos logements ou nos bureaux n'étant pas assez sûrs. »L'attentat contre le ministre de l'Industrie, le 21 novembre, a en effet entraîné des calculs macabres dans les rangs de la coalition dite du « 14 mars ». Malgré le soutien occidental et arabe dont il bénéficie, la marge de manoeuvre de Fouad Siniora est très étroite. La majorité des deux tiers dont il dispose en Conseil des ministres tient à deux voix - six ministres sur 24 étant démissionnaires - ce qui fait dire à certains ténors du « 14 mars » que tous les ministres sont des cibles potentielles.Le pouvoir de Fouad Siniora repose certes sur une majorité au Parlement, mais celle-ci est tributaire des pouvoirs étendus attribués au président de la Chambre, Nabih Berri, qui a clairement fait comprendre qu'il se rangeait aux côtés du Hezbollah dans le bras de fer l'opposant au camp du « 14 mars ».Leviers institutionnelsFouad Siniora n'est pas dans la position d'un chef de gouvernement qui serait contesté par une partie de la population, mais resterait en mesure d'actionner malgré tout les leviers du pouvoir acquis dans les urnes.

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