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started by escaping1 escaping1 on 15 Dec 14
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    Officiellement, la pression a été exercée à la dernière minute par George W. Bush, qui voulait remercier les Serbes d'avoir proposé des troupes pour l'Afghanistan. En fait, les Serbes eux-mêmes l'annonçaient bien avant le sommet. « Ce n'était pas une décision de dernière minute. Les Américains ne voulaient pas faire entrer la Bosnie sans la Serbie », pense savoir une source proche du dossier. La France a cédé à ce qui était présenté comme « une mesure technique » et un « encouragement aux démocrates ». « Le problème, c'est que depuis, beaucoup se sont engouffrés dans la brèche et ont réclamé la même faveur pour l'Union européenne », confie un expert. sac hermes kelly replica
    La même reculade menace aujourd'hui l'Union européenne. « Les tensions sont énormes et le débat est intense, y compris en France », confirme un proche du dossier. Javier Solana, le chef de la politique étrangère de l'UE, semble s'être rallié à la position italienne. Il a affirmé, fin novembre, après s'être félicité de la décision de Riga, que les Vingt-Cinq devraient envisager de reprendre les négociations avec Belgrade après les élections du 21 janvier. Quant à la Grande-Bretagne, sa position ne serait pas très ferme.Un renoncement de l'UE serait une mauvaise nouvelle pour le Tribunal pénal international de La Haye qui, après avoir déploré la mort de Milosevic dans sa cellule, devrait renoncer à ses deux principaux inculpés, ceux qui ont en grande partie motivé sa création. Elle aurait forcément des conséquences sur l'avenir de la justice internationale. echarpe hermes pas cher Elle condamnerait aussi les victimes bosniaques et croates de Karadzic et Mladic à l'amertume et à la frustration. La procureure Carla Del Ponte s'inquiète d'un éventuel recul européen : « La conditionnalité a permis de maintenir l'espoir que nous jugerons un jour ces fugitifs. Nous n'avons jamais obtenu et nous n'obtiendrons jamais de coopération de la Serbie sur une base volontaire. » La gauche tente de s'unir en vue des départementales Malgré un climat de défiance tenace, les états-majors de la gauche tentent de surmonter leurs divisions et ont engagé des consultations pour nouer des accords locaux afin d'éviter un désastre aux élections départementales de mars 2015. "Tout le monde négocie avec tout le monde", dit un élu du Parti socialiste, où l'on se dit "inquiet" pour ces élections que la gauche, qui gère environ 60% des départements à l'heure actuelle, aborde en position d'extrême faiblesse. Même si les choses se présentent mal, l'objectif est d'éviter une nouvelle raclée électorale, après les défaites aux municipales et aux européennes. Après le départ des écologistes en avril du gouvernement, le PS ne conserve pour alliés au Parlement que les Radicaux de gauche mais les autres formations n'ont pas complètement coupé les ponts, malgré leurs critiques contre le gouvernement. hermes pas cher
    "Il y a discussion là où il y a menace que la gauche ne soit pas au deuxième tour", explique à Reuters Pascal Savoldelli, vice-président du conseil général du Val-de-Marne et responsable national pour les élections au Parti communiste français. Le mode de scrutin, binominal (les candidatures sont déposées sous la forme d'un binôme homme-femme) à deux tours, ne laisse guère de choix aux stratèges de gauche s'ils veulent éviter l'élimination au premier tour dans de nombreux cantons. Pour se maintenir au deuxième tour, les candidats ont besoin d'arriver en première ou en deuxième position ou de recueillir au moins 12,5% des voix des électeurs inscrits. L'union s'impose donc dès le premier tour, faute d'espoir réaliste d'accéder à un rattrapage sous la forme de "triangulaires". "Faire 12,5% des inscrits dans un scrutin où vous avez 35% de participation, c'est quasiment impossible pour le troisième", explique Pascal Savoldelli, d'autant qu'il y a déjà selon lui "beaucoup d'endroits où l'addition des forces de gauche ne fait pas le compte, parce que le premier adversaire après la droite et l'extrême droite c'est l'abstention". La faible mobilisation des électeurs de gauche laisse ainsi présager de nombreux duels UMP-divers droite ou UMP-FN. "PRATIQUEMENT AUCUNE TRIANGULAIRE" L'élimination du candidat socialiste au premier tour d'une élection législative partielle dans l'Aube, dimanche dernier, a renforcé les craintes exprimées après la publication d'un sondage selon lequel le PS, les Verts, les Radicaux de gauche et le Front de gauche ne sauveraient que de 56 à 66 de leur 338 sièges à l'Assemblée si les législatives avaient lieu demain avec un mode de scrutin très proche.

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